Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
£ . - 𝐏𝐀𝐁𝐋𝐎 - . ¥
Le nom "Elie" jaillit de ma bouche, exprimant ma surprise en la voyant aux côtés de mon meilleur ami.
- Pedri : On peut entrer ? demande-t-il
Ma sœur, discernant mon étonnement, se décala pour les laisser passer. Quand Elie passa près de moi, une onde de frissons parcourut mon corps. Elle exerçait sur moi une influence, même sans me toucher.
Mon meilleur ami s'installa immédiatement sur mon canapé, tandis qu'Elie jetait un coup d'œil autour de la pièce.
Aurora, intriguée, me questionna discrètement sur la manière dont je la connaissais. Je lui fis signe de ne pas insister, et elle soupira avant de rejoindre les autres.
- Pablo : Qu'est-ce-que vous faites la? demandais-je en m'asseyant à côté d'Elie.
Pedri fit une signe de la main, et Elie fouilla dans les poches de sa veste en cuir pour sortir mon téléphone. Elle me le tendit avec un petit sourire.
- Elie : Tu l'as oublié chez moi, et hum...Pedri était mon seul moyen pour que je puisse te le rendre.
En arrivant chez moi plus tôt, j'avais remarqué l'absence de mon téléphone, mais il était déjà presque 21 heures, et je ne voulais pas la déranger davantage.
- Pablo : Merci...je voulais venir le chercher mais comme je ne savais pas si tu étais chez toi aujourd'hui, dis-je en lui faisant un sourire timide.
Je la regardai avec gratitude, mais en la fixant, tous les souvenirs de la nuit précédente me revinrent en mémoire. L'image de son corps si près du mien, de ses lèvres contre les miennes, de sa main sur ma mâchoire, était gravée dans mon esprit.
- Aurora : Vous-voulez quelque chose à boire? propose-t-elle.
Pedri accepta, me lança un regard complice, puis en fit de même avec Elie. Il trama manifestement quelque chose.
Les deux s'éloignèrent, me faisant un clin d'œil. Les yeux d'Elie se posèrent brièvement sur moi avant de se détourner vers le grand meuble télé qui trônait devant nous.
Je décidai qu'il était temps d'aborder le sujet de ce qui s'était passé.
Je m'approchai d'elle doucement, captivé par sa beauté qui semblait encore plus éclatante qu'hier. Ses cheveux bruns étaient défaits, et sa tenue était d'une élégance renversante.
Cette fille était tout simplement parfaite.
- Pablo : Je pense qu'il serait peut-être temps de parler de ce qui s'est passé...
Le regard d'Elie acquiesça silencieusement à mes paroles. Mon cœur battait la chamade alors que j'appréhendais sa réponse, craignant qu'elle ne révèle que tout ceci n'était qu'une erreur, une compassion pour éclaircir mes sentiments.
