Chapitre 13 - Fissure

8 0 0
                                    

Je suis assise, devant mon bureau à travailler. Je suis à mon premier jour de travail ... J'avoue, je suis un peu déçu de l'environnement de travail. Mais bon ... Peut-être que c'est juste pour une nouvelle épreuve de sélection ? Alors que je prépare mon tous premier projet au sein de cette entreprise qui m'a fait temps rêver. Je sens une main ce poser sur mon épaule, je me retourne avec calme et un grand sourire avant de voir l'horreur. Tous devenant d'un coup sombre, je vois devant moi un de mes collègues, le visage à demi arraché, du sang et son œil exorbité me fixer ... Derrière lui, se trouvent deux autres collègues que je connais bien, l'un d'entre eux, étaient avec la peau totalement fondue, ces cheveux également bruler comme ces vêtements et cette odeur qui me prenait le nez ... quant au second, elle avait les yeux gorgés de sang, une corde autour de son cou et également ... Un teint tellement pâle que je savais que comme les deux autres ... Elle était morte. Mon cœur battez terriblement fort dans ma poitrine, tellement, que j'entendais les battements de cœur et mon sang, circuler avec boucan dans mes oreilles. Refusant de me lâcher l'épaule, alors que je voulais fuir ... Mon collègue au visage à demi arrachée, me dit d'une voix venant d'outre-tombe : "Rejoint nous ..." Je protestée, en essayant de me débattre, je ne voulais pas mourir. Soudain, m'horrifiant encore plus dans cette vision déjà horrifique ; je vis mes trois collègues fondre dans une mare de sang totalement noir, alors que naissait de ce sang, le visage déformé de Wendy, mixer à celui de Léonny et Cédric. Tous ayant les yeux totalement blancs, une peau grise, dès que ceux-ci commençai à hurler, je me retrouver alors emportée dans une vague immense de sang et de cadavre ou j'essayais désespérément de sortir ou au moins, de rester à la surface pour ne pas manquer d'air ... J'entendais aussi, des hurlements de loups ... Qui naissaient des vagues de ce lieu, et sautée de celle-ci, tels des dauphins sautant hors de l'eau. Sentant le sol trembler, alors que j'entendais comme des coups. Je me retrouver soulever de cette marré morbide, par une main géante. Regardant sans attendre, qui venait de me sortir de là, je vis terrifier de reconnaitre Cédric. Souriant avec folie, tous en riant comme un fou. Il me serra dans sa main, alors que j'entendais ces coups de plus en plus fort dans ma tête ; il déclara avec sa folie : "Tu m'appartient !". Je me mis à hurler, et d'un coup je sentis mon corps être comme aspiré ailleurs, loin de tout cela. Je sursautai d'un coup, ouvrant les yeux et me redressant d'un coup. J'entendais toujours frapper ... Quelqu'un était à la porte et frapper visiblement comme un fou. Regardant autour de moi, je compris bien vite qu'il n'y avait pas Laura a mes côtés, et que sans doute personne d'autre que moi n'allait ouvrir. Soupirant en essuyant mes sueurs froides, je dis avec calme et sévérité à Peeper de me suivre. Me levant en attrapant ma robe de chambre, je descendis les escaliers quatre à quatre tout en mettant ma robe de chambre. Je pris la clef, l'insérai dans la serrure avant d'ouvrir la porte en la déverrouillant. Devant moi, se trouver monsieur le maire, accompagné de deux gendarmes. Je le regardais avec étonnement, me demandant pourquoi il frappait ainsi à ma pauvre porte. Peeper aboya un coup vers le gendarme le plus âgé, avant que je n'intervienne :

_ Peeper ça suffit. Assis ! Ordonnai-je avec respect à mon chien, qui s'assied à mes côtés, sans lâcher du regard le gendarme. Monsieur le maire, que se passe-t-il ? Questionnai-je en le regardant, essayant de chasser de ma tête ce cauchemar horrible que j'avais fait.
_ Mademoiselle Éliara ... Monsieur le maire retira sa casquette de sa tête, la tenant entre ses mains. Pouvons-nous rentrer ? Questionne-t-il en me fixant l'air abattu.
_ Bien évidemment. Dis-je en m'écartant, avant de regarder Peeper. Peeper va au panier ! Dis-je avec calme à mon chien, qui se leva et partit alors que le maire et les gendarmes entrés à la maison, Laura, Léonny et Wendy se tenaient dans les marches, écoutant discrètement. Vous souhaiter un café ? Questionnai-je en m'apercevant de l'heure grâce à mon portable, car il était que 5 heures 30 du matin.
_ Non merci Éliara. Répondu le maire, qui semble terriblement mal. Euh ... ces messieurs aimeraient te parler, si cela ne te dérange pas ma petite. Je regardais avec questionnement le maire, avant de regarder les gendarmes.
_ Navré de vous déranger à une heure si matinale Mademoiselle. Nous aimerions vous demander pour commencer, votre identité et ce que vous faisiez hier soir entre ... 22 heures et minuit ! Déclara avec calme le premier gendarme, qui était le plus jeune et moins grader ; je le fixer avec questionnement, mais je savais qu'il attendait une réponse.
_ Je m'appelle Éliara Martch, j'ai 19 ans et ... Hier soir à cette heure je devais soit prendre ma douche, ou ... Dormir. Avouai-je sans vouloir dire que je pleurais dans mon lit. Pourquoi ?
_ Vous connaissait un certain ... L'homme regarda son carnet, cherchant une information dessus. Dog's Cédric ? Mon sang se glaça, qu'est qu'il avait encore dit ou fait ?
_ Oui ... Répondis-je méfiante. Pourquoi cette question, qu'est qu'il a encore fait ? Questionnais-je en me sentez comme prise au piège.
_ Vous savez pour qu'elle raison il est venu au village ? Questionna avec douceur l'homme, mais je sentais que quelque chose n'aller pas ; ils ne voulaient pas répondre à mes questions. Si vous le savez avec exactitude, ça nous arrangeraient. Ajout le gendarme, toujours très doux et calme.
_ Je ... Je ne sais pas pourquoi il est venu au village. En tout cas, je ne lui ai pas parlé depuis presque 1 mois ! La dernière fois qu'il est venu ici, ça c'est très mal passé ... Expliquai-je sans vouloir cacher cette vérité déplaisante. Mais ... Je pense qu'il est venu pour passer la fête de l'amour avec moi.
_ Pourquoi ? Questionna le gendarme le plus âgé de manière assez sèche.
_ Chaque année il vient la passée avec moi, et fait fuir tous les garçons qui osent m'inviter à danser ou ... M'offrir des cadeaux. Avouai-je, alors que l'homme me dévisageait avec un air qui semblait mauvais ou même froid. En gros ... Il me gâche chaque année cette fête. Je me mis à froncer des sourcils, décider à ce que cette foi on me réponde. Vous aller me dire ce qu'il se passe ?
_ Mademoiselle ... Vous ... Le jeune gendarme n'us le temps de parler, que le gendarme le plus âgé prit la parole en le coupant de manière très sèche et vive.
_ Il est mort ! Dit-il froidement, son jeune collègue ce tournant vivement en le dévisageant.

La vie d'ÉliaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant