Chapitre 12 - Sauvage

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Les jours passent doucement sur la petite montagne et les plaines de Neem, Wendy réfléchit à ce qu'elle doit faire, longue les murs de ma maison tel un fantôme ou un mort-vivant. Léonny m'évitant chaque jour et essayé de temps en temps de me parler, mais se fracasse clairement à un mur. Ma sœur, étudient avec calme et rigueur les cours de petites enfances, afin de devenir un jour nourrisse agréée. Louis, continuant de me tourner autour, tel un vautour et a présent, Garaheï qui repousse Louis pour qu'il me fiche la paix, mais surtout pour travailler avec moi ! Cependant, aujourd'hui nous sommes le dimanche 14 février, la fête de l'amour et des amoureux. Installé sous mon porche, avec un châle sur mes épaules et une tasse de chocolat chaud. Je regarde le paysage avec calme, il n'est pas très palpitant étant donné que c'est une sorte de falaise qui fait ce paysage. Mais avec la brume, cela rend cette falaise assez magique. J'ai déjà fini ma journée de travail, enfin presque ... J'ai nourri mes bêtes de bonnes heures, je me suis occupée de la vache de ma sœur et de mes cochons. Cependant, je vais devoir encore examiner ma mine ... C'est un vrai labyrinthe là-dessous ... Comment grand-père faisait-il pour se repérer dans cette mine ? Je devais impérativement remédier à ça. En attendant, je préfère amplement me détendre et profiter, mais cela allait être de trop courte durée. Pour commencer, Laura sortie avec Peeper ce balader au village, le médecin de la clinique lui a dit que cela serait bon pour sa grossesse. Ensuite ... Wendy et elle aussi sortie, je ne sais pas ce qu'elle est partie faire, et je n'en n'avais clairement rien à faire. Pour finir, c'est Léonny qui sortit de la maison, mais contrairement à l'autre et ma petite sœur ; elle vint s'installer à côté de moi, silencieuse. Rien que le fait de sa présence près de moi m'irrité, et je commençais à détester ce banc et surtout, ce paysage et cette tranquillité. J'aller donc pour me lever, afin de ne plus être près d'elle. Mais Léonny prit la parole, m'arrêtant dans mon élan :

_ Tu as fini de me faire la gueule ? Questionne-t-elle sèchement. Je tes déjà dits, que je n'ai jamais pensé la même chose que Wendy ! M'annonce-t-elle en me fixant froidement. Donc arrête de me mettre dans le même panier qu'elle. Je la fixer, tout aussi froidement qu'elle me regarde.
_Tu étaies au courant pour Wendy. Dis-je en la fixant.
_ Je l'ai appris en même temps que toi ... Dit-elle en soupirant. Personnellement ... Déjà à l'époque je connaissais Wendy depuis peu, et j'ai plus suivi Wendy et devenue ami avec les personnes qu'elle fréquentait, par facilité qu'autre chose. M'avoue-t-elle en me regardant avec un air plus doux. Je ... A vrai dire ... J'avais personne en amis en étant môme, et quand on l'est devenu ben ... J'étais contente ! Ajout-elle alors que je ne comprenais absolument rien !
_ Hein ? Questionnai-je en la regardant bizarrement.
_ Je veux dire ... Léonny sembler être complètement perdu dans ces penser. Quand nous étions petites, je suivais toujours ce que disait Wendy. J'était pas populaire et personne ne voulais jouer avec moi, sauf elle ! Je la fixer, arrivant enfin à comprendre ces phrases. Donc, quand elle a décidé de s'approcher de toi, je pensais que c'était parce que tu étais toute seule avec les garçons. M'explique-t-elle en regardant ces pieds. Je ne penser pas que c'était uniquement parce que Cédric t'aimer et tenait à toi, je pensais vraiment qu'elle t'aimait bien aussi ! Elle releva la tête vers moi, pour me fixer. Moi je dois avouer que je suis tombée aussi amoureuse de Cédric, mais tout c'est briser quand ... Elle soupira en grimaçant. Quand j'ai vu l'état de Wendy. Je la fixer, toujours silencieuse. Mon amitié envers toi était importante, et l'est toujours aujourd'hui ! M'informe-t-elle, sans prendre de gants. On a toujours été ensemble depuis notre plus tendre enfance, et même s'il m'est arrivé d'être extrêmement jalouse de toi, je me suis rendu compte qu'en réalité ... Je t'ai toujours envié. Ajout-elle. Tout le monde voulait être ton ami, tous les garçons ton toujours regardez, et tu as toujours été gentille avec tout le monde. Contrairement à Wendy, qui aujourd'hui se rend compte de ces conneries bien trop tard. Elle se tourna vers moi, alors que j'étais toujours debout à la fixer, attendant. Je suis vraiment désolé de toute cette histoire, et je comprends pourquoi tu rejetais et rejette autant Cédric. Mais ... Je ne peux rien y faire ! Sauf te demander pardon ... Elle me fixait, attendant que je réagisse ; soupirant fortement, se croiser les bras en la fixant.
_ C'est bien de demander pardon ... Mais ce jour-là ce n'est pas seulement une blessure que j'ai ressentie venant de vous. Mais une vraie trahison ! Je m'appuyer sur la rambarde de mon porche, les bras toujours croiser en tenant mon châle. On a vécu tellement de chose ensemble, les anniversaires, les fêtes de fin d'année, le premier amour, le premier festival de musique, les sorties enfin ... Tous. Et tout cela pour entendre par celle que je considérais comme ma meilleure amie, me dire ... Qu'elle ne m'apprécie pas, et s'intéresser à moi, juste pour le mec, qui me pourrit la vie en secret depuis des années . Léonny me fixa, silencieuse avec un air compatissant et triste. C'est pire qu'un coup de poignard dans le cœur, car au moins une foi le poignard planté, on oublie tout car on meurt ! Que la ... J'aurais beau essayé d'oublier, je n'y arriverai jamais. Annonçai-je avec fermeté. Cependant ... Je détournais à cet instant le regard. Je ne peux que m'en vouloir de ne pas avoir insisté sur le danger que vous courrier près de lui. Déclarai-je, me sentant quelque peu responsable du sort, que vivais à présent Wendy. Mais ... Finalement, je me dis que c'est mérité pour elle. Vu qu'elle n'a jamais été sincère envers moi. Quant à toi ... Je ne vois pas pourquoi tu es encore auprès d'elle ? Léonny me fixa, étonner de ce que je venais de demander.
_ Car c'est notre amie, à toutes les deux !
_ Tu estimes encore cette fille comme ton amie ? Questionnai-je froidement, décider à faire comprendre que Wendy, même envers elle, elle n'était pas bienveillante. Léonny ... Wendy n'est PAS une amie ! Tu te souviens à ces anniversaires ? Questionnai-je. A chaque foi, elle s'en prenait après toi, t'insulter et t'humilier devant tous CES amis ! Léonny me fixait, l'air fermé et dur. Elle a toujours recopié sur toi en court, et au lieu d'avoir de bonnes notes, tu as us des notes divisées par deux ! Et encore ... Combiens de foi elle t'a volé tes crushs ? Tes vêtements tout neufs ? Ou même simplement tes affaires ?
_ Ce n'est que du matériel ! S'exclame-t-elle, en me regardant comme un animal en détresse. 
_ Léonny, ce n'est pas simplement du ... Matériel ! Tu te souviens, de l'enveloppe que ta grand-mère t'avait laissée avant de mourir ? Tu n'as jamais su ce qui s'était passé ni même ou elle était exactement cette enveloppe. Léonny me fixait, les yeux grands ouverts comme choquer d'avance face a ce que j'allais y dire. Et ben je vais te le dire ! Dis-je en sentant la colère montée en moi. Elle a pris l'argent qui ce trouver dedans, et lut la lettre à tout le lycée en se foutant de ta gueule ! Ce n'est pas pour rien que tes parents ton empêché de retourner au lycée pendant 3 semaines, ce n'était pas pour le deuil ... Mais pour évitée que ces méchancetés ne te blessent encore plus ! D'ailleurs ! Autant continué sur cette lancée des vérités pour que tu comprennes ... Le mec avec qui tu parlais pendant des semaines, il y a quelque années de ça ... C'était elle ! Léonny devenue blanc a cet instant précis. La conversation et entièrement en ligne a l'heure qu'il est, avec toutes les photos et .... Bref. TOUT ! Annonçai-je en la fixant, voyant quelle commencer à trembler.
_ Pourquoi ... Pourquoi tu ne m'as rien dit avant ? Me questionna Léonny, qui semblaient s'effondrer intérieurement.
_ Léonny ... A chaque fois que j'ai essayé de te parler de ces trucs-là. De te dire que Wendy faisait des conneries et que tu devais m'écouter car certaine d'entre elles te concerner. Tu me disais à chaque foi : "C'est impossible, nous sommes amies !" ; "Mais non, elle m'a jurée que c'était quelqu'un d'autre !" Ou encore ... "Mais arrête de mentir ..." Dis-je en changeant de voix pour l'imiter, dans ces phrases qu'elle m'avait toujours sorties. Et comment voulais-tu que je te dise cette histoire en rapport avec ta grand-mère ? Questionnai-je fermement. Tu voulais que je te rende encore plus malade que tu ne l'étais déjà ? Tu venais de faire un AVC en apprenant sa mort, tu ne voulais pas que je te termine ? Léonny se recroquevilla sur elle-même, commençant a pleuré. J'ai toujours tout fait ... Pour arrêter Wendy dans ces cas-là ... Dis-je beaucoup plus calmement. C'est pour sa aussi, que pendant presque un an après le vol de Wendy, dès que je pouvais t'acheter quelque chose, je le faisais. Lui expliquai-je plus doucement et posément. J'ai toujours essayé de compenser ces conneries auprès de toi, car ... Tu ne mérites pas une amie comme elle ! Et elle une amie comme toi ! Annonçai-je en reprenant un peu de sévérité. Tu comprends ? Où je veux en venir ... Je m'installais à ses côtés, et l'attrapai dans mes bras pour la consoler alors qu'elle pleurait a chaud de larmes. Je comprendrais que tu me haïs de ne jamais rien avoir dit avant, c'est peut-être aussi pour ça, que je veux avancer sans vous aujourd'hui ... Il y a dans nôtres amitiés à toutes les trois, que de la méchanceté, des mensonges et des larmes. Avouai-je alors que ma voix commencée elle aussi à se briser, à cause de la tristesse qui m'envahissez soudainement.

La vie d'ÉliaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant