𝐭𝐫𝐞𝐢𝐧𝐭𝐚 𝐲 𝐬𝐢𝐞𝐭𝐞

1.3K 46 23
                                    

                  £

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.



                  £ . - 𝐏𝐀𝐁𝐋𝐎 - . ¥

Nous avions tous convenu de passer une soirée entre nous, bien que notre groupe ne soit pas très nombreux. Même si notre équipe s'entendait à merveille, nous ne passions pas tous notre temps ensemble.

- Frankie : Sais-tu quand les filles sont censées arriver ? m'interrogea-t-il.

- Pablo : Elie m'avait dit qu'elles devraient arriver vers 20 heures, répondis-je.

- Frankie : Il est bientôt 20h30, fit-il en consultant son téléphone.

- Pablo : Les filles sont toujours en retard.

Il haussa les épaules en souriant. Frankie était vraiment quelqu'un de bien, il s'entendait particulièrement bien avec Mikky.

- Pedri : Vous voulez boire quelque chose ? nous proposa-t-il en se joignant à nous.

Nous acceptâmes son offre, nous regroupant tous dans son salon pour être ensemble.

- ( P ) Torres : Vos copines ne devaient-elles pas venir ? demanda-t-il.

- Ferran : Elles sont prises dans les embouteillages. Sira m'a envoyé un message pour me prévenir, expliqua-t-il.

- Pablo : C'est là que l'on voit les priorités de nos copines, ironisai-je.

Je savais très bien que je faisais partie des priorités d'Elie. Cependant, lorsqu'elle était avec ses amies, elle avait cette fâcheuse habitude de ne pas toucher à son téléphone, par simple politesse envers son entourage.

À ce moment précis, la sonnette chez mon meilleur ami retentit. Il n'eut pas le temps de se lever que les cris des filles se firent entendre.

- Ferran : Une chose est sûre, on sait qu'elles sont là, ironisa-t-il.

Elles apparurent rapidement dans notre champ de vision. Étrangement, il en manquait une à l'appel.

- Pablo : Où est Elie ? demandai-je.

- Sira : Dehors, elle a reçu un appel d'un membre de sa famille, me répondit-elle.

Je hochai la tête et me levai pour aller la rejoindre dehors. Plus j'avançais, plus j'entendais dans sa voix qu'elle était en colère.

Je fermai la porte le plus doucement possible pour ne pas la déranger, mais en vain. Elle se retourna en m'entendant, me lança un bref regard avant de se retourner à nouveau.

- Elie : Foutez-moi la paix merde, dit-elle dans sa langue natale.

Je fronçai les sourcils, ne comprenant pas ce qu'elle disait. Elle se tourna de nouveau vers moi en raccrochant.

- Elie : Salut, dit-elle en s'approchant de moi.

- Pablo : Ça va ? demandai-je en l'embrassant doucement.

𝐅𝐢𝐫𝐬𝐭 𝐥𝐨𝐨𝐤 • 𝐏.𝐆 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant