07.

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« you know who i am »







_QUALIDAD_







Petit à petit j'ouvre les yeux. Je jeta un coup d'œil à la pièce et rien de différent. Toujours seul sans le moindre signe de sa présence.

Même décor. Même sensation.

C'est juste la réalité. Ma réalité .

La lumière du lustre éclairait beaucoup plus la chambre qu'à mon arrivée,le soleil s'était déjà couché ce qui veut dire que j'avais dormi toute la journée.

Je descendis du lit et pris une douche rapide. Le sommeil me fais transpirée.

D'un simple jogging et t-shirt que je pris dans la garde-robe et attacha mes cheveux en queue de cheval.

Avant de sortir de ma chambre je jeta un coup d'œil au couloir et il n'y avait personne. Je descendis les grandes marches et arriver en bas c'était la même choses. Personne au alentour. sûrement qu'ils s'étaient tous mis au travail illégal qu'il faisait ?

En même temps ce n'est pas comme si,si ils étaient là on aurait fait la causette.

Mais bizarrement la table était dresser comme si on m'attendait et d'ici je pouvais voir la fumée qui s'évaporait du repas,tout droit sortie du four .

Et bien évidemment ce n'était que la faim qui m'avait réveillée puisqu'a cette heu...je n'avais même pas la notion du temps .

- tu t'es enfin réveillé à ce que je vois. Dis Salvino entrant dans le salon par la baie vitrée.

Sa voix,comme un éco dans une grotte de glace.

Je ne l'avais même pas remarqué alors que lui si.

- quelle heure est-il ?

- 19 heure. Réponds t-il.

Voilà pourquoi j'avais autant faim . J'ai dormi toute la journée et seul mon petit déjeuner de ce matin avait nourri mon appétit.

-mettons-nous à table avant que cela ne refroidisse. Ajoutait-il.

Nous prîmes place et il commença à ce servir. Je le regardais faire et fis de même. Il n'y avait toujours personne dans les parages et ce silence commençait à me gonfler.

Sa présence était étouffante. Faudrait vraiment que je prenne habitude.

Je le regarde faire des mouvements avec son couteau à beurre et n'arrête pas,ne détourne pas du regard.

Et s'il pouvait me faire du mal ?

Me blesser ?

Ou me tuer ?

Un couteau reste un couteau.

Mon corps entier est soudainement envahit par la peur,je n'arrive pas à regarder ailleurs.

À tout moment il peut me poignarder avec.

Je plisse des yeux pour chasser ces pensées dans ma tête. Il faut que je me calme.

Je mourrais d'envie de lui poser des questions mais j'avais trop peur de ce qu'il pouvais me répondre.

- qui a dressé la table ?

Fallait qu'au moins un mot sorte.

- les servantes. Dit t-il du tic au tac.

- et où sont-elles ?

- dans leur occupation et tu n'es pas obligé de me poser des questions,mange simplement et ça fera l'affaire . En prenant une gorgée de son vin.

Je marqua un moment de silence et posa ma fourchette sur la table pour montrer mon insolence à ces commandements. Il souffla bruyamment en me regardant.

CŒUR D'UN MAFIEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant