L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen

Les conversations.

- Pourquoi voulais-tu me voir Sophie ?
- Cela ne peut pas être une visite amicale, dis-je.
- On sait toi et moi que ces derniers temps, nous ne sommes plus si proche, dit Oralie.
- Je vous l'accorde.
- Alors que me veux-tu ?
- J'ai une requête, je voudrais que vous m'organisiez une entrevue avec Fintan ?
Elle recracha tout mon thé.
- Pardon ?!?
- Je voudrais juste lui parlez !
- Je vois...
Elle reposa sa tasse.
- Tu as une idée dernière la tête, supposa Oralie.
- Oui, mais je peux pas vous en parler pour l'instant.
- Même pas un petit peu, demanda Oralie.
- Non, la seul chose que vous devez savoir, c'est que je veux parler à Fintan.
- Et tu suicidaire ?
- Je sais c'est dangereux mais c'est important pour la paix.
- Je sais.
- Il faut que je m'en aille, notre voyage est fini pour moi et Keefe.
- J'espère qu'il vous a plu.
- Bien sûr.
Je me dirigeais vers la porte.
- Sophie ?
- Oui.
- Fais bien attention à toi, je m'inquiète pour toi !
Mon cœur se serra de tristesse, la seul personne qui me dis ça c'est Édaline, ma mère.
- Vous avez perdu ce droit le jour ou vous m'avez abandonné !
Je lui claquai la porte.

Une heure plus tard.
Je rangeai ma valise.
Toc ! Toc ! Toc !
- C'est ouvert.
- Prête, demanda Keefe.
- Oui...j'ai hâte de rentrer chez moi.
- Chez nous !
- Oui.
- Qu'y-a-t-il ?
- J'ai parlé avec Oralie, de mon idée...
- Alors ?
- Elle m'a pris pour une folle, rigolais-je.
- Ah !
- Je lui ai dit quelques chose d'horrible sous le coup de la colère.
- Tu lui a dit quoi, demanda Keefe.
- Elle a dit qu'elle s'inquiétait pour moi et je lui ai répondu qu'elle avait perdu ce droit le jour où elle m'a abandonné, répondis-je.
- Ah oui !
Keefe mima une explosion.
- Légèrement violent, lui demandais-je.
- Légèrement est faible.
- Oups !
- De toute façon l'on part, observa Keefe
- Dieu soit loué, dis-je.
- Tu m'expliquera ton plan à Havenfield.
- Bien sûr.

Dans la salle du trône.
- Impératrice, merci encore de nous avoir accueilli dans votre palais, la saluais-je en faisant une révérence. 
- C'était un plaisirs !
- Infiniment merci, pour nous avoir inviter à un tel bal, dit Keefe en se courbant devant l'impératrice.
- Keefe c'est un honneur.
- Sophie, en rapport avec notre déjeuner, j'espère que vous allez vivre comme une adolescente normal.
- Bien sûr impératrice, lui dis-je.
- Ça serait bête de passer à côté de ça, dit-elle.
- Je me dois de la faire...pour ceux qui sont mort.
- Fabuleuse, chuchota Keefe un petit peu trop fort.
L'impératrice Hilda sourri.
- Au plaisir de vous revoir.
- De même impératrice, dis-je.

On transplana pile dans les prairies d'Havenfield.
- Sophie ?!?
Ma mère m'aperçu de la fenêtre
Elle couru à pleine vitesse.
- Grady !
- Oui.
- Sophie est là avec Keefe.
Elle arriva et me serra fort.
- Oh tu vas bien, dit ma mère adoptive.
Édaline m'embrassa la tête
- Ça va ma grande, demanda mon père en me serrant aussi.
- On a eu tellement peur, quand Ro nous a parlé de votre attaque, dit ma mère.
- On c'est tellement inquiéter !
Je les serrai fort.
- Je vais bien, dis-je en souriant.
- Eux ils peuvent te le dire, dit Keefe.
- Aller vient, dit ma mère en attrapant Keefe par le col de sa chemise.
Il se joignat à notre câlin.
- Tu fais parti de la famille, l'informa Édaline.
- Eh oui que tu le veuilles ou non, dit Grady.
- Ça fait du bien d'avoir une famille, lui demandais-je.
- Ça fait du bien d'être aimé, répondit Keefe.
Ça me brisa le cœur de l'étendre dire ça.
- Rentrer il fait froid.
- Des éclateroles vous attendent, nous informa Édaline.
- Ainsi que des Clémentines.
On s'engouffra les deux assiettes de gâteaux.
- J'arrive même pu à voir mes pieds, dit Keefe.
- Sophie !
- Sandor ça va.
- Ohlala je me suis inquiéter.
- Quoi toi Gigantor, étonnant ?
Sandor leva les yeux au ciel.
- Même vous monsieur Sencen m'avez manqué.
- C'est dire, rigola l'intéressé.
- Oui.
- Je prends l'assiettes et je l'emmène dans ma chambre, on pourra continier de manger en discutant.
- Très bonne idée.

- Tu veux faire quoi, demanda Keefe pas sûr d'avoir bien entendu.
- Je veux aller parler avec Alvar.
- Non j'avais bien entendu. 
- Abasourdis.
- Tu as perdu la tête Foster.
- Merci !