Chapitre 11 : L'inconnue

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Précédemment dans Une nouvelle vie...

Puis-je commence à me sentir pas bien du tout.

Pedro : Non mon pote ne ferme pas les yeux non, je ne te laisserais pas partir comme ça toi

Je rigole de son humour, ferme les yeux pour atténuer, je sens toujours la main de Linda dans la mienne puis je ne sentis plus rien.

À suivre...

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Jack (jeune)

Je sens des mains toucher ma jambe qui commence à me bruler, j'ouvre les yeux et je lâche un râlement de douleur.

Je me retrouve à l'infirmerie, les assistants du medicus* me retiennent pour que je ne bouge pas, mais la douleur est trop forte, je sers les dents pour éviter de hurler dans toute l'académie. 

Je sens la main de Linda dans la mienne qui la caresse avec son pouce, je la regarde de ces beaux yeux bleus, je la vois essayer de prendre ma douleur, des veines noirs commencent à apparaitre sous ces yeux et sur les veines de ces poignets aussi.  

Moi : Arrête... je ne veux pas te donner ma douleur. Dis-je en essayant de parler 

elle ne fait rien, elle continue ce qu'elle est en train de faire, ça me soulage légèrement, mais je n'est pas en vie de lui donner ma douleur, je décide donc d'enlever ma main pour lui poser sur la joue et lui essuyer la larme qui avait coulé le long de sa joue.

- Voilà, j'ai fait ce que j'ai pu pour votre jambe, monsieur Raven mais je crains que vous ne puissiez plus marcher comme avant, vous aurez besoin de votre canne, maintenant il faut vous reposer jusqu'à demain. 

Moi : je peux regarder ma jambe ?

- Je vous le déconseille, mais si vous le voulez, mais faites attention.

J'essaye me relever du lit de l'infirmerie, je peux apercevoir que ma jambe avait brûlé, mais que le medicus m'avais refait une peau, mais malgré tout, je peux apercevoir une longue cicatrice du haut de ma jambe à ma cheville.

Tout est la faute de Gérard, je ne peux plus marcher comme avant, je me sens bouillir de l'intérieur. 

(Retour vers le présent)

Nicholas

Alors là, je n'y reviens pas du tout, mon père connaîtrait Gérard Hartman et ces lui qui a handicapé mon père.  

Moi : Donc c'est ton père qui a handicapé le mien, tout ça pour être le premier sorcier et c'est sa faute que mon père est aussi froid, ton père ma pourrie la vie alors.

Harry : Oh détend toi, ce n'est pas ma faute donc calme-toi, je suis juste né avec le mauvais père.

Je me sens me transformer, mes crocs de loup commencent à sortie, l'alpha à l'intérieur de moi n'as qu'une envie, l'étriper, Zuri était sortie de l'eau qui a maintenant repris sa forme humaine, elle se mit entre nous deux, elle pose sa main sur mon torse, je sens petit à petit l'alpha se calmer, je sens mon cœur battre à toute vitesse, je sens une chaleur se propager dans tout mon corps à son toucher.

Une nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant