C'était une larme figée
Le temps d'un hiver passé
Une douce âme prisonnière
D'un monde trop rude, éphémèreC'était un cœur trop grand
Un oiseau condamné à marcher
Entre les ombres des passants
Repose en paix douce enfantTu as laissé derrière toi
Des souvenirs et des regrets
Des yeux humides, des mains levées
Un tapis posé témoin de ta foiPar celui qui détient les âmes
Qui donne et reprend de droit
Qu'il fasse de toi la plus heureuse des femmes
Dans ses jardins auprès du Roi des rois
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Loin Du Vide
PuisiSi la lecture ne vous a pas donné envie d'écrire, c'est que le vide vous a eu...