- Pourquoi Vertina, n'est pas là, quand on a besoin d'elle ?
Je ne savais pas quoi mettre comme robe pour le bal de l'impératrice.
Plouf plouf.
Choisi !
Ma robe bleu glacier, était tout en tulle, avec des papillon en dentelle sur le buste et une longue traîne accroché à mes mains.
Pourquoi Édaline à choisi ça j'avais dit pas trop pompeux et pas décolleté.
Bon pour ça, ça va, petit décolleté carré.
Et allé une tiare de vrai fleur bleue.
J'étais assez fier de moi, je mettais frisée les cheveux et mit des petits strass.
Essayons de descendre cet foutu escalier en escarpin.
- Le faire sans encombre.P.D.V Keefe :
- Alors monsieur Sencen, c'est votre premier bal ?
Cela faisait 20 minutes au moins que je parlais avec l'impératrice Pernilles.
- Oh non, mais jamais avec des personnes aussi importante, répondis-je.
- Ne vous mettez pas la pression, nous sommes normaux, dit-elle.
- Bien sûr normaux, mais ayant des garde du corps, rigolais-je.
- Je n'en ai pas !
- Vous en avez 6, je l'ai compté en rentrant, dis-je.
- Méfiant ?
- Et vous ?
- Vous ne m'en voudrez pas vu ce qu'il c'est passé avec les gobelins, me répondit l'impératrice Pernille.
- Je suis étonné de voir aucun conseiller, ils ont peur dans leur tours ?
- Il n'y en a que deux ce soir, ce qui sont les plus proches de la reine, m'expliqua-t-elle.
Je désèrais ma cravate.
- Serré ?
- Malhalaise, je ne suis pas habitué au costume.
Mon costume noir me tenait chaud et me serrait, j'avais l'impression d'être dans une boîte.
- Keefe ?
Je me retournai le conseiller Bronte et Oralie, me faisait des grand signes.
- Je vais vous laissez monsieur Sencen.
- Au plaisir impératrice, dis-je en faisait une révérence.
Ils s'approchèrent
- Vous êtes venu en tant qu'élève, membre du cygne noir, demanda Bronte.
- Ou plus, dit Oralie avec des sous-entendus.
- Les deux, dis-je, voir les trois.
- Vous le savez, demanda Oralie au conseiller Bronte.
- Depuis 2 ans, je ne suis pas aveugle vous savez.
- Qu'ils sont ensemble ?
- Ah oui...je suis le professeur de Keefe, dit-il.
- Je suis pas très à l'aise de parler de ma vie sentimental en plein bal.
- Oui pardon, me dit la conseillère Oralie.
Je devais l'appeler belle-maman naturelle?
Non c'est Édaline sa mère, non biologique, mais tellement plus aimante qu'Oralie.
Arrête toi, elle peut lire tes émotions.
- Vous n'êtes que vous deux ?
- Étonné, demanda Bronte.
- Assez, les gobelins sont proche de nous, répondis-je.
- Nous sommes plus courageux, répondit Oralie.
- Plus suicidaire peut être, dit Bronte en regardant le nombre de garde du corps.
- J'ai appris que vous et Sophie, avez attrapé les ogres responsable de toute cette misère, me dit Oralie.
- Je n'ai pas fait grand chose, Foster les à facilement maîtrisée.
Un gobelin vint à notre rencontre.
- Excusez-moi on vous demande, dit le gobelin à Oralie.
- Pour une fois que c'est pas moi, se réjouissa Bronte.
- Désolé monsieur de vous décevoir mais vous aussi conseiller Bronte.
- Nous allons devoir écourter notre conversation Keefe.
- Au revoir conseiller Bronte et conseillère Oralie.
- Apellez moi Oralie, Keefe.
- Et moi Bronte.
- Très bien, dis-je en leurs faisant une révérence.P.D.V Sophie :
- Je vais y arriver, au bout de la 600 èmes marches.
Saleté de talon !
Ma robe se prit dans la rambarde et me fit dégringoler les 10 dernières marches.P.D.V Keefe :
On entendit un gros boum ! Suivi d'une quantité de juron.
Enfin les grandes porte s'ouvrèrent.
Foster rentrait en remettant sa tiare, évidemment que c'était-elle qui était tombé, c'est Sophie Foster, la plus grande maladroite de l'univers.
Mais malgré ça, elle était belle avec sa robe bleu glacier.
On aurait dit un ange, qui ne sait pas ce qu'il fait ici.
Elle s'approchait de moi.P.D.V Sophie :
J'essayais de marcher avec grâce, mais c'était plus avec graisse.
Sophie reprends toi, Keefe te regarde surtout ne rit pas.
Et ne tombe pas, déjà que vous le bruit que j'ai fait, on aurait dit un éléphant tomber d'un tricycle, et l'entrée en retard, ohlala Lady Sophie ne va pas être remarquer de la bonne manière.
Heureusement que Keefe est là.P.D.V Keefe :
Foster arrivait tremblante.
- Ça va pas, demanda-t-elle, tu me regardes bizarrement ?P.D.V Sophie :
- Tout va très bien Foster, tu es juste très belle.
- Merci, toi aussi.
- Je suis un peu serré, je suis pas habitué, dit-il.
- Ah bon avec Lord Cassius comme père, t'es pas habitué au costume ?
- Non.
Je remettai ma tiare.
- Alors on aime les entrée fracassante Lady Fosboss, rigola Keefe, la cascade dans les escaliers c'était un effet de style ?
- Oui, l'effet éléphant, vous aimez ?
- Sublime et les jurons, j'adore !
- Tu as entendu ?
- Bien sûr Foster, à Exil on t'a entendu, dit Keefe.
- Oups !
- Premier bal, c'est pas grave, me rassura Keefe.
- Merci.
Il me prit par l'épaule.
- Moi, à mon premier bal, personne à voulu danser avec moi, j'ai dansé tout seul, sauf que j'avais un peu trop bu de jus de luxuriante, j'ai fait pipi sur le tapis d'un lord, m'expliqua-t-il, je ne me rappelle plus de son nom.
- Sympas, tu avais quel âge ?
- 10 ans, à peu près.
- Tu as mit une couche j'espère.
- Très drôle.
- C'est pas avec moi que tu vas danser, dis-je.
- T'inquiète pas que si Foster.
- Keefe je n'arrive pas à marcher avec des talons, alors danser, tu rêves !
- Je sais, je te soutiendrais si tu tombes, me dit-il.
- Tu es trop mignon.
Un clochette retenti.
- IL EST L'HEURE DE DÎNER, hurla un gobelin.
- Dit moi qu'on est ensemble ?!?
- Foster, on est déjà ensemble, répliqua Keefe.
- Non !
Je levai les yeux au ciel.
- Sur la table, dis-je.
- Impossible, Sencen, je suis en S et toi Foster en F.
- Tu pourrais pas t'appeler Fensen, lui dis-je.
- Ou toi Soster !
- Bon bah...on a toujours la télépathie, l'informais-je.
- C'est déjà ça.
Il parti, les bras pendant, la tête basse.
- Oh, Oralie, vous êtes à ma table.
- Sophie, je sens une mini vague de joie, me dit-elle.
- Elle est vraiment petite alors.
Le sourire de la jolie conseillère s'éffaça.
- Keefe !
- Foster, je sais que je te manquais, mais quand même.
- Je suis la voisine d'Oralie, lui transmettais-je.
- Je sens déjà ton allégresse d'ici, ironisa-t-il.
- Qu'est-ce que je vais faire ?
- Je te comprend elle est si monstrueuse.
- Keefe !
- Moi je suis à côté du chef de l'armée gobeline, qui n'a jamais rencontré de savon, on échange, demanda Keefe.
- Ça va aller.
- Profites-en pour parler avec elle, de tu sais quoi.
- Oui.
J'allais couper la connexion quand, je me souvins de ce qu'avait dit Keefe.
- Keefe ne m'approche pas avant de t'être lavé, merci !
- Je vois...
Je coupa la connexion télépathique.
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L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen
FanfictionCet histoire n'est pas une #fanfiction comme les autres découvre la suite du tome 8.5. Et si Keefe et Sophie était pas si ami qu'il le dise et si Dex déclarait sa flamme à Biana.