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« Pamiętnik wrogiego »





_QUALIDAD_






Il se stoppa net et me regarda droit dans les yeux.

Je ne savais pas comment il allait réagir,ses expressions faciales ont toujours été difficile à déchiffrer. Il ne laisse rien paraître.

Soudainement ses lèvres s'étire dessinant un sourire.

- mais qui a dis que je compte te faire l'amour ?

Je reste perplexe cherchant dans son regard une compréhension mais rien. Sombre et vide.

- ma belle,je n'ai pas besoin de te forcer à quoi que ce soit car je sais que si je le voulais tôt ou tard tu finirais par me demander de te faire mien.

- alors là tu te trompe mon chéri. Dis-je sûr de moi.

- eh bien c'est ce qu'on verra mais pour l'instant je te laisse croire.
À ces mots il s'allonge sur le lit dos à moi.

Sa confiance sûr en ses mots m'irrite, si il croit que c'est à lui que je donnerai ma virginité.

C'est un accord et non un mariage d'amour.
Je doute fort d'avoir des sentiments pour lui et c'est quand nos objectifs seront accompli que tout ce cinéma prendra fin.

La salle de bain était assez étroite et je suis assez claustrophobe d'où je ne peux faire autant de mouvement. Je ne sais pas si je dois rester là à dormir en serviette avec lui sur le lit car je ne compte en aucun cas aller sur le canapé ou prendre le risque de m'étouffer en voulant me changer .

- tu peux te changer,je ne suis pas un pervers. Se contente de dire comme s'il lisait dans mes pensées.

Je n'avais pas confiance en ce mafieux mais je n'avais pas le choix. Encore une fois .

Je me change rapidement et monte à mon tour sur le lit. Le drap en soie rouge n'était pas très réchauffant sans parler du vent frai qui passait par les fenêtres en bois refroidissant presque la pièce.

Une légère sensations de mouvement se fit sentir sur le lit . Il avança facilement jusqu'à ce collé à moi.

Mon dos était collé à son torse nu et l'une de ses mains entouraient ma taille. J'étais très fatigué par la journée et je n'avais pas assez de force pour le repousser et ça sans parler de la chaleur que nos deux corps en contact dégageaient.

C'est sur cette position que nous dormions jusqu'au petit matin.

Petit à petit mes yeux papillonne dû au rayon du soleil qui passait par la fenêtre.

Je passe une main sur le long de mon visage passant par mon front jusqu'à mon menton et termine ma course allongeant jusqu'au côté gauche du lit qui d'ailleurs était vide.

Il n'était plus là.

J'en profite pour me lever,prendre une douche et me changer.
Je déglutis face à ce que je vois dans le miroir,j'avais une mine épuisée,mes cheveux allait dans tout les sens et quand je voulu passer ma main sur mon visage,l'énorme diamant qui habillé ma bague ce voyait.

Je suis une mariée.

Une putain de mariée.

Je pris une douche rapide et me maquilla un peu avec la trousse posé sur le lavabo pour camoufler toutes cette air de saouler au festival d'été.

Dans la garde-robe ce trouvait une robe de marque et des des escarpins.

Je sortis de la chambre mais ne trouva personne. Je regarde sur la terrasse et vois Salvino au téléphone.
Il me jette un simple furtif regard et continua sa discussion téléphonique.Je rentra et pour aller me trouver de quoi manger.

CŒUR D'UN MAFIEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant