01.

1.1K 21 4
                                    

« On ne regrette que ce que l'on a commis avec le cœur : Iamsugami_ »








_QUALIDAD_






-... Suárez! Suárez !

Décidément je ne comprendrai jamais pourquoi cet homme hurlait mon nom à chaque fois que ça le chante .

Il avait le don par sa voix d'ogre de me perturber même quand j'avais des écouteurs et ça en devenait une mauvaise habitude.

-...Suárez ! Suárez! Recommença t-il .

Cette fois je ne pouvais plus réfléchir,il fallait que je mette fin à ce tapage d'urne qui dure maintenant deux bonnes minutes .

D'un mouvement saoulé je me lève de mon siège,sans plus tarder pour éviter que ce grincheux me brise le tampon,je me dirige de ce pas vers son bureau .

- oui monsieur vous m'avez appelé ?. Commençai-je .

En entrant je remarque directement mon patron en fasse de moi. Un homme assez gênant,vieux d'une cinquantaine d'années,des yeux à moitié plissés pour lui accorder une meilleure vu malgré ça paire de lunettes,des cheveux blancs naissants carrément depuis le jour où j'ai mis pour la première fois mes pieds ici -il fane carrément-.

Vêtu comme toujours de son ensemble piraté de Luis Vuitton,je commence sérieusement à croire que cet homme en a une collection. Comment vous expliquer qu'il n'avait absolument aucun goût vestimentaire et j'en suis sûr croupi dans le célibat.
Je ne peux nié ce fait même si je c'est mon patron.

Son bureau était d'une couleur indescriptible,décidément est un homme au goût étrange mais il aimait les cactus et pas besoin d'enquêter sur sa vie tant que de mes deux yeux je voyais deux grands étaient posés à même le sol dans les extrémités de la pièce et un plus jeune sur son bureau et seul les immenses baie vitrées laissent les rayons du soleil nous proposer une face accueillante.

- ça fait trois minutes que je vous ai appelé. Commença t-il sans même daigné à levé ses yeux sur ses documents pour me regarder.

Je parie qu'il n'a sûrement rien d'urgent à me dire .

- j'étais occupé. C'était la seul réponse que trouvais à donner.

- vous n'êtes pas chez vous entrain de faire vos banalités. Si je demande après vous ,vous devez immédiatement venir,est-ce bien claire ?

Oui c'est clair,j'aime vraiment le fait qu'il me fasse tout le temps rester debout à le regarder attends qu'il me donne une tache banale comme si je n'avais pas été engagé pour mon intelligence mais jouer le domestique de monsieur. Des fois je me demande vraiment ce que je fais ici.

Il appuyais sur ça dernière phrase et au même moment leva enfin la tête en ma direction.

- oui monsieur...

- bien...j'ai un autre dossier pour vous.

- mais monsieur colins...

- je ne vous demande pas votre avis et si vous ne voulez pas être foutu dehors,vous avez intérêt à m'écouter !

Je n'ai même pas eu le temps de répondre qu'il me lance des dossiers en plaine figure .

CŒUR D'UN MAFIEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant