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26 décembre 2019.

Point de vue de Jungkook.

Nous sommes bientôt en 2020, je n'ai ni changer, ni évoluer et je suppose que la seule personne que j'apprécier au monde, m'a oublier, comme toute les autres. Je suis vraiment qu'un crétin, j'aurai du lui expliquer réellement le pourquoi je ne pourrais plus lui envoyé de message. Sa aurait été plus simple pour qu'elle comprenne. Je suis qu'un idiot. Si elle m'oublie je l'aurais mérité.

Maman : Jungkook ?

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ?

Maman : La voisine ta appeler en bas, va la voir.

Moi : OK..

Je quitte malheureusement mon lit si confortable à broyer du noir, je sors de l'appartement et descend a l'appartement en dessous de nous. Ma voisine toute souriante, - comme d'habitude -, m'invite à entrer.

Voisine (un peu trop collante) : Alors mon petit Jungkook, sa va bien ?

Moi :  Sa peut aller. Comme d'habitude.

Voisine (un peu trop collante) : Je sais que tu es triste. Aller dit moi tout, qu'est-ce qui te donne cette mine de déprimer ?

Moi : Enfaîte, j'ai rencontré une fille, je l'aime beaucoup et elle aussi je crois, mais le problème c'est que j'ai plus d'internet a la maison ce qui fait que je ne peux plus lui parler..

Voisine (un peu trop collante) : Ooor, mon petit garçon est amoureux ♡. Je comprends que tu sois triste. Écoute, vers le 30 décembre, je partirais en vacance pour la France. En attendant mon absence, tu pourras utiliser mon internet d'accord ?

Moi : Quoi ? Tu en ai sur ?

Voisine (super gentille au final) : Mais oui mon chéri ! Vient juste me voir avant que je parte, je t'appellerai de toute façon.

Moi : Merci ! Tu es la meilleure !

Voisine (super gentille au final) : Je sais merci ♡.

Je ne pu me maintenir de lui serrer. Notre étreinte dura quelques minutes avant que je du repartir chez moi. Je sorti de chez elle en la saluant une dernière fois d'un geste de la main et remonta chez moi.

Maman : Elle te voulait quoi ?

Moi : Elle..elle voulait juste que je l'aide à ranger ces courses..

Maman : Pfff... mes enfants ne sont pas de la main d'œuvre gratuite..

Mdr, dit-elle, alors que je le suis tout les jours pour elle et ma peste de sœur.

Moi : Si tu le dis. Je vais faire un tour.

Maman : ?

Moi : Pas loin.

Maman : Si tu veux, et ce soir je ne suis pas la.

Je n'ai même pas pris le temps de lui répondreque, je suis une fois de plus, sorti de l'appartement en prenant bien soin d'apporter avec moi, mon fidèle vélo. Je me suis mis à pédalé si vite, que j'avais l'impression d'être poursuivi. Mes côtés obscurite me pourchassé, en vérité. Lorsque j'ai un énorme poids en moi, que je ne peux libérer grâce à la muscu et bien je sors. C'est le seul moyen de me libérer.

Je ne pars jamais loin, juste au parc un peu plus bas que la résidence. Un parc magnifique qui donne vu sur la mer.

Mon endroit secret. Le seul endroit qui arrive à m'apaiser. Je me sens si bien, si libre, si apaiser.

Je suis poser sous un ciosque, seul. Les yeux rivés vers le coucher de soleil.

Moi : Pourquoi la vie est-elle si dure ? Ne puis-je donc jamais être tranquille ? Tomber amoureux comme des personnes normaux, se marier, habiter ensemble et fonder une famille. Pourquoi il a fallut que cela tombe sur moi ?

Je n'ai pas pu contenir mes larmes. Il est si facile de jouer l'homme dont rien lui touche, mais si difficile d'être solide lorsque l'on ce retrouve seul.

Je n'ai jamais trouvé cette force, il m'est devenu juste habituel de me lâcher de cette façon, comme sa, je ne montrerai ma faiblesse à personne.

Cette faiblesse qui est la vie.

La douleur de vivre.

Et le malheure d'aimer.

A suivre...

𝐂'𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐭𝐨𝐢 𝓮𝓽 𝓹𝓮𝓻𝓼𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓭'𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮 II J.JkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant