Chapitre 9 - Merci

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Bien habillé, et assied confortablement devant un bureau luxueux. Cédric étudié calmement les compte de l'entreprise familiale. Il a une paire de lunettes sur le bout de son nez, pour se protéger les yeux des lumières bleues, émise par l'écran. Mais alors qu'il continuait de travailler calmement, il entendit frapper à la porte. Il leva légèrement les yeux de son écran, et reconnut la belle et mignonne secrétaire de son père. Mademoiselle Crayon, était une jeune femme âgée de 24 ans, et Cédric le savait parfaitement ... Cette jeune femme, était la très jeune maîtresse de son père. Lui souriant sans attendre, la femme dit à Cédric : "Monsieur Dog's vous attend dans son bureau. Il dit que c'est très urgent, et que cela ne peut pas attendre." C'est donc avec calme que Cédric se leva, et sortie de son bureau en passant devant la jeune femme, qui le dévisageaient avec moquerie. Il traversa les quelques couloirs, qui le séparée du luxueux bureau de son père. Arrivé devant celui-ci, il soupira sèchement par la bouche, avant de frapper à la porte trois coups distincts. Il entendit l'homme lui dire avec fermeté : "Entré !" C'est d'une main ferme, qu'il attrapa la poignée et pénétra d'un pas sûr et d'une allure fière, dans le bureau de son père. Cependant, l'homme, âgées de 57 ans ... Sembler furieux. Devant lui, son bureau qui n'avait ni ordinateur, ni dossier ni même de stylo apparent ... N'avait sur sa présence, qu'une unique feuille pliée en trois, accompagnée d'une enveloppe vide non loin de celle-ci. Cédric s'avança jusqu'au bureau de son père, et resta droit et silencieux, attendant que son père lui autorise de s'assoir :

_ Assieds-toi ! Dit fermement l'homme, alors que Cédric obéis sans attendre ; l'homme observer son fils. Tout se passe bien dans ton stage ? Tu te plais dans la comptabilité ? Questionna le père, qui sembler observer son fils, mais Cédric, trop aveugler par ces projets, ne remarquez pas le comportement de son père.
_ Oui père. Je m'y plais et cela me conviens parfaitement. Déclare-t-il, en restant droit, froid et sûr de lui ; le père souri, en s'enfonçant dans son fauteuil.
_ Je vois ... Dit moi ! Tu es un garçon très intelligent ... Je me doute que tu dois déjà avoir ... Une fille, enfin ... Une fille en vue, non ? Cédric pensant sans attendre a Éliara, ne pensant à personne qu'elle, c'était pour elle et uniquement elle, qu'il voulait devenir chef d'entreprise. Alors ? Questionna de nouveau le père, qui ce lever avec calme et beaucoup de retenue.
_ Effectivement. Une fille me plaît depuis des années. Avouas sans méfiance Cédric, qui pensait que son père aller le soutenir. Bien que cette fille, ne semble pas vouloir partager le même amour que moi. Le père le regarda, silencieux.
_ Comment ça ? 
_ Dison père ... Qu'elle et persuader de m'aimée en tant qu'ami, elle ne sais pas encore rendu compte ... Que cela était de l'amour ! Déclara sans ce démontée Cédric, qui fixer son père dans les yeux. 
_ Je vois ... Soupira l'homme avant de se diriger les mains dans le dos, vers une des très grandes vitres, qui ce trouver dans son bureau. Et ... Personne d'autre ? Je veux dire ... Une femme qui ne veut pas aimer un homme de manière ... Sexuel. Change rarement d'avis ! L'homme se tourna de nouveau vers son fils. N'as-tu donc aucune autre ... Copine ?
_ Non père ... Personne. L'homme fixé Cédric. Cette femme, et celle qui met destinée ! Gentille, intelligente, douce, doué et surtout ... Magnifique ! Annonce-t-il avec ferveur. Une véritable fleur, dans cette société ou on trouve malheureusement que de fausses beautés ! Le père esquissa un très léger sourire, amusé.
_ Tu n'as donc jamais ... Perdu ta virginité avec une autre femme ? Cédric sourit, fièrement. 
_ J'ai fait ma première fois avec elle, et personne d'autre. Annonce-t-il en revoyant les courbes d'Éliara dans sa tête. Cela remonte à loin maintenant, mais ... Je sais, que cela n'était que le début de notre histoire d'amour.
_ Tu n'as donc jamais couchée avec une autre femme ? Questionna le père, qui arriver au but de ces questions ; Cédric repensa à Wendy, et sembler commencer à perdre sa confiance.
_ Cela met arriver de temps en temps ... Je suis un homme après-tout ! Déclare-t-il, le père ayant un visage très froid et sévère. 
_ Je vois. Elles ... Elles ont toujours été consentantes ? Cédric compris, il était piégé. Regarde la lettre sur mon bureau. Cédric fixa son père avec colère, avant d'attraper la lettre ; lissant tout ce qu'avait écrit Léonny, au sujet de Wendy. Tu devrais avoir honte ... Chuchota avec colère son père, sortant le test de grossesse positif. Dès demain, fils ... Je vais te faire rencontrer ta future fiancée. Cédric redressa la tête arrêtant de lire, et voyant le test de grossesse. Ainsi, tu te marieras, et tu n'auras pas à reconnaitre ce morveux que tu as fait à cette fille ! Annonce-t-il en lui lançant le test a ces pieds. Qu'est que tu croyais ? Que j'allais être de ton côté ? Cédric leva le regard vers son père, se sentant tombée des étages de la tour où il se trouvait. Je n'en parlerais pas à ta mère. Mais dès aujourd'hui, tu vas aller travailler à l'accueil de l'entreprise, et tu ne recevras plus de salaire. Peut-être que si tu te montres gentil, et que tu acceptes ce mariage ... Je te rendrais ta place dans l'entreprise. Mais en attendant ... Dès demain je te retire de mon testament !
_ Père ... Je ... Cédric vue l'homme lever la main, prêt à le frapper ; Cédric se protégea par réflexe, tombant de sa chaise en arrière.
_ Ferme là ! Dit-il sans toucher à son fils, commençant à baisser sa main. Tu as tout intérêt à te faire petit, tout petit ... Déclare-t-il avec colère. Je t'interdis de retrouver cette fille qui te plaît tant. Déjà ... il attrapa son fils par le col, et le souleva de terre comme une poupée de chiffon ; il faut dire que l'homme, n'était pas petit et frêle, mais était large, grand et très musclé. Une femme qui dit non, c'est non ! Mais aussi sale petit con ! Une fille, une Femme ou même une vieille ! Savent si elles aiment quelqu'un ou non ! Ajout-il, en parlant sans le savoir des sentiments d'Éliara. Donc, tu laisses TOUTES ces filles tranquilles ! Y compris, la mère de cet enfant ! Annonce-t-il fermement, en le laissant lourdement tombée au sol. Vide ton bureau, je veux que tu soit à ton poste d'accueil dans 5 minutes ! Déclare-t-il, en retournant a son bureau et s'installant dans son fauteuil.

La vie d'ÉliaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant