Chapitre 68

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Quelques mois étaient passés marquant le début d'une nouvelle année en Fodlan. Le mariage approchait à grand pas.

Airi reçu une lettre de bon matin.

-C'est pour moi ?

-Oui mademoiselle.

Elle prit la lettre et l'a lu.

"Bonjour Airi, c'est Atsuko. A l'heure où tu lis cette lettre, je serais déjà sûrement dans la capitale. Tout cela pour te dire que, j'ai prévu une journée en ville entre filles alors, sois prête pour 14:00 ! »

Shez arriva.

-Madame à du courrier à ce que je vois.

-Oui, c'est une lettre d'Atsuko !

-Ah oui ? Elle y raconte quoi ?

-Qu'on va passer la journée ensemble entre filles !

-Anw, dommage, j'aurai voulu venir.

-Effectivement dommage.

-Après, tu penses qu'avec une perruque je pourrais faire une jolie damoiselle ? J'en suis personnellement convaincu.

Elle pouffa de rire.

-Ça risque d'être compliqué quand même.

-Pfff, dommage.

-Tu as quand même des traits masculins alors.

-Un peu de maquillage et le tour est joué !

Ils se mirent à rire.

Allez, passe une bonne journée Airi.

-Je vais d'abord aller me préparer !

-Et bien, bonne préparation alors, même si tu n'as pas besoin de grand chose.

Il se dirigea vers l'extérieur tout en ébouriffant les cheveux de la jeune femme.

Quand à Sylvain et Atsuko, ils étaient dans un hôtel de la capital. L'homme coiffait les longs cheveux de sa femme.

-Sylvain, ça fait déjà bien longtemps que tu me les coiffent, je pense qu'ils sont bien démêlés.

-Peut-être mais, c'est vraiment hypnotisant de les coiffer. Ils sont si beau.

-Ce sont des cheveux, rien de plus.

-Honnêtement, si on a des enfants, j'espère qu'ils auront tes beaux cheveux.

-Oh, je suis certaine que tes cheveux en bataille seraient adorables sur des petit bout de chou.

-Tu rigoleras moins quand tu devras les coiffer.

-Parce que tu te coiffes ?

-Un minimum...

-Hmm...

-Oh ça va...

-C'est pas grave parce que je te trouve beau gosse avec tes cheveux.

-Oh, je le sais.

Après avoir coiffé les cheveux de la femme, il commença à tresser une natte.

-Tu sais faire des nattes ?

-Non... mais je veux essayer.

Il essaya en vain de tresser les cheveux de la jeune femme.

-Raté mon chérie.

Il soupira.

-Aller, zou, va profiter de ta journée entre fille ou tu vas me laisser seul... quelle femme indigne...

Fodlan StoryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant