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Bokuto

Haikyuu - Bokuto

En entrant dans le gymnase où jouait Bokuto. Tu observas silencieusement et avec une grande attention les mouvements fluides et rapides des volleyeurs. Tu adorais venir pendant les entraînements, tu les dessinais tous, tu laissais la plupart de tes dessins terminés sur le banc. Cependant, tu avais une nette préférence pour Bokuto. Dabord pour ses adorables yeux de chouettes, puis le haut du corps quand il senvole, près pour une diagonale.

De la même année que lui, tu avais commencé à venir il y deux ans environs. Cest tout ce que tu faisais, tu les observais et tu dessinais. Tu ne leur parlais pas, eux non plus dailleurs, tu étais comme la dessinatrice du lycée, personne ne te parlait et tu ne parlais à personne. Pourtant, quand les élèves, ou professeurs recevais un de tes dessins, ils étaient tous ravis.

De leurs côté, les volleyeurs avaient pris lhabitude de ta présence lors des entraînements. Les secondes avaient eu beaucoup de mal à comprendre pourquoi en dehors des entraînements aucuns regards nétait échangé et encore moins des paroles.

Mais aujourdhui, cétait la saint valentin. En partant au lieu dun dessin, tu laissas une boite de chocolat dont la forme était des ballon de volley. Ils étaient pour Bokuto.

Tous très surpris de cette initiative, ils encouragèrent Bokuto à aller te voir. Pourtant, te connaissant silencieuse et à évité le moindre contact, il préféra une autre façon de faire. Cest pourquoi le lendemain, sur ton bureau, tu trouvas une place de cinéma pour samedi, celui qui venait, à 14h.

Tu y alla, stressée, tu avais eu du mal à décider de ta tenue. Finalement en retard, tu pris un jogging, sweat et basket, les cheveux ramasser.

En restant silencieux, Bokuto taccueillit avec un sourire et vous vous dirigez vers la salle.

Inquiète de son calme, tu écris ; « Tout vas bien ? »

Il écrivit à la suite : « Je ne suis pas encore très doué avec la langue des signes, désolé T/P. Je tavais demandé dattendre que je puisse communiquer avec toi, mais je suis nul. »

Tu lui souris, lembrassas doucement et rapidement. Tu ne lui en voulais pas, tu connaissais ses progrès, il essayait vraiment. Après tous ta grande sur est sa professeur de langue des signes. Et cest parce quelle tavait dit quil pouvait communiquer, un peu difficilement, mais il pouvait le faire, que tu lui avais offert ses chocolats.

Tu écris de nouveau : « De ce que je sais, tu te débrouilles très bien. Je ne te lavais pas dit, ta prof, cest ma grande sur. »

Cest grand yeux étonnés te fis sourire. Il signa : Je taime.

Et ça te suffisait. Vous aviez le temps dapprendre à comprendre lautre.

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