L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen

Partez...

- Bonjour papa.
- Bien dormi, demanda-t-il.
- Euh assez.
J'avais complètement menti, je n'avais pas dormi de la nuit, j'ai pensé toute la nuit à une solution, si seulement, je pouvais lui parler.
- Je vais m'habiller et j'y vais.
- Où ça ?
- Oh euh chez Biana.
- D'accord, bonne après-midi, dit Grady.

Je montis les escaliers.
Tee-shirt rollings stones, jean délavé bleu marine taille basse et queue de cheval haute.
- Wow, énormément de style, nargua Vertina.
- Merci, dis-je, au revoir Vertina.
Ah oui il ne faut pas que j'oublie, Biana.
- Biana, salut je suis désolé, de te héler aussi tôt.
- Pas grave mais la prochaine fois prévient, je vennais tout juste de sortir de ma douche, dit-elle.
- Super noter.
- Je suppose que tu ne m'as pas hélé pour ça, qu'est-ce qu'il y a.
- Si mon père demande je suis avec toi et Fitz, entrain de discuter de n'importe quoi, ok ?
- Très bien mais tu vas faire quoi, tu vas voir Keefe, mais en secret, c'est très romantique, dit Biana.
- Non pas du tout, je vais faire quelque chose, que seul Sandor sait et Ro aussi, je t'en parlerais plus tard, bon je te laisse, je viens chez toi, alors il faut que je me prépare, dis-je en rigolant.
- Je vois, bon je te laisse, on se voit plus tard, enfin tout de suite, rigola Biana.
- À plus.
Je descendis les escaliers à tout vitesse pour pas que mon père ou ma mère me voit.
- Sandor, tu es où, demandais-je devant la falaise.
- Là mademoiselle Foster, je me prépare psychologiquement, au  saut dans le vide, répondit-il le teint blême.
- Je vois, rigolais-je, tu es sûr que tu veux m'accompagner.
- Partout où vous irez...
- J'irais, tu radote, un tout petit peu, dis-je.
- Sortir avec monsieur Sencen, vous fait parlez comme lui et faire des choses inconsciente comme lui, vous êtes inconsciente tout compte fait, dit Sandor en regardant vers le bas de la falaise.
- Tu pense que sauter d'une falaise, en espérant qu'on puisse ce téléporter, est inconscient, réfléchissais-je, oui c'est tout à fait ça.
- Très bien, bon bah quand il faut y aller, faut y aller, dit-il en fermant les yeux.
Je lui pris sa main dix fois plus grosse que la mienne et dix fois plus puissante, ce qui ne l'empêchait pas de trembler comme une feuille.
- Prêt.
- Prêt.
- Un...
On sauta dans le vide, je me concentra et fit abstraction de tout ce qui se passait autour de moi.
- Deux.
Visualisa la rue de Londre, est.
- Trois.
Est nous y téléporta.
- Sandor, je suis déçu tu n'as pas crié.
Il gardait ces yeux fermement fermé.
- Tu peux rouvrir tes yeux.
Il rouvra, et regarda autour de lui.
- Bravo mademoiselle, dit-il.
- Merci, bon on avait noté, quel numéros.
Je sorti un papier un peu frotter.
- 19 rue Conan Doyle.
- On est au 10, c'est par là normalement, déclara Sandor en montrant vers la gauche.
- Oui, dis-je tout en marchant, 11, 14, 17.
- 19, dit Sandor.
La rue était complètement déserte, mais j'avais quand même pris un obscurateur, que j'avais reussi à activer.
- Bon je toque.
- Allez-y Sophie, et bonne chance.
- Merci.
Je montis une à une les marches en granite, contempla la petite sonette en métal, et réfléchis à ce que j'allais dire.
- Allez vous pouvez le faire.
Je repensais à tout ce qui c'était passer par ça faute, mais en même temp, si il n'y avait pas eu de problème, Keefe ne ce serait jamais déclarer, il y a du pour et du contre.
Je pressa la sonette, et une légère sonnerie se fit entendre.
- Oui j'arrive.
Cette voix je la reconnaîtrait entre mille, il y a des choses comme ça dans la vie dont on se souvient pour toujours, parfois c'est en bien, mais là c'était plus tôt en mal.
- Bonjour, dit-elle.
Une belle dame blonde, toujour belle malgré toute les choses que Dimitar lui avait fait subir, mais en même tant ne dit-on pas la beauté du diable.
- Bonjour, madame Giselle, ou madame Sencen.
Elle regarda vers le bas, puis me fixa un moment, comme pour comprendre ce qui se passait.
- Comment m'as-tu retrouver Sophie, je sais que tu es intelligente mais bon, dit Gisella.
- Le conseil savait très bien, que vous irez à Londres est vous à retrouver, grâce à Fitz, nous avons sut dans quel quatier, Giselle, un peut trop proche de Gisella, et Minette, n'est pas très courent non plus.
- Je vois, alors le conseil t'envoie, c'est ça.
- Non, vous savez, votre fils, compte plus que vous ne le pensez, dis-je.
- Ah oui, monsieur Vacker en ai la preuve, répondit-elle.
- Vous serez, bien heureuse d'apprendre que Fitz et moi, ça na jamais été très solide, et un seule coup de vent, et tout est tomber.
- Je vois, dit-elle, où est mon fils.
- Il n'est pas là et sachez que nous ne savons pas où il est.
Vraiment je m'inquiétais à mentir à tort et à travers comme ça.
La surprise crispa son visage.
- il est livré, à lui même dehors, il m'a écrit une lettre pour expliquer que si il était parti c'était à cause de ses nouveaux pouvoirs qu'il ne contrôle pas, et que pour ma sécurité et celle des autres il partait, voilà, lui expliquais-je, vous êtes fière d'avoir détruit la vie de Keefe, est la mienne aussi, ou tout cela n'était qu'un plan aussi, dis-je.
- Je ne savais pas mon fils aussi...
- Responsable, protecteur.
- Bête, dit-elle.
- Bien sûr, c'est lui qui est bête, vous devriez faire comique, avec votre mari, parce que quand un adolescent de 14 ans, elfe, qui plus ai, à de nouveau pouvoir, non naturelle, qui sont incontrolable, et qui est en plus Keefe, la personne qui est très protecteur envers ses amis, il reste ici, en sachant ses pouvoirs dangereux.
Elle me regarda avec des grand yeux rond et sourit.
- Vous êtes comme lui, vous êtes un enfant trop intelligent, trop émotif et trop compliqué , pour ce monde.
- Si vous le dîtes, mais s'il vous plait dite nous comment faire, pour ses pouvoirs.
- La réponse est simple et tient en trois mot, lui et toi, répondit-elle.
- Je vois, super, pour les énigmes et les paroles vous êtes au point, pour les actes moyen, réviser.
- Sophie ?
Je me retournis, Keefe ?
Oh non, non, non, non, pourquoi tu es là.
- Keefe, qu'est-ce que tu fais là.
- Grady m'a dit que tu étais chez Biana, et elle m'a dit que tu étais là.
- Bonjour Keefe.
- Ma...maman.
- Comme ça, il a disparu.
- Oui pendant longtemp, je l'ai revenir mais, il a besoin de votre aide, dis-je.
- Sophie, je n'ai pas besoin, d'aide, je me suis toujours débrouiller, dit-il en me prennant par la main.
- Je sais et justement, lui et moi, n'est pas une réponse, valable, dis-je.
- Toi, Sophie, parce que toi seul, le comprend, et lui, parce qu'au moment ou il acceptera ces pouvoir, tout se dévoilera, c'est clair, expliqua Gisella.
- Alors pour Foster, oui c'est déjà fait, mon charme à fait que...
- Keefe, franchement, dis-je en tenant mon collier.
- Bah quoi, par contre moi, vide complet.
- Accepte le faite que tu es des nouveaux pouvoirs est sera bon, dit-elle.
- J'ai compris, dis-je.
- C'est les principal, dit-il.
- Rentre chez toi Sophie et avec Keefe, et surtout surveille le, dit-elle presqu'avec de la gentillesse dans le regard.
- Très bien et merci, dis-je.
Keefe était déjà parti avec son collier à Havenfield et moi je commencais déjà à partir que.
- Sophie, jolie collier, est très beau couple, interpella Gisella un grand sourire au lèvre, je savais qu'il réussirait, c'est un battant.
- Je le sais aussi.
Sur ceux je disparu avec pour dernière image celui d'une mère fière de son fils.