Bellecoife à facette.

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- Alors par où commencé.
- Le début peut être, dis-je.
- Merci Foster, je le savais.
- On sait jamais.
On se coucha au bord de la falaise on pouvait sentir l'air salé chatouiller nos narines.
- Je crois que ça été immédiat.
- De quoi.
- Je veux dire que ça été un coup de foudre, en tout cas pour moi, dit-il.
- C'est vrai, j'ai toujours trouvé ça très étonnant le faite que tu sois amoureux ou ami avec moi, parce que les gars cool et mignon non pas l'habitude de sortir avec moi.
- T'inquiète pas pour mon image, bref, le jour où on a fait votre plantation, j'ai cru que mon cœur avait été brisé comme un verre, je faisais des cauchemars toute les nuits, en imaginant toutes les atrocité qu'on avait pu te faire, raconta-t-il.
- Je ne savais pas.
- Et encore, je crois que c'est là que j'en ai pris conscience, le jour où vous êtes revenu, enfin j'ai réussi à dormir, quand enfin j'ai pu totalement me rapprocher de toi, après je me sentis au ange, on passait tout notre temp ensemble, et même après quand tu as soigné Alden, tu semblait me faire enfin confiance, ce qui avait pour effet de plus en plus nous rapproché, quand enfin j'ai cru qu'on pourrait être ensemble il a fallu que Fitz se rende comte que lui aussi était amoureux de toi et puis l'apparenté n'a rien arrangé...
- Donc tu as toujours été amoureux de moi.
- Oui, dès que tu m'as regardé dans se couloir, avec la dureté de se regard malgré ta brûlure.
Je tourni la tête pour l'observer il semblait dans ses pensé.
- Tu sentais mes émotions envers...
- Fitz, fini Keefe, oui.
- Je suis désolé.
- Pas grave, au moin tu étais heureuse, dit-il, c'est tous ce qui m'inpportait.
Il semblait dire la vérité, je ne le connaissait pas si protecteur.
- Quand  on discutait ensemble, ça me faisait un telle plaisir, mais il fallu que ma mère entre en jeu et que tous change évidement, je suis parti, je sentais que ta confiance diminuait, dit-il.
- J'ai toujour eu confiance en toi.
- Je sais, quand j'ai discuté avec toi, on était de nouveau proche et après avec Nocturna, nous sommes enfin redevenu proche, quand ombre ta attaqué, et que tu es resté couché...ta convalescence a été dur pour moi, tu te rapprochait de plus en plus du Fitzou.
- Ça na pas durée.
- Non quand tu es venus me voir la fois du tee-shirt, tu semblais triste, pas parce que tu étais mal assorti mais parce que tu voulais m'aider pour ma mère et le faite qu'elle voulait me tuer, ça m'avait briser le cœur, c'est pour ça que je t'ai aidé avec Fitz, quand il t'a dit qu'il y avait aucun soucis pour le faite que tu sois mal assorti, ça t'a réconforté.
- Tu m'a aidé alors que c'est ce qui aurait pu nous séparer ?
- Oui je ne veux que ton bonheur, répondit-il.
- Tu peux continuer pardon.
- Quand il a rajouté en plus que de toute façon tu pouvais savoir qui était tes parents, tu changea complètement d'émotion tu te demandais comment il pouvait dire ça alors que tu étais triste, parce que jamais tu pourrais te marier, jamais tu pourrais être assorti.
Il jetta un coup d'oeil pour voir s'il pouvait continuer.
- J'avais compris qu'Oralie était ta mère ça ce voyais, ça ce ressentais, son instinct maternelle prenait le dessus sur la conseillère.
- Super tu aurais pu me le dire, dis-je.
- Je sais bon nombre de fois j'ai voulu te le dire sur la balançoire mais j'y arrivais pas avec une ogresse à côté en plus, répondit Keefe.
- Excuse accepté.
- Quand ma gentille maman m'a mit dans le coma et m'a donné de nouveau pouvoir, je pensais qu'on s'éloignerait.
- Mais non, répondis-je. 
- Il en faut plus que ça pour éloigner une Foster.
Il souriait comme un enfant.
Le vent glacial me frigorifia, Keefe avait dû le sentir parce qu'il se raprocha et mit sa cape sur moi.
- On la partage comme lors de la première visite du sanctuaire, dis-je.
- On a une bonne mémoire à ce que je vois, sauf que quelque chose à changer ce n'est plus gênant de te serrer contre moi pour te faire un calin.
Non il a raison je n'ai jamais trouvé ça gênant, au contraire je me suis toujours sentis bien dans ses bras en y repenssant.
- Tu sais quand on était dans la rive du réconfort je me sentais en sécurité entre tes bras, sur la balançoire.
- Moi aussi Foster, bon, moi c'est peut être l'effet garde du corp ogresse entraîner à tuer depuis l'âge d'un mois.
- Cesse de plaisenter Keefe.
- Sans blaguer, Je ne laisserais personne t'enlever, te faire du mal, te blaisser ou te tué.
- C'est mon quotidien.
- Non plus maintenant, je ne laisserais plus personne te faire de mal je te le promet.
Il serra les poings.
Dans son regard on pouvait lire la détermination, mais aussi la peur de se faire du mal et de s'attacher.
- Tu as peur de t'attacher et de me perdre.
Jamais exprimer mes paroles à voix haute.
- Ça t'étonne, dit-il, mais avec toi je n'ai pas peur, sauf de te perdre.
- Je vais pas partir.
- Tu sais pas imagine j'utilise encore mon pouvoir, que je fasse du mal à Grady ou Édaline ou même à Dex.
- Je ne t'en voudrais pas car je sais que tu ne l'auras pas fait exprès.
- Sauf si comme ma mère l'avait prévu je devienne un monstre tueur, dit-il.
- Non parce que tu es borné et que tu écoutes personne.
- À part toi.
- Et encore, dis-je, je te connais Keefe ça te ferais trop mal de faire quelque chose que un de tes parent t'ai dit de faire.
- Tu as sûrement raison.
- Bien sûr que j'ai raison.
Il me serra encore plus fort pour s'assurer que je ne parte pas.
- Je te protégerait, je ne veux pas te perdre, je ne veux pas qu'on te prenne à moi, je ne veux pas car je peux plus vivre sans toi, je te protégerais quitte à mourir, chuchota-t-il.
Il pensait que je ne l'avait pas entendu.
Mais cette réflexion me faisait peur.
Elle voulait tout dire, sur le côté protecteur que je connaissais mais là c'était autre chose.

L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant