Chapitre 4 : sumire se venge

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PDV Sarada

Nous sommes maintenant en décembre. A l'extérieur, le sol est recouvert d'un épais tapis blanc et des flocons descendent encore nous offrant toujours le soleil qui éclaire notre journée. A cause de l'école, me voilà devenue poète. Je me prépare à aller à l'école après un réveil trop brutale, j'étais tellement énervée que j'ai envoyé valser mon réveil à l'autre bout de la pièce, résultat : il est en miettes. Vivement les vacances ! Je sors de chez moi et retrouve boruto sur le pas de la porte m'attend avec toujours le même sourire dévoilant toutes ses dents. Je souris à mon tour, rien que de le voir, cela m'apaise et m'enchante. Je n'oublie pas de fermer la porte à clé, et nous partons en direction du lycée. Tous les jours, nous parlons sur le chemin il me pose plein de questions sur moi, mais c'est bizarre parce que à chaque fois qu'il me parle pour parler de mon passé il devient tout de suite très sérieux, comme ci c'était très important. Aujourd'hui j'aimerais en apprendre d'avantages de lui.

Sarada : boruto, j'aimerais que cette fois ci tu me parles que de toi !

Boruto : ah bon ? Pourquoi ?

Sarada : et bien.. parce que l'on parle tous le temps de moi et jamais de toi !

Boruto : alors... mon père est patron d' une entreprise d'informatique et ma mère est pharmacienne, je ne vois pas souvent mon père à cause de son travail. J'ai plusieurs fois essayé de capter son attention en faisant des graffitis sur la façade de son entreprise mais bien sûr à chaque fois je me suis fait réprimandé pour ma mauvaise conduite. franchement je m'en fichais, mais le pire dans tout ça c'est après que j'ai fait tous ça mon père ne m'a pas du tout accordé plus d'attention comme je lui demandais.

Sarada : d'accord... mais maintenant est ce que tu le continues toujours ?

Il rigole.

Boruto : non ça fait un moment que j'ai arrêté de le faire.. ce n'est plus de mon âge, j'ai grandi maintenant !

Nous arrivons devant la grille et au loin je vois sumire et son groupe me regardant. Mince... je vais payer chère je vais essayer de ne pas trop la croiser. Boruto pars rejoindre des amis et je fais de même. Chocho me regarde d'un air confiant.

Chocho : alors.. comme ça on traîne avec l'uzumaki ?? Hein ma très chère Sarada ?

Sarada : heu ce n'est pas du tout ce que tu crois !

Chocho : La grande Sarada Uchiha aurait un béguin pour l'uzumaki ?...

J'en rougis après ce qu'elle venait de dire, je n'aime pas trop qu'on dise ça, mais c'est vrai je trouve que boruto est très drôle, beau, intelligent, mature et ce serait l'homme parfait mais jamais il ne tombera amoureux de moi je n'ai pas de physique avantageux et je ne suis pas très belle.

Sarada : chocho... ne dis pas n'importe quoi ! Et puis en plus qui pourrait m'aimer !

Chocho : hein ? Ne me dis pas que tu te crois moche pu que tu crois que ton phisyque n'est pas du tout avantageux car laisse moi te dire que c'est totalement faux ! Tous les hommes peuvent tomber à tes pieds !

Sarada : ne dis pas n'importe quoi voyons !

A ce moment là, la sonnerie retentit je me précipita dans la salle. Je commençais par français et après j'avais une heure d'étude alors autant profiter de cette heure de français même si je n'aime pas cette matière, mais je la préfère largement à l'étude. Le prof vient il commence son cours et pendant les 30 minutes qui nous restent il nous dit.

Prof de français : alors je dois vous dire que pour la semaine prochaine j'aimerais que vous fassiez un exposé sur certain sujet que je vous est choisi moi même, vous serez en binôme, mais c'est moi qui est pris soin de les choisir ! Je vous les annonce :

Boruto et Sarada : sujet : le surplus de population

Chocho et mitsuki : sujet : la révolution

Ect......

Prof de français : voilà je vous ait tout dit ! Au revoir et bon week end !

Puis, juste après la sonnerie retentit, j'étais contente de pouvoir être avec boruto, ce qui n'est pas le cas de sumire, elle me regarde comme ci elle voulait me brûler vivante. Je regarde boruto et je le vois heureux, je crois qu'il est content d'être avec moi, je rougis à cette pensée. Je pars en étude mais boruto m'attrape la main avant que j'entre dans la salle.

Boruto : heu.. Sarada ? Est ce qu'on peut se mettre à côté en étude pour pouvoir commencer l'exposé ?

Sarada : oui c'est une très bonne idée !

En etude, je suis allée récupérer des livres pour pouvoir commencer notre chapitre dessus. A la fin de l'heure, j'ai reposé les livres et suis partie de la salle je suis allée dans mon dernier cours qui était en maths. Puis vint la pose déjeuner, je suis sortie en dernière de la classe, je me suis retrouvée toute seule dans les couloirs pour aller dans la cour. Avant de pouvoir sortir de l'école je me fais tirer le bras et on m'emmène dans une pièce très sombre quelqu'un de fort me pose sur une chaise sans délicatesse et m'attache.

Sarada : mais mais que faites vous ! Lâchez moi tout de suite !

Je commence à me débattre de toute mes forces, mais ma force est comparable à celle d'une mouche alors ça ne fait pas d'effet, après m'avoir ligotée il me scotch la bouche. Il prit un bâton et commence à me frapper avec je crie de douleur, lui il rigole mais j'entends un autre rire celui ci appartenait à une fille. Je me débattis en essayant d'éviter les coups de bâtons qu'il me donne. D'un coup, il me m'est une gifle et commence à me donner des coups de poings et de pieds, je crie de douleur les larmes roulent le long de mes joues, à cause de l'humidité le scotch sur ma bouche s'enlève et je crie de toutes mes forces tout en pleurant. La douleur m'est insupportable. D'un coup il me soulève et me jette à terre, mes mains sont coincées dans mon dos et mes jambes sont ligotées ensemble, j'hurle de tout mon être je n'en peux plus. Tout d'un coup la porte s'ouvre sur une personne que je connais bien, lui, boruto...


Boruto x sarada : un avenir ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant