La vie d'Éliara

Chapitre 10 - Journée de mer ... credi !

Doucement le soleil se lève sur le petit village perdu de Neem. Comme le soleil, j'ouvre doucement mes yeux et me lève, pour commencer toutes mes tâches de la journée. Je m'habille, sort Peeper, prépare le petit déjeuner pour moi et ma petite sœur. Je sortis de la maison pour aller m'occuper de mes poules, de la vache de ma sœur et de mes porcs, avant de me rendre a la mine pour voir ou se trouver Louis. Il m'avait dit qu'il viendrait a 8 heures a ma porte pour prendre un café, enfin ... a ma sœur. Mais il était déjà 8 heures et 30 minutes, et il n'était toujours pas là. Entrant dans la mine, j'entendis les maçons continuer leur travaille ; d'ailleurs, il avait trouvé un coin qui avait quelques pierres précieuses, qu'ils m'avaient mis de côté dans un grand conteneur pour m'aider. Je les avais d'ailleurs remercier de ce geste, mais cela ne changer pas le fait, que je devais aller chercher Louis. Entrant dans la mine, je me diriger vers sa zone d'excavassions et le trouver la ... allonger a terre, la tête appuyée contre une veste, les mains jointes sur le ventre et les pieds croisés. Ce saligo dormait ! Je regardais le conteneur, qui était a moitié vide ... Même pas a moitié, il était vide, les quelques pierres qui ce trouver dedans, étant celles que j'avais moi-même sorties avec l'aide de ma pioche. Il n'avait rien foutu de la nuit ! Je me tournée vers lui, et donna un grand coup de pied dans ces pieds ; il se réveilla net, en sursaut :

_ Alors ... Tu a bien travaillé, le travailleur ? Il me regarda, l'air choqué et bouche bée. Tu a deux secondes pour m'expliquer, pourquoi tu n'as rien fait ? Questionnai-je, avant de reprendre. Remarque, tu sais quoi ; je m'en moque rentré chez toi je vais me débrouiller avec les Frères Stones ! Ajoutai-je très énervé. Je vais leur faire savoir que tu t'es foutue de ma gueule depuis le début, et que c'est a toi de leur rendre des comptes.
_ Merde je ... Il se leva pour me rejoindre, alors que je sortais de la mine furieuse. Éliara attend ! Cria-t-il. Je suis désolé, attends ! Annonce-t-il en se plaçant devant moi, une fois sortie de la mine ; il m'empêche d'avancer, et je le regardais les bras croiser. Je suis désolé, vraiment sincèrement désoler ! Je ... Il soupirait sèchement, mais je lui coupai la parole sans attendre pour donner mon point de vue.
_ Garde ta salive ! M'exclamai-je froidement et durement. J'ai autre chose a faire, et étrangement aujourd'hui je sens que cela va être une journée de merde. Donc ... Rentre chez toi, et fait moi pas chier. Ok ? Dis-je en le contournant, mais il ne voulait pas me laisser.
_ Éliara je suis désolé ! Dit-il vivement en me suivant. Je suis qu'un abruti, je pensais vraiment que j'arriverais a travaillé cette nuit, je te promets ! Annonce-t-il, sans même que je me fatigue a vouloir lui répondre. S'il te plaît Éli pardonne-moi ! Je levais les yeux au ciel, agacé. Éli je ...
_ ARRÊTE ! Criai-je vivement, en me tournant vers lui ; il semblait surpris de ma protestation. J'ai horreur que l'on demande pardon, ou même la pitié ! Avouai-je avec colère. Maintenant rentre chez toi, et reste si, tu vas être capable de foutre ma journée en l'air si tu continues ! Avouai-je, alors qu'il m'attrapa d'un coup les mains.
_ Je t'en supplie, laisse-moi me faire pardonner ! Me déclare-t-il, commençant alors a s'approcher de moi, comme pour m'embrasser. 
Mon instinct, et mes reflex était toujours aussi vif. Je me souvenais de Cédric quand il avait essayé de m'embrasser dans ma cuisine, et avec la colère qui avait empoissonné mon corps, je repoussais avec force Louis qui ne s'y attendait clairement pas. Reculant de plusieurs pas, il était visiblement agacé de ce rejet, mais encore plus quand il remarqua quelqu'un derrière moi. Me tournant alors, je vis avec étonnement Lolias, accompagnée de Léonny, Wendy et de son demi-frère, Garaheï. Il serrer le point et sembler boudée, il détourna le regard avant que Lolias qui en avait gros sur le cœur saluât gentiment et poliment Léonny et Wendy, avant de presque s'enfuir des lieux. Je courus sans attendre vers Lolias, pour la calmer sans attendre ou prendre en compte la présence des filles sur mon terrain, ni même de Louis. Mais alors que j'aller pour la rejoindre, Garaheï me dit fermement d'une voix dure :
_ Tu devrais la laisser Éli. Je me tourner vers Garaheï, surprise. Elle a besoin d'être seule quelque temps ... Il me regarda, fit un léger sourire, avant de regarder de nouveau Louis, qui semblaient agacer par sa présence. Toi ... Grognât-t-il sévèrement. Fou le camp d'ici ! Éliara ta demandé de rentrer chez toi, alors dégage ! Déclare-t-il très fermement et sévèrement.
_ Ouais, ouais ... Répondu Louis qui partit les mains dans les poches, l'air furieux, frustré et agacé ; je le regardais s'éloigner avec mépris, avant de regarder Léonny et Wendy qui semblait gêner.
_ Navré de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Dit en me regardant Garaheï, avant de fixer Léonny et Wendy. Mais ... Elles m'ont demandé de venir en cas de besoin. M'avoue-t-il à mon grand étonnement. J'ai accepté, bien que je ne sache pas quoi faire ... Ajout-il timidement, comme-ci leur présence avait été un prétexte pour enfin venir me rendre visite. Et euh ... Désoler pour la dernière foi. Je suis partie comme ça et ... Je lui coupais la parole sans le laisser terminer.
_ Ne t'inquiète pas pour ça, on en reparlera tout à l'heure. Mais pour le moment ... Je me tourner vers les filles, qui semblaient toujours aussi mal à l'aise. Je vais devoir m'occuper de ça. Je me tourner totalement vers elle, croisant les bras et les fixant. Qu'est que vous foutez de nouveau chez moi ?
Léonny ce trouver face a Wendy, toutes deux ce regarder avec crainte et peur. J'étais visiblement assez furieuse pour leur faire peur, mais je sentais qu'il n'y avait pas que ça. Je sentais au fond de mon petit cœur, qu'il y avait quelque chose de plus compliquer sur leur venue. Wendy n'était pas du genre à vouloir s'excuser auprès de quelqu'un, et quand elle disait à une personne qu'elle ne voulait plus jamais la voir ou qu'elle ne l'aimer pas ; alors, elle l'ignorait ensuite à vie et continuer d'avancer sans cette personne. Mais là, elle se trouvait chez moi, devant moi et l'air paniqué. J'attendais qu'elles se décident, et c'est Léonny qui prit en première la parole, tandis que Wendy restée assise sur sa valise, sa jambe droite tremblant terriblement nerveusement : 
_ Éli. Euh ... Elle semblait chercher ces mots. On sait que ... Enfin ... Je levais les yeux au ciel, attendant. Je ... Oh ... Elle soupira très fortement, avant de prendre un air décidé. Bon ! S'exclama-t-elle. Je sais que tu es fâchée et je te comprends je le suis aussi contre Wendy ! Mais moi je n'ai jamais piétiné notre amitié pour cet idiot car j'ai compris qu'il était un connard ! M'avoue-t-elle, alors que je restais de marbre face à elle. Cependant là, ont à plus grave ! Cédric en a après nous, il veut nous faire la peau et faire la peau à tous ceux qui s'approcheraient de toi ! Déclare-t-elle, ne me surprenant pas une nouvelle fois.
_ Et ? Questionnai-je alors qu'elle ne parlait plus, elle me fixa avec le plus grand étonnement. Cela fait des années que je connais Cédric, et je sais que je suis prisonnière de sa possessivité ! Garaheï me fixait silencieusement. Pourquoi à votre avis, je ne me suis jamais remis en couple avec quelqu'un ? Ce n'est pas par pure envie ou dégout des hommes, loin de là ! Avouai-je en repensant à plusieurs garçons qui m'avais plus dans le passé, qui n'on jamais pue avoir de chance à cause de Cédric. Donc je n'ai pas peur, et j'ai l'habitude ! Ajoutai-je calmement. Si vous avez fait le déplacement pour me donner cette information, désoler mais ce n'est pas la peine ... Je le sais depuis longtemps, donc vous pouvez rentrer, et me fiche la paix ! Léonny, était choqué, mais n'en démordait pas.
_ Ce n'est pas pour ça que nous sommes en danger Éli ! Dit-elle vivement, mais j'en avais assez, j'aller pour partir pour retourner dans ma mine. Wendy et enceinte de lui ! Je me figer d'un coup, je me tourner vers elles, l'air grave.
_ Qu'est que ... Tu viens de me dire quoi là ? Questionnai-je, craignant avoir mal entendu.
_ Wendy et enceinte de Cédric. Je fixais quelques instants Léonny, avant de regarder Wendy qui fixait honteusement le sol. Cédric, à ... plus ou moins abuser d'elle, a l'hôtel, le mois dernier. Je n'en revenais pas ... J'avais raison, il y avait bien une raison pour leur venue, et elle était vraiment grave. Éliara, même si notre amitié ne pourra jamais être réparée. Tu veux bien nous loger ici quelque temps ? Histoire que l'on trouve un lieu, ou se cacher loin de Cédric. Je regardais de nouveau Léonny, l'air froid et dur.
_ Avorte. Léonny me fixa, avant de se tourner vers Wendy, qui me regardait avec un air choquer. Petit conseille, avorte de ce monstre ! Un long silence avait pris place, ni Léonny, ni même Wendy semblé être en mesure de vraiment protester face à mon conseil. Installez-vous dans la maison, mais attention je tiens à être claire. Les filles me fixaient, toujours silencieusement. J'ai déjà du monde chez moi, alors vous resteraient ici seulement 15 jours ! Léonny protesta sans attendre, et je m'y attendais.
_ On ne trouvera rien d'ici 15 jours ! S'exclame-t-elle sans attendre.
_ Ce n'est pas mon problème. Déclarai-je fermement. Moi, je n'ai pas trahi mes amis, je ne leur ai pas manqué de respect en disant que je trainais avec elles, uniquement pour un type. Et pour finir ... Je m'approcher d'un pas vers Léonny, qui en recula d'un. Je ne tiens pas, à voir débouler ici Cédric, quand il apprendra que vous vous êtes planqué chez moi ! Annonçai-je avec calme. Si vous avez besoin d'aide ou d'un logement, demandez au maire, il aura peut-être des solutions pour vous deux. Et surtout pour toi ! Dis-je en dévisageant Wendy, qui n'avait toujours pas parlé. Sur ceux, désoler, mais je dois retourner travailler ! Dis-je alors en me tournant, faisant signe à Garaheï de me suivre.
Je partis à la mine, accompagnée de Garaheï. Je vis très bien les filles se regarder et discuter entre elles quelques instants, avant d'entendre la porte de ma maison s'ouvrir et se refermer. Mais j'en n'avais plus rien à faire, il valait mieux être seul que mal accompagnait. Soupirant en arriver dans un coin calme de la mine, je me tournée vers Garaheï et prit la parole dans un grand calme :
_ Je suis vraiment désolé Garaheï. Je le fixer alors droit dans les yeux, il avais ces même yeux dorés que ce loup, j'us d'ailleurs un sursaut.
_ Euh ... Un problème ? Je le fixer avec étonnement, avant de me reprendre alors qu'il semblait mal à l'aise.
_ Non, je ... Pardon, mais je viens de remarquer que tu as la même couleur d'yeux que le Loup Alfa qui vit ici. Bref ... Dis-je en voulant pas trop m'attendre sur ce sujet. Je voulais déjà m'excuser pour le coup que les filles, t'ont demandé de venir. Lui expliquai-je en le fixant avec douceur. Sa ne ce fait pas et tu n'avais pas besoin de nous voir régler nos comptes de cette manière. Garaheï semblé gêner par mes excuses, et se gratter la tête en devenant légèrement rouge. Et aussi ... M'excuser, pour la dernière foi. Garaheï, me regarda d'un coup avec étonnement. Je suis vraiment désolé que Louis t'est dit toutes ces horreurs, et qu'il t'a insulté de la sorte sans que je n'aie le temps de comprendre. J'espère que tu ne m'en voudras pas, et qu'au moins on pourrait un jour devenir ami. Garaheï continué de me fixer, comme-ci quelque chose le choquer dans mes propos.
_ Tu ... Tu veux vraiment, que l'on devienne amis ? Questionne-t-il, l'air méfiant et intrigué.
_ Ben ... Je fixais Garaheï, qui a cet instant, semblé être quelqu'un de différent. Ouais. Enfin je veux dire ... Si toi tu le veux, sinon ... Je ne te force pas !
_ Attends ! Il recula d'un pas, semblant réfléchir. Malgré, que je sois très ... Solitaire, silencieux, voire même ... Associable ... Tu veux que l'on soit ... Amis ! Je le fixer, silencieusement. Tu es sûr de toi ? Me questionne-t-il pour être sûr.
_ Ben ... Dison que tu pourrais être un clown dans un zoo, ça ne changerait rien ! Contrairement à Louis, ou même Léonard, tu ne tes pas montré malpolis, prétentieux ou sans gaine avec moi. Dis-je en lui souriant, et le fixant amicalement. Puis ... On est tous différents ! Ajoutai-je sans attendre. Alors, tu veux bien que l'on devienne ami ? Garaheï me fixa d'étonnement, avant de reprendre son air renfermé et froid.
_ Non ... Je me sentais soudainement idiote, et surtout ultra gêner. Mais ... J'adorerais ça ! Je levais d'un coup la tête vers lui, le voyant pour la première fois sourire de bons cœurs. Je n'ai jamais us d'amis, et honnêtement ... Je suis ravi d'avoir quelqu'un qui souhaite sincèrement l'être. Ajout-il en ricanant nerveusement. Mais ... on ne sait rien de l'un et l'autre. Cette foi, c'est moi qui me m'y a sourire.
_ T'inquiète ! Au pire on fera des soirées avec ma petite sœur pour se connaitre un peu mieux. Déclarai-je en souriant joyeusement. Puis si tu veux venir avec quelqu'un, il n'y aura pas de problème.
_ Ce serait avec grand plaisir !