Chapitre14: Pire que des enfants

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-Ana c'est moi. Je suis ici!

Je dormais paisiblement quand une voix dans la forêt fis écho. Elle était forte et insistante et elle se rapprochais. Mon loup enfin le loup noir posé à mes côtés ouvri les yeux quand je me décala. Je m'étira longuement puis marcha en direction de la voix de Léwis en hurlant son nom.

Une main forte attrapa mon épaule et je sursauta, et me retourna dans le but d'envoyer une claque à cet inconnu mais ce n'était que Léwis.

-Tu m'as fais peur idiot. Qu'est ce qui t'as pris autant de temps?

-Désolé maman ce sont les embouteillages. Alors où est ce loup taré qui se croit être le centre du monde?

Je n'eus pas le temps de répondre qu'un grognement guttural lui répondis me faisant sursauter.

Je pris mes vêtements des mains de Léwis et les vêtements pour cet étranger des plus "étranges". Je lui fis signe de me suivre ce qu'il fit sans rechigner. Je le mena derrière un arbre à proximité et lui mit les vêtements sur une branche puis parti me changer près d'une clairière.

Je voulus me baigner juste un instant car l'eau du lac à proximité me semblait si bonne alors je retira mes vêtements sals et malgré le froid,je rentrais dans l'eau.

J'eus d'abord la chair de poule avant que mon corps ne s'y habitue. Je plongea ma tête à l'intérieur et ferma les yeux. Je me sentais planer. Je revis cette femme de mes rêves elle était si paisible. Mais tout semblait différent elle était dans une prairie rempli de haute herbe et elle courait derrière un petit garçon sous les yeux attendris de cet homme. Celui ci posa ses yeux sur moi. Son regard me disait quelque chose. Je vis une petite fille à côté tomber. On se ressemblait tant. Je m'approcha un peu plus et vis le petit embrassé le front de sa sœur.

Puis ce loup avec des yeux obscur. Je me vis dans l'eau entrain de me noyer. Pourtant je sais nager mais c'est comme si mon corps m'avait lâcher. Je m'évanouis.

Je sentis quelqu'un me soulever puis les herbes chatoullaient mon corps nu. Puis un tissu en cuir se posa sur moi. Quelqu'un me faisait du bouche à bouche tandis que l'autre  frottait mes pieds. Je toussa enfin l'eau qui s'était enfouis dans mes poumons et ouvri les yeux.

Ce bel inconnu était devant moi paniqué. Je le détailla longtemps regrettant sa nudité.

-Ça va me demanda Léwis l'air perdu.

-Je me rappelle. Je sais qui sont mes parents.

UNE ÂME SOEUR COMPLIQUÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant