Mehrine : l'œuvre du destin.

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J'ai cru halluciné en voyant leurs armes pointé sur nous, pourtant c'est bel et bien réel, nous sommes coincé dans une ruelle inhabitable avec deux assassins en face de nous, je n'ai jamais eu autant peur qu'aujourd'hui, même le jour que Yazir avait tué Médine je n'ai pas été aussi paniqué que ça, mon cœur battait à la chamade comme s'il allait sortir de sa cage thoracique, mon corps entier déjà tremblant commence à désobéir mes mouvements, j'ai le regarde entre les deux assassins et leurs armes, je ne jamais été dans une situation pareille.
Tout ça à cause de qui ?

Vous connaissez la réponse déjà, à cause de cet enfoiré doublé de psychopathe... je le pardonne jamais.

Je pose mon regard sur lui, son regard est vide d'émotion et sombré par une rage, je vois sa mâchoire crispé et sa main sert fermement la mienne, il essaie tant bien que mal de canaliser sa colère car il inspire et expire fort avant de poser son regard enfin sur nos agresseurs.
Yazir : qu'est ce que vous voulez ? "Dit il d'un ton calme et sec"

Celui qui a la plus grande taille ria en jouant avec son arme... Il prend la parole mais il parle tout de même en Italie donc je ne comprends rien dans ce qu'il racontait..

Les yeux de Yazir devient plus sombre ce qui me fait comprendre que la situation commence à dégénèrer, je ne veux en aucun cas revoir ce putain de regard qu'il a car se me rappelle  lorsqu'il avait noyé ma tête dans la jacuzzi, alors je baisse instantanément mon regard sur mes jambes qui commence à fléchi tout à l'heure.
Honnêtement il me faisait plus flipper que nos agresseurs...au moins eux ils ne dégagent pas d'animosité dans leur regard et ça se voit que ce sont des simples voleurs...

Ils continuent de parler en Italie, j'étais là en train de les observer comme une conne la situation est un peu simple avant que le plus âgé d'entre eux, prends la main de Yazir et essaie d'enlever sa chevallière rouillé qu'il faisait ce putain de bruit bizarre avec.

J'ai cru voir la mort elle même en posant mon regard sur ce de Yazir,son souffle est devenu bruyant sa mâchoire est deux fois plus crispé que tout à l'heure et une veine ressortis de son front... son aura est destructrice et mauvaise, elle empestait une grosse noirceur je crois que ce voleur a vraiment mais vraiment merdé.
Je vois pas pourquoi il s'est mis dans cette colère pour une simple bague rouillé, il peut tout de même leur donner si c'est ce qu'ils veulent et on pouvait enfin se casser sauf si elle représente quelque chose pour lui...
Bref, le voleur continue à insister pour enlever la bague de Yazir...et en une fraction de seconde l'arme de ce voleur se trouve dans la main de Yazir,par je ne sais comment..
Il est vraiment d'une force inouïe lui j'avoue...

Il commence à rire à gorge déployée comme un tarée psychopathe qui vient de faire une crise,ce qui a le dont de me faire plus flipper.
Cet homme est horrible aussi que je ne le pense.. tout ce que ce monde avait créé de mauvais est dans son cœur.

Le regard de voleurs change de suite, je vois leur main trembler, je peux même dire qu'ils sont dans le même état que moi...
Mais le pire est que cet enfoiré de merde sans foutait royalement de leur réaction car il continue de les viser en s'amusant à frôler la gâchette...
Ne me dit quand même pas qu'il voudrait les tuer juste parce qu'ils ont voulu prendre une putain de bague.
Moi : je t'en prie Yazir allons y.

C'est comme si je ne parlais pas il continue de regarder les voleurs fier de l'état qu'ils avaient.
Je me demandais vraiment si il avait un cœur lui ou s'il est humain, parce que un humain ne se comporte pas de tel façon devant les faibles... j'ai déjà de la peine pour eux parce que je ne sais pas ce qui pourrait leur faire