𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 2 : 𝐀𝐬𝐬𝐚𝐮𝐭

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ELYO

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ELYO

Madrid, Espagne.

Mon téléphone vibre sur ma table de chevet. Je l'attrape d'une main afin de voir le nom qui s'affiche à côté de la notification : Enzo. Je pince l'arrête de mon nez avant de lâcher un soupir. Je décroche ensuite et apporte mon téléphone à mon oreille.

-Des nouvelles ? demandai-je aussitôt.

-On à attraper l'un de cet enfoiré, il t'attend avec impatience en bas.

-J'arrive.

Je raccroche et jette mon téléphone qui rebondit sur le lit avant de venir se poser au milieu de celui-ci. En sortant de ma chambre, j'attrape ma veste noire que je viens mettre sur mes épaules tout en descendant les marches à une vitesse fulgurante. Une fois dans le salon, j'aperçois certains de mes hommes joués au poker tandis que d'autre nettoyer leurs flingues.

-Où est-il ? demandai-je.

-Enzo la emmené dans la cave, fit Angelo.

-Très bien, suis-moi, lui ordonnai-je.

Il s'exécuta tandis que je longeais un grand couloir menant sur une vieille porte en ferraille verte avec quelque pointe de marron, signe de rouille. Je descends de nouveau un petit escalier qui mène à la cave après avoir ouvert une nouvelle porte de couleur sombre sur laquelle était construite une petite fenêtre faite avec des barreaux telle une prison.

-Putain de merde... vous m'avez chopé Gonzales ?

-Ouais, fit mon second.

-Angelo, attache les chênes au plafond, et toi Enzo, attache lui les poignets pour le suspendre.

Pendant qu'ils appliquent mes ordres, j'en profite pour placer une chaise devant cet enfoiré et de m'assoir dessus en attendant son réveil. Le voir devant moi, inconscient et en sang me fit lâcher un rire. Ce type, Gonzales, c'est l'un des hommes de Rafael.

-Et dire que Rafael qualifie ce type comme l'un de ces meilleurs hommes, riais-je.

Je reste assis sur cette chaise pendant plusieurs minutes qui se transformèrent en plusieurs heures. J'attendais avec hâte qu'il se réveille. Que je puisse voir sa gueule défoncer par mes hommes. Le sang qui avait coulé sur ses vêtements avait désormais sécher et former de petits caillots de sang.

Je veux le voir me suppliai de ne pas le tuer.

Alors que Gonzales était entrain d'ouvrir les yeux, nous étions cachés dans l'ombre. Nous pouvions le voir, mais lui ne pouvait pas. Je le voyais observer la salle dans les moindres détails. Il doit surement chercher un moyen de se barrer d'ici. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il n'en sortira jamais.

-Tu cherches une porte de sortie ? Demandai-je en me rapprochant de lui afin qu'il puisse me voir, voir mon sourire ornait mon visage.

Sans perdre une seconde, je lui asséna un coup de poing qui fit chavirer sa tête sur le côté. Il cracha le sang qui avait envahi sa bouche sur le sol.

𝐀𝐍𝐆𝐄𝐋 𝐂𝐀𝐈𝐃𝐎 [ EN REECRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant