Prêt...

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- Alors, soit tes parents sont en retard, soit ils ce sont fait enlevé par un Gulon, voir un grand Gulon, dit Keefe.
- Ça dépend c'est méchant un Gulon ?
- Euh si je te dit non, mais que c'est faux, ça te rassure, rajouta-t-il.
- Pas vraiment.
- Bah alors, oui, c'est doux comme un agneau.
Cela faisait une heure et demi qu'on attendait mes parents.
- Je suis sûr que Grady au dernier moment à eu un soucis, n'importe quoi, ou qu'Édaline n'avait pas de vêtement humain, me rassura Keefe en me prennant dans ses bras.
- Tu dois sûrement avoir raison.
- Par du principe que j'ai toujours raison, dit-il.
- Même la fois où tu as fugué parce que tu voulais sauvé ta mère et comprendre ton héritage, dis-je.
- Oh touché, non la j'avais tort, et tu me l'as bien fait comprendre, mais maintenant je suis là et c'est tout ce qui compte, répondit Keefe.
- C'est vrai.
- Alors rassuré ?
- Oui.
- Parfait.
Il me remplaça une mèche rebelle.
- Vous savez que vous êtes le couple le plus mignon que je connaisse, dit Mélinda qui sortait de la cuisine une assiette rempli de scone.
- C'est gentil, répondit Keefe rouge comme un tomate.
- Et le plus équilibré.
- Tu n'étais pas obligé de le rajouter, dis-je, et je suis pas totalement sûr, je suis quand même une elfe, mi elfe mi alicorne.
- Et moi ma mère a prit une substance noir, en étant enceinte, ce qui à transformer mes pouvoirs, rajouta Keefe.
- Wow en faite, vous n'auriez pas du le dire, c'est bizare, dit-elle.
- On sait, dit-il.
- C'est notre vie, rajoutais-je.
Juste au moment où Mélinda allait rajouter quelque chose, une lumière éclaira toute la pièce.
- Je déteste les sauts lumineux avec une jupe, bougona ma mère.
- Ma femme, toujours de bonne humeur, rigola Grady.
- Rectification, eu aussi, c'est mon couple chouchou, dit Mélinda.
- Tu n'as pas vu Biana et Dex, dit Keefe.
- Non.
- Dex sort avec Biana, s'étonna mon père.
- Oui.
- C'est très étonnant.
- Pourquoi, ils vont bien ensemble, demanda Mélinda.
- Oui mais Dex à toujours détesté les Vackers et surtout Fitz, répondit Keefe, alors sortir avec Biana, c'était inattendu.
- Phénoménal, même, dis-je.
- Ah.
- Bonjour Keefe, salua Édaline après avoir remis son jupe longue rouge à fleur.
- Bonjour Édaline, jolie jupe.
- Oui je l'ai acheté dans un magasin humain, dit-elle.
- Oui c'est pour ça qu'on est en retard, ta mère voulait absolument une tenu différente que celle d'hier, dit mon père en levant les yeux au ciel.
- Mais c'est pour ça que tu m'aime, répondit ma mère en lui faisant les yeux doux.
- Évidement.
- Éviter, les effusions de sentiment devant moi, leur dis-je.
- On sait, répondirent-ils à l'unisson.
- Et qui sait qui avait une fois de plus raison, c'est Keefe, chuchota-t-il.
- Depuis quand tu parles à la troisième personne du singulier.
- Depuis, que le gêne du narcisisme de mon père, est présent dans mon sang, repondit-il.
- Tu es bête, tu n'es pas narcissique, tu te trouves juste beau, lui répondis-je.
- Oui mais en même temps c'est vrai que je suis beau, et ça serait mentir que de dire le contraire.
- Pff, et qui t'a dit ça.
- Beaucoup de fille, et ton coeur.
- Empathe à la noix.
- Moi aussi je t'aime, dit Keefe.
- Bah évidement, que je t'aime.
Keefe rigola moin, il sourit comme un enfant qui venait d'entendre une merveilleuse nouvelle.
Je me remémora notre discussion, m'arrêta au moment ou j'avais dit que je l'aimait.
- Tu gardes ça pour toi ou je te tues.
- Tu peux pas me tué, puisque tu m'aime.
- Keefe !
- Oui Sophie.
- Non rien.
- Bon les enfants où sont les autres, demanda Grady.
- Là, répondit Fitz, derrière nous.
- Au complet, rajouta Dex.
- Et plus en forme que jamais, dit Tam.
- Je suis sûr que Marella est tout feu tout flamme, rigola Keefe, vous avez compris.
Je pu m'empêcher de rire, comme tout le monde d'ailleur.
- Et c'est vrai, répondit l'intéressé.
- Super, on va vous donnez vos quartier en fonction de vos groupe.
- Donc, Moi, Keefe, Sandor et Ro on prends le quartier de Kingston upon Thames.
- Marella et Tam, celui de Croydon, dit Mélinda.
- Fitz, Stina et Mélinda, Bromley.
- Grady et Édaline, Sutton, dis-je.
- Dex et Biana, Merton, dit Keefe.
- Et enfin, Willy et Lihn, Wandsworth.
- Tout le monde à sont quartier, demandais-je, et surtout tout le monde sans rappelle.
- Oui, crièrent-ils en cœur.
- Parfait, dis-je, et c'est parti.
- Et n'oublier pas ma mère, est pas vraiment hyper sympas, alors si vous la voyez, vous lui passez le bonjour de ma part, ironisa Keefe, plus sérieusement vous le dîtes à tout le monde.
- On sait, on est pas suicidèrent, rigola Dex.
- On la connais ta mère, depuis le temp, dit Fitz.
- Moi, j'étais un petit peu son disciple, rapella Tam.
- Et moi sa victime, dit Ro.
- On a tous été sa victime, dit Lihn.
- Mais surtout Keefe, dis-je.
Pour rappeller à tout le monde, que c'est vrai qu'on a tous croiser le fer avec elle, mais que Keefe, c'est sa mère.
Il se téléportèrent tous en même temp, les uns chacun dans leur quartier, mais on me retint par le bras.
- Keefe, qu'est-ce qu'il y a, ça va pas ?
- Si mais je voulais juste te dire, que moi aussi je t'aime, et fait attention.
- Je ferais attention.
- Non mais vraiment, ma mère est dangereuse, dit-il.
- Je le sais t'inquiète pas, dis-je en l'embrassant sur la bouche.
Keefe vu sa tête, s'attendait pas à ça.
- Oh c'est trop mignon, tu trouve pas Gigantoir, dit Ro.
- Si très.
- On raconter ça, à leur futur enfant blondinet.
- Je leur raconterais, dit Sandor.
- Ça va aller Keefe, tu es sûr de vouloir la voir et lui parler.
- Oui sûr et certain.
- Bon non pas que ce baiser soit très mignon, et surtout très attendu et que cette conversation soit émouvante mais on a une mère à trouver, rappella Ro.
- Je sais, dit Keefe.
Je lui pris la main, pour le soutenir moralement.
- Direction Kingston upon Thames, dis-je.

L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant