Je vois Vendetta se diriger vers l'escalier avec difficultés, elle doit déguster mais elle est tellement fière qu'elle ne demandera pas d'aide, tant pis pour elle, qu'elle se démerde. Même si elle m'a dit s'appeler Barbara, je préfère de loin Vendetta, ça lui colle bien. Elle a l'air d'être en guerre avec le monde entier et contre elle-même également. Je pense qu'elle ne se pardonne pas la mort de sa nièce et de son collègue, même si d'après ce que j'ai compris, elle n'aurait rien pu faire. Elle va devoir apprendre à vivre avec ce poids sur la conscience le temps de faire son deuil, et de réaliser que les seuls responsables sont ceux qui ont tirés. Je surveille discrètement sa progression dans les escaliers au cas où elle me ferait un malaise et dévalerait les marches, mais à priori, son caractère et sa force morale ont eu raison de l'obstacle. J'entends la porte de la chambre se refermer derrière elle.
— Bon les mecs on en était où ? dis-je en les rejoignant dans le salon.
Je vois que La Hyène est allongé sur le premier canapé, occupé avec Juliette et Karine, une qui coulisse sur son membre, pendant que l'autre se fait bouffer le minou assise pratiquement sur son visage. Narco est avec Lise en train de la prendre par derrière sur le canapé d'à côté, pendant que cette dernière bouffe la chatte de Laure, qui est debout devant elle, en équilibre sur les coussins. Lucille, celle qui s'est prise une mandale par Vendetta, va d'un côté puis de l'autre, baiser la bouche de l'un et se faire sucer les seins par l'autre. Quand elle me voit revenir, elle quitte son ouvrage et vient directement se frotter à moi. Mon braquemard se met direct au garde à vous. Je la bascule sur la table de la salle à manger pour qu'elle soit étalée comme une étoile de mer. Je lui écarte son string pour lui bouffer la chatte, elle gémit. Je m'amuse à faire tourner ma langue autour de son bourgeon que je sens gonfler de plaisir puis j'insère un doigt dans son fourreau puis un deuxième, tout en continuant à asticoter sa perle. Elle gémit de plus en plus fort.
— Oh oui, Jag ! Vas-y prends moi, s'il te plait ! fais-moi jouir ! oui... oui...
Avec mon autre main, je viens lui pincer les tétons, je sens que sa mouille redouble, des perles de sueur parsèment son corps, elle est à la limite de l'explosion, mais j'arrête mes gestes dès que je sens qu'elle va basculer, ce qui la rend folle. Elle me supplie, m'implore de la libéré de son plaisir qui la fait souffrir dans ses chairs. Elle glisse sur la table venant à la rencontre de mes doigts pour qu'ils puissent la pénétrer plus en profondeur. Je commence à avoir les couilles en feu également et me dépêche de saisir un préservatif, dans le pli de mon portefeuille, à l'arrière de mon pantalon. Je descends ce dernier sur mes cuisses, baisse mon boxer, enfile le préservatif puis enfourne ma bite dans son tunnel... oh putain... c'est bon... c'est chaud... Je lui pose les chevilles sur mes épaules, histoire d'avoir plus de profondeur et je commence mes va et vient. Elle me supplie d'y aller plus vite et plus fort. Je regarde son visage qui se crispe sous la montée de son orgasme et soudain elle explose en criant mon nom. Je pense que Vendetta a dû l'entendre de là où elle est. Moi, je n'ai pas encore atteint le point culminant, quelque chose m'en empêche dès que j'approche du but, la délivrance ne veut pas se faire, je crois savoir pourquoi. Je dégage ma teub de son fourreau, retourne la gonzesse, ses seins se plaquent sur le plateau de la table. Je rapproche ses fesses pour que ses jambes retombent et touchent le sol. Je pose mon pouce sur son anneau serré et commence à la pénétrer, elle se remet à gémir. Je vais l'enculer comme il se doit, cet orifice est fait pour moi, je rapproche mon manche de son anus, crache sur son trou pour faciliter la pénétration, bien que j'imagine qu'elle n'en ait pas besoin, vu la dilatation que je sens, rien qu'en y mettant mon pouce. Je la pénètre d'un coup, un cri de plaisir s'échappe de sa gorge. Elle vient à la rencontre de mon membre en faisant des allées et venues, je ferme les yeux et le visage de la diablesse se présente devant moi, ses yeux bleu-vert me transpercent. Je l'imagine au bout de ma bite, la bouche légèrement ouverte sous l'effet du plaisir qu'elle prend et je vrille. J'explose dans le cul de la brebis que je martèle sans cesse. Un cri rauque sort du fond de ma gorge...
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DARK FORCES T.1
AçãoBarbara : J'ai tout perdu. Mes parents lorsque je n'étais qu'une enfant, puis mon frère, sa fille et mon meilleur ami et collègue. J'avais un travail, un avenir prometteur et il n'aura fallu qu'une année pour que mon monde s'écroule comme un château...