𝐜𝐮𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐚 𝐲 𝐭𝐫𝐞𝐬

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L'ascenseur s'ouvrit, et je fus immédiatement confrontée à la présence de Pablo, qui attendait sereinement à côté de ma porte. Un regard froid fut tout ce que je lui lançai avant de m'approcher pour ouvrir ma porte.

À peine étions-nous entrés dans mon appartement que je me tournai vers lui.

- Elie : Tu es complètement insensé d'être venu chez Pedri, lui dis-je d'un ton agacé. Tout se passait bien avant que tu n'entres en scène.

- Pablo : J'étais obligé, d'accord ? Je voulais être là.

- Elie : Tu as agi de façon impulsive. Maintenant, c'est à moi de gérer cette situation, tout cela parce que tu n'as pas su te retenir, lui répliquai-je en me dirigeant vers mon salon.

- Pablo : Elie, essaie de comprendre. J'ai des doutes depuis un moment, et ça me tourmente. Il n'a pas retenu ses sentiments pour toi, s'exclama-t-il.

Je le fixai alors qu'il ôtait rapidement sa veste et la jetait violemment sur mon canapé, effrayant mon chat. Je lui lançai un regard noir avant de prendre Filou dans mes bras et de le câliner.

- Pablo : Je suis désolé, souffla-t-il.

Je soupirai et reposai mon chat sur le canapé.

- Elie : Tu dois apprendre à te maîtriser, Pablo. À cette heure-ci, cette histoire aurait déjà été réglée. J'aurais mis les choses au clair avec Pedri, et tout aurait été réglé, déclarai-je.

Il soupira et s'assit sur le canapé. Son entêtement m'irritait profondément. Je décidai de m'asseoir à côté de lui pour mettre un point final à cette discussion, mais il en décida autrement. Il saisit mes hanches pour me faire m'asseoir à califourchon sur lui.

- Elie : Pablo..., dis-je à moitié sérieusement.

- Pablo : Je m'excuse d'avoir perdu mon calme, mais je voulais qu'il comprenne que tu es à moi. Je t'aime, et tu m'aimes, point final, déclara-t-il en posant sa tête dans le creux de mon cou.

- Elie : Je te comprends, mais il ne méritait pas toutes ces injures, dis-je en passant ma main dans ses cheveux.

Je sentis les lèvres brunes déposer quelques baisers sur mon cou, provoquant des frissons dans tout mon corps.

- Elie : Tu devrais parler calmement avec lui pour apaiser les tensions. Maintenant, je m'en veux. C'est ton meilleur ami, dis-je en fermant les yeux.

Pablo releva la tête de mon cou. Je sentis sa main se poser doucement sur le bas de mon dos, tandis que l'autre caressait ma joue.

- Pablo : Je lui parlerai, seulement pour te faire plaisir, mais ne pense pas que je vais faire des efforts. Le fait que mon propre meilleur ami ait des sentiments pour toi me fait beaucoup de mal, déclara-t-il en caressant ma joue.

𝐅𝐢𝐫𝐬𝐭 𝐥𝐨𝐨𝐤 • 𝐏.𝐆 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant