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_QUALIDAD_









Les bruits que provoquer les goutes d'eau atterrissant sur le carrelage était provocateur, j'avais presque l'impression que c'était faisait exprès.    

ce son s'était encrer dans mon cerveau, ce qui me donnait l'impression de marcher sur l'eau.

oui. sur l'eau.

je me lève de ce pas du lit et me dirige jusqu'à la source de se tapage d'urne.  

le sol est froid, contrairement a la chambre ici on ressent bien l'importance du doublage dans le tissu de mon pyjama.  

en temps normal il fait 27 degré ce qui explique pourquoi toute les pièces en dehors de celle qui est principale est a son climat normal. monsieur a eu le reflex d'installer un chauffage pour mon plus grand bonheur.

ce changement climatique est quand même perturbant mais un peu moins depuis ces deux derniers mois.    

mes yeux se posent sur la cascade qui se jette sur le trou du lavabo et à la puissance à laquelle le bruit se faisait entendre je conclus qu'il avait vraiment fait exprès de le mettre ainsi de sorte à ce que je l'entende .

sans plus attendre je referme le levier et fais demi tour pour continuer mon sommeil mais alors que je me retourne, j'entends quelqu'un frapper a la porte .

- c'est pas vrai. soupirai je dans ma barbe avant d'entamer une démarche des plus fatigantes jusqu'à la porte principale.

Derrière la porte ce trouvait un homme un peu âgé,je dirai dans la quarantaine,des cheveux couleur sablés,vêtu d'un tout noir et une arme dont je ne connaissais pas le nom coincé entre sa ceinture.

Ah.

C'est un garde.

- oui que voulez-vous ?

- monsieur Salvino vous attends en bas et demande à vous voir dans 20min.

Qu'est-ce qu'il me veut encore ?

- très bien,dites lui que je le rejoindrai.

Il ce retourne faisant marche arrière.

Je referme le porte et m'affale sur mon lit douillet.

- et bien,je sens que je vais passer une mauvaise journée...

***

Je referme la porte derrière moi et descends les marches jusqu'au séjour.

En arrivant ici j'ai toujours voulu tester l'ascenseur,non pas que je n'y suis jamais monté mais ma curiosité,elle,ne demandait que ça.

Mes pas,précédés par celui du garde qui était venu frapper à la porte de ma chambre entre en premier dans la cage froide en fer.

Il la referme.

Silence.

Il appuis sur l'un des boutons installés sur un côté en fer et attiré par ce geste mon regard.

Je remarque alors qu'il y'a plusieurs boutons pour une maison,au moins trois étages souterrains. Je reste bien en retrait et sens mon corps tomber en apesanteur.

Un ding ce fait entendre et les deux moitiés de porte s'ouvrent pour nous laisser le passage,il y sort en premier et comme avant d'entrée,c'est toujours lui qui précède ma destination.

Nous longions un long couloir sombre éclairé par des lampadaires,le bruit de nos pas se faisant presque entendre. Si on y prête attention et que tout mouvement se stop,les éco de nos respiration peuvent aussi se faire entendre.

CŒUR D'UN MAFIEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant