Chapitre 5 - Catastrophe

13 4 0
                                    


Cela fait à présent 2 semaines que je vis chez moi, à la campagne. J'ai fait de très nombreuses choses sur mon terrain, pour cultiver abondamment et efficacement mes plantes et mon terrain. J'ai automatisé avec l'aide de Francis et de Bastien, toutes mes terres cultivables. Et cela veut dire également, mes vergers et mes pâturages. J'ai labouré également un nouveau parti de mes terres, pour planter de nouvelles graines que j'ai trouvées dans un vieux coffre ; elles ne sont peut-être pas prometteuses, mais vaux mieux tout essayer, non ? Je n'ai pas revenue mes "amis", Cédric, Wendy et Léonny, seraient finalement partis dès le lendemain du village pour rentrer chez eux. Et puis depuis plus rien ... Cependant et étrangement, j'ai remarqué qu'il ne m'avait pas supprimé de leurs réseaux sociaux. Comme-ci en ne faisant pas ça, sa aller changer quelque chose ? J'avais bien d'autre chat à fouetter, et surtout malgré tous le travaille que j'avais à faire, ben ... Je me sentais bien seule dans ma grande maison. Bref ... Sinon j'ai us aussi quelques nouvelles de ma petite sœur, il parait qu'elle sait trouver un petit copain. Comme-ci cela m'était important ... Mais je n'ai rien de vraiment de particulier à vous raconter. Tous et vieux ici, et très calme. Ah si ! J'invite à la maison de temps en temps mes nouveaux copains. Principalement, c'est Louis, Eglantine et Léonard qui viennent a la maison. Et bien que je l'aie toujours invitée, Garaheï n'ose pas, et reste toujours chez lui chez ses parents. D'ailleurs, Lolias fut aussi invitée de temps en temps, et contrairement à son demi-frère, viens aussi presque à chaque foi. Je me suis peut-être trompé à son sujet, moi qui penser avoir fait mouche avec lui ... Tant pis, de toute manière, je n'ai jamais us vraiment de petits copains alors ... Ça ne changerai rien à ma vie que de n'avoir personne au final. Bref ... J'étais en train de préparer la soirée télé pour ce soir, quand j'entendis la sonnerie d'appel de messagerie raisonner. Je m'essuyais rapidement les mains avec un torchon, et décrochai :

_ Bonjour maman ! Dis-je en m'adressant à ma mère, qui pouvait me voir grâce à son appel. Tout va bien ?
_ C'est plutôt à toi que je devrais demander ça ? Annonça ma mère, me faisant sourire. Tu ne te sens pas trop seule ma chérie ? Dit-elle avec calme et bienveillance. Tu sais que si tu veux rentrer, on sera là avec ton père, et sache qu'on ne t'en voudra pas ! Ajout-elle en me regardant avec inquiétude, je lui souris sans attendre. 
_ Non-maman. Ne t'inquiète pas, tout va très bien. Je prépare même des pizzas maison pour manger ce soir ! Affirmai-je à ma mère, pour la rassurée.
_ Des pizzas ? Questionna ma mère, avant de faire un air malin. Tu as un invité ? Ajout-elle avec amusement.
_ Des invitées. Annonçai-je pour être précise avec elle. Ne rêve pas maman, je ne me suis pas trouvé de petit copain ! Je me suis juste fait des amis ! Expliquai-je à ma mère, qui avait une imagination plus que débordante. On va se faire une soirée télé tranquille à la maison, au programme ... Le Maitre des seigneurs. Annonçai-je en la regardant. On va bien s'amuser !
_ A tant mieux ... A propos ... Tu n'a pas de nouvelle de Léonny et Wendy ? Je poser mon couteau sur le plan de travaille et regardez mon téléphone.
_ Non, et ce ne m'intéresse pas. Répondis-je avec calme, alors que ma mère ajouta. 
_ Chérie, il s'est passé quelque chose ? Questionna alors ma mère, en voyant bien la colère ce dessinée sur son visage. Wendy et Léonny réagissent bizarrement elles aussi, comme-ci ... Chérie. Soupira alors ma mère. Vous vous êtes disputée ? Je levais les yeux au ciel, avec agacement.
_ Maman ... Soupirai-je a mon tour en essayant de reprendre mon sang-froid. Je viens de te dire, que je ne voulais pas savoir, ni même entendre parler d'elle. Expliquai-je de nouveau.
_ Chérie je sais que toi et tes amis vous vous aimée beaucoup, cela me fait de la peine de ... 
_ MAMAN ! Exclamai-je très fermement. Je viens de te demander quelque chose, arrête ! Ajoutai-je, tandis que ma mère continuée, sans même écouter ce que j'avais dit. Bon ... Je te laisse maman à plus tard ! Annonçai-je, alors qu'elle continuait d'insister.

La vie d'ÉliaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant