Le carnage

570 39 25
                                    

C'est vers le milieu que (t/p) arrête de raconter sa vie

=================================

{résumé : tu as commencé à parler du harcèlement de Kori en faisant surtout une description de ton point de vue des trois harceleuses de Kori. Tu vas aborder un moment très sensible.}

T/p : très bien...

Pour ceux ayant une sensibilité élevée et/ou qui imagine des choses très réalistes, je vous conseille de pas vraiment lire ;—; de toute façon, comme je l'ai déjà dis, ces chapitres n'ont pas d'importance.

T/p : son avant-bras continue de craqué, je la regarde droit dans les yeux pendant que celle-ci cri à en perdre haleine. D'ailleurs son cri était horrible, y'a eu une fausse note constante, comme si elle avait une toux. Je ne lâche rien, que se soit de l'avant-bras ou du regard. Kori, elle, était un peu inquiète, mais droite. Les filles étaient effrayées. Les deux qui sont en arrière essaye de partir mais je les attrape par le dos et le col. Louna est derrière en train de pleurer et de se tenir l'avant-bras droit. Elle lève la tête et ne voit que Kori qui l'a regarde neutre avec une sorte de pitié ou de haine. Je lâche les filles en les balançant en arrière. Je commence par Bélinda. Constance essaye de s'enfuir mais elle croise le regard de Kori, toujours pareil, prête à l'attraper. Elles sont toutes les trois piégées.

<extinction des lumières>

T/p : je me penche vers Bélinda qui est au sol. Je la prend par le col lui fou un coup de poing. Puis 2, puis 3, puis 4, et bien d'autres encore. Je la martèle de coups mais j'essaye quand même de la garder consciente. Les coups de point bien placés peuvent lui faire perdre connaissance et c'est ce que je ne veux pas. Je la rejète au sol puis lui écrase le ventre avec mon pied. En la regardant droit dans les yeux, je pouvait voir son visage couvert de sang et déformé. Un œil commençant à être gonflé, le nez cassé et la mâchoire décalé de très peu à cause des coups au même endroit. Je continue d'appuyer mon pied sur son ventre et lui donne un coup dedans au passage. Je précipite ma main dans ses cheveux, rapproche sa tête de moi et la fixe. Elle était tellement terrifié que ça pouvait en devenir marrant. C'est tellement jouissif d'être le prédateur et de voir sa proie si faible entre tes mains. Je rapproche doucement mon autre main de ses cheveux, empoigne une bonne partie et lui arrache le plus fort possible. Elle continue ses cris et moi je continue de lui arracher les cheveux. Elle avait carrément des trous dans sa chevelure. J'avais tellement envie de voir la réaction des autres élèves, de les voir se moquer d'elle. Je me stoppe après une énième touffe enlevée. Je la regarde... et lui sourit. Juste après, j'écrase ses deux genoux avec mes pieds, là laisse crier puis l'assomme d'un coup dans le diaphragme et dans la tête.

<pause>

T/p : elle tombe à terre, l'air morte alors qu'elle est juste inconsciente. Rien qu'avec elle, le sol était recouvert de sang. Pas beaucoup certes, mais on le voyait. Je lui donne un coup de pied, plus faible, comme lorsque l'on vérifie si une bête est morte. Elle est bien inconsciente. Je tourne rapidement la tête vers Louna, comme si ma tête était celle d'un hibou, et la regarde fixement dans les yeux. Elle a si peur. C'est si drôle. Je m'avance doucement vers elle pendant que Kori se dirige vers Constance en laissant quelques mètres d'espace. J'attrape Louna par son avant-bras non brisé et lui broie de la même manière que l'autre. Elle tente d'enlever son bras de mon emprise mais échoue. Je me souviens qu'elle pleurait « pitié, pitié, laisse moi partir. Laisse moi m'en aller... ». Je la tire vers moi et lui donne un coup de genoux dans le ventre. 1 coup, 2 coup, 3 coup, ... une bonne dizaine au moins. Elle n'arrivait plus à respirer. Je lui prend les cheveux, lui lève la tête vers la mienne et lui donne un coup de poing en plein centre. Ses lunettes se casse et des bouts de verres viennent dans ses yeux. Elle continue de crier et tombe à terre. Je dis qu'elle continue de crier mais elle ne s'est pas remis des coups dans le ventre. Elle est presque évanouie sur le sol. Je m'abaisse à son niveau et lui brise les jambes à plusieurs endroits, je lui tord son dos et brise ce qu'il reste de ses bras. Je la laisse finalement s'évanouir.

<pause>

T/p : je me dirige ensuite vers Constance et fais signe à Kori qu'elle peut aller attendre en dehors du collège. Ce qu'elle fait. Je me retrouve seule à seule avec Constance. On se regarde et là, elle me crie « pourquoi ? Pourquoi t'as fait ça ?! Tu les a tuer ! T'es un monstre ! T'es un vrai démon ! Comment tu peux exister sur cette Terre ?! T'es un monstre, un monstre, un monstre... » elle me répète sans cesse que je suis un monstre. Je la prend par le cou. Je la laisse quand même avoir de l'air. Ce n'est pas drôle si elle n'est pas consciente. Je la plaque fortement au mur puis la jette au sol. Je met mon pied sur son ventre et me rapproche de sa main. Je lui prend le poignet, le brise et pose mes doigts sur son ongle qui était plutôt long. Elle me dit, tout bas « nan... nan... tu vas pas faire ça, hein ? » je lui sourit. Un sourire des plus pervers et fou. Je lui arrache l'ongle de son pouce. Elle cri. Je lui arrache l'ongle de son index. Elle cri. Je lui arrache l'ongle du majeur. Elle cri. Je continue comme ça pour ses deux mains. Elle est toujours allongé au sol et maintenue par mon pied. Je lâche sa main. Comme depuis le début, je ne l'avait pas quitté du regard. Je lui donne un coup de pied au centre de son visage et me rapproche lentement de celui-ci. J'ouvre sa bouche et la maintien ouverte garce a un stylo que j'ai coincé dedans. Je prend fermement sa dent, je lui sourit. Le même que le précédent. Et lui arrache la dent. Je continue jusqu'à ce que je ne puisse plus atteindre celles qui lui reste, étant trop loin. Je me relève, satisfaite de mon acte et garde ce sourire. Je commence à ricaner, puis a rire. Un rire totalement hystérique. Je la piétine au visage tout en riant. Je continu en donnant 2-3 coup à la poitrine et m'arrête. Je regarde le carnage que j'ai fais. Je retrouve un regard normal mais garde mon sourire. Je vais vers les toilettes, lave le sang sur mes mains et mes chaussures, puis par vers l'extérieur. Je rejoins le Groupe qui appelle directement l'hôpital. Ça a duré pas mal de temps puisque nous sommes rentrés au moins 1h après.

<pause>

T/p : en rentrant, j'ai dis à ma mère : « maman, il faut se barrer de France. » elle avait peur de savoir ce que j'avais fait. Je lui ai expliqué, elle m'a compris mais a avoué que j'étais aller très loin, beaucoup trop loin. Chaque membre du Groupe l'a dit à ses parents. Ils ont tous accepté de revenir aux USA. Si tu ne l'avait pas compris, on est tous fou dans le Groupe. Que se soit les parents ou les membres. On est fous et près à tout. On s'est vraiment bien trouvé tous ensemble.

...

———————————————————————
;—;. C'est normal, ne vous inquiétez pas. Enfin je dis c'est normal mais personne n'a vu ce genre de chose dans son collège 😭. Je vous expliquerais plus tard pour le truc de la folie mais c'est galère à expliquer et peut-être à comprendre.

Une Romance RobotiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant