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- alors Ibti, on perd ses mots?

Il pose de petits bisous dans mon cou et je lâche rapidement mon premier gémissement.
Ça le fait sourire et son souffle chaud me fait encore plus perdre la tête.

- quelle vilaine petite menteuse tu fais Ibti, chuchote t'il contre ma nuque qu'il a pris la peine de dégager sans manquer de l'effleurer comme une brûlante caresse, comme ça tu allumes tellement mon frère qu'il n'a pas résisté à te baiser dans la cuisine hum?

En me rappelant ces choses, il faufile ses doigts entre mon léger vêtement et ma peau pour les glisser sur mes fesses, puis entre elles avant de s'insinuer sur l'anneau de chaire qu'elles gardent fermement.

Cet endroit, je ne l'ai découvert excitant que avec Adil. Je n'aurais jamais imaginé se cette partie de mon anatomie pouvait me faire du bien et c'est exactement ce que mon amant et beau-frère est en train de me faire ressentir.

Voilà qui est dit.
J'ai fait du frère de mon mari, mon amant. Je le trompe dans sa propre maison et quelques heures après qu'il m'ait passionnément fait l'amour.

Karim réussi après s'être contenté de caresser cet endroit à forcer le passage et d'y loger son pouce. C'est si étrange, si dérangeant et tellement excitant.

- alors ça te fait quoi Ibti?

Je ne réponds à sa question posée d'une voix si rauque qu'avec un énième gémissement. Je sens sa bosse impressionnante contre ma fesse. Celle si se colle de plus en plus à moi avant qu'il ne la frotte cette fois contre moi.

- montre moi, souffle t'il retirant sa main de mon sein et je le devine bien essayer de sortir sa barre de chaire.

Karim étouffe le cri que je m'apprêtais à sortir de sa main alors que son intrusion en moi se fait violente. Il n'y a aucune douceur dans ses gestes et j'ignore pourquoi je ne trouve pas cela que déplaisant.

- je t'ai dis te me montrer chérie, fait-il en insistant sur le dernier mot comme pour se moquer du petit nom que ma donné mon mari. Montre moi comment tu lui a offert ta croupe dans cette cuisine, montre moi comment tu t'es cambrée pour lui.

Sa main descend violemment sur la cambrure de mes reins avant de la caresser, et ce geste anodin va s'avérer le plus intense de toute ma vie de débauchée.

- qu'elle putain tu fais ma petite Ibti, dit-il en ralentissant alors que je me sens trembler de tout mon être. Je te frappe et tu jouis Ibti.

Mon beau-frère super sexy rigole de sa voix gorge et reprenant ses coups de reins tandis que les larmes continuent de se reprendre sur mon visage et mes jambes se révèlent incapables de me soutenir.

- oh ma petite Ibti, murmure t'il en me prenant par la taille et sa queue toujours fichée en moi pour me poser à plat ventre sur le plan de travail. T'es si bonne putain.

Il continue de me labourer et je me sens en extase, mes parois qu'il frotte en entrant et sortant de moi tendent à nouveau à se resserrer contre lui et il gémit de plus en plus en me donnant l'impression qu'il n'a jamais cessé de grossir en moi.

Ses râles de plus en plus puissants et mes gémissements intempestifs forment une mélodie des plus obscènes, sans parler du bruit du claquement entre son bassin et mon postérieur, de ses insultes.

Je touche une fois de plus le nirvâna quand il me caresse là, son rire grave reprend avant de se muer en un grognement animal.
Il se reprend en moi en me chuchotant combien il aimait me baiser et que savoir que son frère m'avait eu avant l'excitait encore plus. Il me chuchote qu'il compte me prendre dans chaque pièce de cette maison qu'il me rassasiera tellement que son foutre que je n'aurai plus envie de rien d'autre avant des jours.

 Ibtikeh Où les histoires vivent. Découvrez maintenant