09.

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« Je me parle à moi-même,je deviens folle »







_QUALIDAD_







- aïe ! Arrête tu me fais mal !.

Je gémissais de douleur tandis que lui ne s'arrêtait pas.

Il me retenait tellement fort que la migraine m'avait pris de suite.

Personne n'a jamais été aussi violent avec moi et je ne doute que se soit la fin.

Il était derrière moi et je ne pouvais pas voir son expression faciale mais pas besoin de croisé son regard car j'en suis sûr,brulait de rage .

- alors comme ça tu veux jouer à la plus maline hein ? Alors on va jouer. Me cria t-il toujours en me tirant les cheveux d'une force qui accentuait ma douleur.

Sans me lâcher il me força à monter les escaliers et entrant dans notre chambre.

Si violent que puisse être son geste,il me jeta sur le carrelage froid de la chambre et me regarda droit dans les yeux.

Ma chute était douloureuse,je m'étais fais mal au bras tellement mon corps avait sauvagement percuté le sol.

Je n'arrêtais pas de pleurer. Ce n'était pas une question de force mais de douleur.

Il défait sa ceinture sous mes yeux apeuré et s'avance vers moi sur une lenteur des plus effrayante.

Il comptait me frapper avec ?

Sûrement oui.

- s'il te plaît... Le demandai je à genoux.

Sans même qu'il ne puisse m'écouter,un cri m'échappe au premier fouet.

Un deux deuxième qui sonnait plus fort que le précédent.

Un troisième sur qui je fini par ouvrir mes yeux.

Je lève la tête lentement et le regarde dans les yeux.

À aucun moment la ceinture ne m'avait touchée.

Il m'avait épargné.

Pendant cette scène personne ne parlait. Juste nos regard qui se crachait dessus.

- Salvino...

Je l'interroge du regard et c'est quand t-il s'en rend compte qu'il me prononce ces mots avant de se retourner :

- tu n'aurais pas du me contrarier,apprends à ne pas dépasser les limites et la prochaine fois je ne ferai pas exprès de te rater.






♣️







Petit à petit en papillonnant mes yeux,j'arrive enfin à les ouvrir.

J'avais affreusement mal à mon bras . Je me touchais toutes les parties de mon corps pour voir si je pouvais toujours ressentir mes sens .

Heureusement je les sentais.

En regardant où j'étais,je remarque que je m'étais endormi à même le sol,ce qui justifie mes courbatures. Et heureusement pour mon plus grand bonheur j'étais seul dans la chambre.

Après son avertissement et m'avoir terrifié hier soir,il est allé se changer pour en suite descendre,ses anciens vêtements était taché de sang. Il n'a pas tardé et est en suite revenu dans la chambre pour se coucher.

Sauf que qu'on je voulais à mon tour regagner le lit,il m'arrête et me dit que cette nuit ma place est au sol.

Sale enfoiré !

CŒUR D'UN MAFIEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant