...
Je rentre chez moi me lave tralala et retourne à l'hôpital.
Aymen avait finit son opération .
Il dormais toujours.Ali: Y a une chambre vide à côté, tu veux dormir-
Moi: Je dors ici, avec lui.
Ali: Ok je prends la chambre alors.
Il est partit.
Il devait être 2h du matin j'étais épuisée.
Je me pose par terre, à côté du lit d'Aymen, je prends sa main et je m'endors la tête sur le matelas....
Je sens un truc bouger donc ça me réveille.
Je lève ma tête en ouvrant les yeux et en essayant de comprendre qui suis-je, où suis-je mdrr
Je sens quelque chose sur ma main, je tourne ma tête et le vois.
Il s'était réveillé.
Il tenait ma main fermement et me regardait.
Je ne savais pas quoi dire, j'étais tellement contente de le voir, je n'avais fais que pleurer pour lui.
J'ai souris de toutes mes dents et il me rendit le sourire.
Il avait l'air très fatigué.
Il essaya de se redresser mais je l'arrête.Moi: Opopo, ne bouge pas, repos total pendant une semaine.
Aymen: Une quoi ?
Moi: Une semaine monsieur.
Aymen: Hors de question.
Moi: Je me rappelle pas t'avoir demandé ton avis ?
Il souria.
C'était sa phrase.Aymen: Il se passe quoi là ? Ils m'ont fait quoi ?
Moi: Il t'en remplacer ton cœur, tu es tiré d'affaires Al hamdouli'Allah.
Aymen: J'ai plus le même cœur ??
Moi: Oe ?
Il a paniqué comme un enfant.
Aymen: Mais je ressens toujours la même chose.
Moi: Hein ?
Aymen: J'ai toujours le même sentiment quand je te vois.
J'ai beugé, c'était trop mignon, je meurssss
Moi: Mais mdrr t'as dérapé toi, vzy rendors toi là.
Aymen: Chuis pas fatigué, il est ou Ali ?
Moi: Euh, enfaite...
Aymen: Quoi ?
Moi: C'est lui le donneur de cœur
Il se redressa violemment.
Aymen: QUOI ?
Moi: Non non je rigole, il dors dans la chambre à côté
Il se calme, ptdrrrr
Aymen: Putain tu m'as khle3 Ryhem.
Moi: Cheh
Aymen: Cheh ?
Moi: Toi aussi tu m'as fais la peur de ma vie Aymen j'ai cru t'allais mourir, 'fin, t'allais mourir et-
Aymen: J'allais mourir ?!
Moi: Oui...
Aymen: Ça fais combien de temps que chuis là ?
Moi: Trois jours
Aymen: Ah oee
Moi: Oe
Aymen: Et pourquoi t'es là toi ?
Euh ?
Moi: Tu veux que je parte ? Je te dérange ?
Aymen: Non non reste.
Moi: Hmm
Aymen: Je veux dire pourquoi t'es venu me voir...comment t'as su, che pas moi ?
Moi: On en reparlera quand t'ira mieux.
Aymen: Je-
La porte s'ouvrît subitement.
...: MON FILS
Aymen: Qu'est-ce que- ?
Elle lui sauta dans les bras c'était trop drôle.
Ali est arrivé juste après elle.Nadia: Ahhhh weldi tu m'as fais peurrrr
Elle pleurait en disant ça.
Aymen: Tu m'étouffe là.
Nadia: Bele3
Ali: Mdrrr
Elle se détacha de lui et Ali le tshek, c'était trop mignon.
Je les regardais en souriant quand je vois khalti Nadia me tuer du regard.
J'ai directement perdu mon sourire.Nadia: Qu'est-ce qu'elle fais là celle-là ?
Celle-là ?
Je rêve ?
Eh ?Aymen: Mama...
Moi: Je vais chercher l'infirmière.
Je suis sorti et elle m'a suivi.
On était dans le couloir, l'une en face de l'autre.
Je l'a questionnais du regard.Nadia: Ne t'approches plus jamais de mon fils, je ne veux plus te voir.
Moi: Et pourquoi ?
Nadia: Il a déjà assez souffert comme ça, à cause de toi.
Moi: À cause de moi ??
Nadia: Oui, tu ne lui a apporté que du mal, tu ne l'a jamais aimé, tu es partit et tu l'as laissé malade, tout seul.
Je ris nerveusement.
Moi: Je ne suis pas partit, c'est lui qui est partit et qui m'a laissé. Je ne savais pas qu'il était malade, il ne me l'a pas dit, il a préféré me quitter pour mon bien, 'fin mon bien, je n'ai fais que chialer pour lui après ça-
Nadia: Ça m'ai bien égal, je connais déjà l'histoire. Je te demande uniquement de ne plus l'approcher.
Moi: C'est ce que je voulais moi aussi mais c'est lui qui m'a approché, ensuite j'ai appris qu'il était malade et...
Et quoi Ryhem ?
Tu vas te remettre avec lui maintenant ?
Non.
Je l'aime plus que tout au monde, mon amour pour lui est indescriptible mais je n'oserai pas refaire une relation avec lui.
C'était au-dessus de mes forces.
J'avais trop peur, et surtout, j'avais perdue confiance.Je fis demi-tout et rentra dans la chambre.
Je pris mes affaires et quitta l'hôpital.J'avais les idées complètement chamboulées et l'esprit perdu.
Je ne savais plus quoi faire.
...