La vie d'Éliara

Chapitre 6 - Silure

Cela fait déjà quelques jours que ma soirée catastrophique, c'est dérouler. Louis n'est toujours pas venu s'excuser et Garaheï et toujours enfermer chez lui, et hautement protéger par sa belle-mère et son père. Je m'en veux, je me sens terriblement responsable ... C'est de ma faute s'il va mal depuis plusieurs jours. Bon sang ... J'aurais dû penser à préparer un autre film en secours ... Mais alors que j'étais plongé dans mes penser, alors que je pêchais. Je sentis que ma ligne se tendait, je commençais à attraper ma canne et à rembobiner le mouliner pour attraper un nouveau gros poisson. Dans ma maison, j'avais trouvé de vieille installation pour faire du poisson sécher ou même des recettes de poisson en conserve. Donc je prépare l'hiver en grande avance afin de ne pas à avoir trop à dépenser, car pour ce mois-ci ... Les dépenses sont quand même assez importantes ... Entre l'achat de l'imprimante, des raccords pour mon système d'irrigation de mes cultures mais aussi pour la réparation de ma chaudière qui m'avait lâchement abandonné ... Ben j'étais déjà dans le négatif alors même que je n'avais pas encore vendu le moindre légume. Cependant, et heureusement. Mes Panait enfin pour la plupart, étaient bientôt prêts à être récoltés. J'aller pouvoir faire connaissance avec l'ancien associer de mon grand-père, pour lui demander de vendre mes légumes sur les marchés et surtout ... Me faire enfin de l'argent. Je tirais ma grosse carpe de l'eau, et commençai à la peser. Cette belle mémère faisait 3 kg 150 ! Une bien belle bête, que j'ai mis 45 minutes à sortir de là. Je l'installer confortablement dans une grande bourriche, avant de continuer ma pêche en compagnie de Peeper. Mais alors que je pêchais calmement non loin de l'église, je vue Monsieur le maire venir à ma rencontre. Je posais ma canne à pêche dans un support, avant de me lever de mon tabouret et de le saluer très poliment :

_ Bonjour Monsieur le maire. Vous allez bien ?
_ Bonjour ma petite Éliara. On ne peut plus bien, j'ai de grandes nouvelles pour toi ! Annonce-t-il avec joie, m'intriguant au passage. Nous venons de recevoir deux commandes importantes de maison dans notre village.
_ C'est super ça, de nouveau habitant von donc loger ici ? Questionnais-je avec intérêt.
_ Deux familles pour être exacte. Et c'est là, que TU, interviens. Je le fixer avec questionnement, en quoi cela pouvait-il me regarder ? Tu as dû voir qu'au-dessus de ta maison, tu avais une scierie et un bois. J'aimerais que tu nous fournisses en charpente !
_ Pardon ? Questionnai-je avec choc. Mais ... Je n'ai jamais fait ça, je n'y connais absolument rien. Avouai-je sans honte, car je n'avais jamais pensé que mon grand-père avait plusieurs cordes à son arc ; mais Monsieur le maire ce mis à rire aux éclats, il se moque de moi ? 
_ Je me doute, cela était aussi le cas de ton grand-père ! Cependant je t'achète le bois, et te loue ta menuiserie ainsi que ta mine de calcaire, pour récupérer tout ce dont nous avons besoin. Annonce-t-il, me soulagent d'un poids, mais soulèvent tous un tat de question. Dès que tu as du temps, demain ... Viens me voir avants 10 heures, histoire que nous négociions le prix du bois, du calcaire, de la location de la scierie, mais également pour la mine et ses chargements. Annonce-t-il, calment beaucoup de mes questions d'un coup. Comme ça m'a mignonne, ça te laissera le temps de réfléchir à des prix, te renseigner et faire en sorte qu'on trouve tous deux un bon terrain d'entente.
_ Ok, pas de problème. Merci beaucoup Monsieur le maire. L'homme rit à nouveau.
_ Appel moi Élioth. Aller ... Je te laisse retourner à ta pèche, bonne journée à toi.

Monsieur le maire repartit l'air tout content, dans un sens, je le comprenais. Car si se marcher était établie entre moi et le village, ben ... J'aurais clairement moins d'emmerde financière. Enfin pour un temps. En attendant, je ne devais pas espérer sur cette argent. Comme ma mère m'a toujours dit, ne fais pas de projet si tu n'as rien. Elle n'a pas tort, et ne l'a jamais us. Mais alors que je me réinstaller, je sentais mon téléphone vibré. Je l'attraper sans attendre, et vis le compte de ma mère. Je soupirais en levant les yeux au ciel, avant de décrocher :