Le lendemain matin, je reveilli de très bonne humeur car, ma première blague allait être mit en place.
- Vertina, pourrait tu me dire si la tunique blanche me va bien.
- Parfaite.
Ma tunique, je trouve, me donnait l'air d'une poupée mais je suis ses conseil avisé.
Avec ses longue manche ballon, sa coupe évasé et ensuite très près du corp en haut, me faisait paraître cruche.
- Sandor, bonjour ça va ce matin.
- Oui même si Grizel vient de me proposer de danser avec elle, dit-il tout rouge.
- Oh c'est trop mignon, est-ce que je pourrais être ta demoiselle d'honneur.
- Qu'est-ce, demanda le gobelin.
- Pendant ton mariage c'est celle qui donne les alliances, qui celle ton union pour la vie, dis-je.
Depuis étais-je une experte en mariage.
- Interessant, dit-il en descendant les escaliers avec moi.
- Est-ce que c'est chou un bébé gobelin, demandais-je.
- Je ne sais pas.
- Tu sais pas, dis-je en levant les yeux au ciel.
- Pourquoi vous parlez bébé, demanda Keefe
- Parce que Sandor, va danser avec Grizel.
- Oh, je vois déjà tout plein de bébé gobelin, crier tonton Keefe, rigola Keefe les fausses larme au yeux.
- Tu me fatigue, dis-je exaspèré.
- Je vois mal mes enfant vous apellez tonton Keefe, nous informa Sandor.
- Tu pourrais en apeller un Keefe ou Keefie, c'est mignon, se rejouissa Keefe.
- Bonne chance Blondinette, s'exclama Ro.
- Pourquoi tu dis ça, demanda-t-il outré, moi je pense que Sophie c'est bien.
- Fait attention ça fait un peu gars fanatique.
- Je t'ai pas sonné les cloches à toi, rétorqua Keefe Avec un petit sourire en coin, si ça trouve Foster m'aura déjà tué depuis longtemps, rigola-t-il.
- Je pense pas.
- Moi j'y vais, princesse si vous ne protégez pas Sophie, je vous assure que faudrait vraiment bien bien creuser pour retrouver tout vos membre non mangé par les gorgodons, dit-il un sourire carnassier au lèvre.
- Il me fait peur, dis-je.
- Moi ce qui me rassure pas, c'est le faite qu'il serait capable de le faire, répondit Keefe.
- C'est vrai.
Pendant que Sandor s'engueulai avec Ro sur la meilleur moyen d'assurer ma protection, Keefe se raprocha de moi et pris la chaise la plus proche et s'assit.
- Tu as réussi à mettre le crottin, demanda-t-il.
- Oui, je l'ai rempli à rabord et j'ai rajouté un petit truc que j'avais trouvé dans ta chambre, et que j'avais gardé.
- Quoi, du poivre à gratter.
- Tu verras.
- Les tourteraux, fini de discuter, demanda Ro.
- Oui.
- Bon retrouve moi Blondinette dans sept minutes dans la clairière et change toi.
Je reparti en haut quand une main m'attrapa le poignet.
- Au faite Foster, tu es très belle aujourd'hui.
- Merci.
- Super don juan, tu viens ta dulcinée doit se changer, dit Ro en le prennant par l'épaule.
Elle le serra tellement fort que son épaule fit craque quand il essaya de la bougé.
Il se pinça les lèvres de douleur.
- Tu lui as déboiter l'épaule, dis-je en observant son bras gonfler instantanément.
- Super, dit-il.
- Je monte, je dépose un mot pour mes parents je t'emmène au centre de soin.
- Foster ce n'est pas grave, regarde, dit-il en essayant de la bouger.
- Bien sûr, tu respire la joie de vivre là.
- Je n'ai jamaiss eu aussi mal.
J'observa son épaule.
J'appuyai et la senti brulante.
- Foster tu peux te dépêcher.
- Oui bien sûr.Je pris n'importe quel plume et inscrit sur un parchemin.
《 Tout vas bien, on est au centre de soin, mais tout vas bien.》
Je pris aussi un élastique et m'attacha les cheveux en une que de cheval.
- Bon c'est fait, Keefe ?
Je sorti de la maison, ils étaient déjà près des enclots.
- Keefe, je te cherchais.
- Et bah, me cherche plus je suis là, répondit-il.
- Et la garde du corps on l'oubli.
- Actuellement j'ai plus envie de te mettre mon poing dans ta face d'ogre, que de te faire une ode.
- Foster, tu risque de perdre tes cheveux, mais sache que je t'aimerai toujours.
Il portait une chemise et un tee-shirt nirvana en dessous, ce qui me donna une idée.
- Enleve ta chemise.
- Blondinette tu m'inquiète.
- Non mais il a un tee-shirt en dessous.
- Tient Foster, tu sais je suis pas sûr qu'une chemise aille avec une tunique, dit Keefe.
- Je sais.
Je la craqua.
- Ce n'était pas ta chemise préféré, demandais-je.
- Non, t'inquiète.
- Voilà.
Je passa le morceau de tissu en écharpe autour de son épaule.
- Chez les humains, on fait ça quand on ce casse quelque chose, ça évitera que tu te fasse mal en sautant.
- Tu es un génie, dit-il en me serrant dans ses bras.
- Tu as mal.
- Affreusement, mais c'est pas grave, un câlin ça vaut le coup.
- Donc si je résume on va se téléporter jusqu'au centre de soin, demanda Ro perplexe.
- Oui.
- En sautant du haut de la falaise.
- Oui.
Elle blêmit tellement qu'elle aurait pu concurrencer un cachet d'aspirine.
- Regarde ça, un guerrière aussi sauvage et cruel, dit Keefe, vraiment les gardes du corps c'est pu ce que c'était.
- Je compte, un.
- Foster attend nous.
- J'ai pas toute la journée.
- Merci, répondit Keefe, je vois qu'on compte.
- Deux.
Il se pressa à me prendre la main.
- Trois.
On se jetta dans le vide.
Je remémorisa le couloir blanc du centre de soin.
- Et voilà.
- Prodigieux, s'exclama Keefe en applaudissent.
- C'est un couloir, observa Ro.
- Pas n'importe lequel, dis-je.
- Le couloir, rajouta Keefe.
C'est là que deux ans plutôt, le garçon blond l'avait interpellé et l'avait accompagné au centre de soin.
- Bon, les amoureux, trêve de nostalgie, s'impatienta Ro.
J'ouvri la porte.
Elwin était avec ses lunette entrain de préparer un décoction, Bulhorn lover sur lui.
- Elwin ?
L'elfe sursauta se tapant la tête contre sa lampe.
- Sophie, même pendant qu'il n'y a pas de cour tu viens au centre de soin, rigola le médecin.
Avec ses cheveux ébouriffer, ses petite lunette ronde et ses yeux gris, il donnait plus l'impression d'un savant fou que d'un médecin.
- Que puis-je faire pour toi.
- Ce n'est pas pour moi que je suis venu, dis-je.
- Pour qui alors, demanda Elwin.
- Pour moi, dit Keefe apparaissant derrière la porte.
- Keere !?!
- Bonjour Elwin, ça va ?
- Je te retourne la question, dit-il en désignant le bras.
- Ça c'est l'oeuvre de Ro, dit-il.
- Depuis quand es-tu dans les citées perdues ?
- Deux semaines, je suis surtout revenu pour Sophie, répondit Keefe.
Je me senti rougir.
- En faite Ro lui à comment dire pressé l'épaule résultat, dis-je en désignant son épaule gonfler et rouge.
- Bon Keefe assis-toi là, dit-il en montrant le lit à côté de celui avec la photo de moi.
- Très bien.
- Alors je t'explique, je vais devoir, te déboiter l'épaule et la remettre, ça risque de faire très très mal, dit-il en éclairant d'orbe violette son épaule, tu devrais prendre la main de Sophie.
- Merci de pas l'écraser, dis-je.
- Alors prêt Keefe, un, deux...
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L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen
FanfictionCet histoire n'est pas une #fanfiction comme les autres découvre la suite du tome 8.5. Et si Keefe et Sophie était pas si ami qu'il le dise et si Dex déclarait sa flamme à Biana.