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Mehrine : lâchez moi bande de bâtards c'est votre connard de patron qui vous a dit de m'empêcher de sortir c'est ça.

Non mais elle bien de m'appeler comment elle, je vais bien la buter je me retiens juste à cause d'Emrane.
Je tourne la tête vers ce dernier qui étouffe ses rire en me regardant.
Je lui lance un regard noir et il s'est vite repris.
Je fais un signe de main à mes hommes de la lâcher mais ils la retenaient toujours, je fronce les sourcils et m'avance vers eux rapidement.
Oscar : patron, elle voulait sortir et elle a même assommé James.

Je porte mon regard sur James qui est allongée sur le sol la tête complètement défiguré, elle n'a pas allé de main morte on dirait.

Elle semble pas me remarqué et elle continue en vain de se débattre même si elle va passer un mois en train d'essayer de s'échapper de leur main, elle n'arrivera jamais avec son p'tit corps.
J'ai l'impression de voir une poupée bien habillé quand elle est devant moi.
C'est pour cela qu'elle voit tout le monde comme un Géant peut être.
Moi : dit leur de la lâcher.
Oscar : mais patron..
Moi : fait ce que je t'ai dit Oscar.

Il aquiecse peu convaincu et se dirige vers eux pour exécuter l'ordre.
Ils me jettent un regard d'incompréhension mais finissent par la lâcher.
Elle se tourne vivement vers moi et plante ses irris foncé dans le mien avec une tête colérique.

Je m'approche d'elle lentement toujours mon regard dans le sien, elle avale difficilement sa salive mais elle se reprend vite en forçant un visage impassible pour cacher sa peur.
Arrivée à sa hauteur je la regarde de haut en bas ce qui a le don de l'énerver bien qu'elle l'était déjà.
Elle s'apprête à l'ouvrir mais elle se tait sûrement se rendent compte de conséquences.
Mais j'en doute que ça soit pour cette raison, parce que depuis le jour où je l'ai amèné au deuxième étage j'ai l'impression que je n'ai plus aucune emprise sur elle.
Mais je garde quand même mon visage fermé bien que je suis toujours comme ça.
Moi : qu'est ce que tu fous là ?

Je sais très bien la réponse ne va pas me plaire, en plus tout mes hommes sont là, je la tire par le bras et on se trouve vers la grande piscine.
Moi : je t'ai posé une question répond moi" dis je désertique"

Mehrine : ah oui, tu me demande vraiment ce que je fous ici ?
Moi : je veux pas me répéter, alors dis moi ce que tu fous ici ?
Mehrine : toi mais toi Argh je vais te tuer, te tuer tu m'entends.

Et elle part énervé en murmurant, j'en suis sûre qu'elle est en train de m'insulter.
Elle je pleine déjà sa mère c'est peut être pour cette raison qu'elle n'est même pas à sa recherche.

Je pose mon regard sur Emrane qui a vu toute la scène et qui ne fait que rigoler, je lui fais un doigt d'honneur et rentre à l'intérieur.

Les autres ne sont plus dans la cuisine, seul Max en train de regarder les journaux, je m'apprête à lui parler mais mon téléphone me coupe, je décroche rapidement en montant les escaliers.
Moi : alors ?
Ryan : affaire de Merero est bien classé, il n'est plus une menace pour toi.
Moi : bon travail.

Je raccroche avec un sourire victorieux au lèvre, personne ne peut se mettre en travers de mon chemin ou me défier sinon il finira dans un cercueil.
Merero n'est qu'un débutant mais il avait osé me défier.

Il me reste Diego,lui je m'en charge personnellement.

Je toque la porte d'Anita pour avoir les informations qu'elle a trouvé chez lui.
Anita : Entré.

Mehrine : l'œuvre du destin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant