La vie d'Éliara

Chapitre 3 - Amis

La première nuit à la maison vient de doucement s'écouler. Dans un sens, la présence de Wendy, Léonny et de Cédric m'a beaucoup aidé mentalement. Finalement je ne suis peut-être pas si prête que ça à vivre ici ... J'ai peur de grandement regrettez et j'ai peur d'avoir peur ! Étrange, non ? Bref ... Ce matin je me suis levé la première, pour préparer un bon et copieux petit déjeuner, à base d'oeuf aux plats, de brioche, de chocolat chaud, de café et également de bacon légèrement grillé. Le premier de mes amis à s'être alors lever pour me rejoindre, fut Cédric. Il était 6 heures du matin, et je savais parfaitement qu'il allait recommencer à me parler de manière très suave, douce et charmante. Je ne suis pas idiote, et je vous l'ai déjà dit ; mais le problème, et que je ne suis pas totalement hermétique au compliment ou au charme de quelqu'un. Mais Cédric et mon ami, il faut qu'il comprenne qu'il n'y aura jamais rien de plus. On en avait déjà discuté par le passé, quand nous avions ... 15, 16 ans. Il avait dit qu'il avait compris, mais ces réactions ressentent dans ma vie, me fais penser qu'à présent, ça lui passe de nouveau au-dessus. Continuant de faire cuire le petit déjeuner, alors qu'il s'était assis devant mon grand plan de travail sur un tabouret, à me regarder fixement avec un air charmeur ... Je ne pus m'empêcher de me tourner et d'engager la conversation :

_ Bien dormis ? Questionnai-je en regardant de nouveau, le contenu de ma poêle.
_ Ça peut aller ... Annonce-t-il en me regardant fixement. Mais ... Ça aurait pu être mieux, si j'avais us un peu de compagnie. Ajout-il avec élégance, je posais alors ma spatule et me tournai vers lui, avec un visage fermé. Quoi ? Me questionne-t-il toujours de manière suave.
_ Cédric ... Je pensais avoir été claire avec toi. Il fit un léger sourire en coin, comme amuser. Je ne plaisante pas, je ne veux pas et je ne tiens pas ... A ce qu'il y est quoi que ce soit entre nous ! Affirmai-je fermement. Va falloir que tu te rentres sa dans la tête une bonne foi pour toute ! Je me tourner alors, pour reprendre la cuisson de mes œufs.
Cédric se leva calmement, fit le tour du plan de travail et m'attrapa délicatement par la taille, en plaçant sa tête proche de la mienne. J'étais à ce moment-là, terriblement mal à l'aise alors qu'il me chuchota dans le creux de mon oreille :
_ Je sais chérie. Mais ... Je n'y arrive pas ! M'avoua-t-il toujours de manière très charmeuse. Je ne peux pas m'empêcher de vouloir t'avoir à mes côtés, t'embrasser, te toucher, te sentir et même ... Imaginer notre futur. Rien qu'à cette idée, je commençais à me sentir malade ... J'ai envie de te voir dans tous des états, tous les jours. Je sentis alors, qu'il se collait contre moi et que ... Il était dur en bas !
Je me retourner d'un coup de manière assez vive, avant de le repousser pour qu'il s'éloigne de moi. Je nus le temps cependant de me rendre compte, que je venais de me bruler que très légèrement et partiellement la main, avec la poêle chaude qui tomba sur le sol avec les œufs. Je fixais alors Cédric, et déclarai avec colère et grande fermeté :
_ Éloigne toi de moi tout de suite ! M'exclamai-je vivement, et presque en criant pour que les filles descendent au plus vite. Je ne t'aime pas comme ça Cédric, c'est quand que tu vas le comprendre ? Assurai-je alors avec poigne. Tu es un ami. UN AMI ! Gueulai-je avec force, et sang-froid. C'est alors que Wendy comme Léonny, arrivèrent en pyjama, voyant la scène ; je pointant de mon index Cédric, qui me fixait avec colère. Ne t'avise plus JAMAIS ! De te frotter à moi comme tu viens de le faire. JE ne serais ... JAMAIS ! Ta petite copine ! Notifiai-je alors de nouveau, avant d'enfin passer ma brûlure sous l'eau.

Cédric était gêné et n'osait plus bouger, surtout que les filles voyez bien son érection. Cependant, il se reprit rapidement et quitta la pièce en prétextant qu'il allait prendre une douche. Il passa entre Léonny et Wendy qui le laissèrent passer, avant de se tourner vers moi. Wendy se dirigea vers la poêle pour la laver et nettoyer les œufs au sol, tandis que Léonny s'approchât de moi et examina rapidement ma blessure. Très rapidement, Wendy et Léonny m'aidèrent à préparer le petit déjeuner, avant de manger, d'aller s'habiller et enfin de partir sur mon terrain pour commencer à travailler. Cédric quant à lui bouder, restant a l'étage sans venir nous embêter. Dans un sens, s'il pouvait partir de chez moi discrètement sa m'arrangerais. Mais bon ... Impossible, il n'avait pas de réseau et son père était nul avec l'information et les technologies modernes. Avec les filles, on prit une espèce de petite motobineuse qui fonctionnait a la vapeur, la mention en route et passion un léger coup sur la terre que nous voulions cultiver. C'est assez rapidement et grâce à leur aide, que nous avons réussi à planter toutes mes graines, et installer également le système d'arrosage, que je n'aurais à allumer qu'une heure par jour pour entretenir mes plantes. À présent, alors qu'il était déjà 11 heures du matin ; nous pouvions toutes les trois visiter ma propriété. Je découvris que c'était ma source d'eau, qui alimentée tous le village en petite rivière calme, mais aussi, que j'avais une sorte de cave naturel, creuser dans la falaise. J'avais aussi une grande grange, une écurie et les pâturages qui allaient avec. Quant aux terres supérieures, il y avait une sorte de bois, avec un grand hangar et une scierie mais aussi un beau et immense verger où ce trouver des orangés, des pommiers, des cerisiers, des poiriers beaucoup de fruits divers que je pourrais mettre en bocaux pour vendre. Grand-père avait vraiment pensé à l'avenir, quand je pense que je ne l'avais pas connu ... Je regrette tellement. Assise dans l'herbe avec les filles sur les terres du haut, celle-ci qui regardait les environs avec admiration, commencer a parlé de ce qui s'était passé avec Cédric. Je ne pouvais que les comprendre, ce qui était arrivé était important pour elle, car je savais que Wendy comme Léonny ; étaient toutes deux, raide dingue de lui contrairement à moi :