recueil os mystérieuses cités d'or 2

Le Piano

Zia dormait paisiblement dans son lit quand un bruit ou plutôt une mélodie la réveilla. Elle se redressa et alluma la lampe d'Ambrosius.

Zia observa sa chambre et sorti doucement de son lit, ses pieds toucherent le sol froid et sa chemise de nuit prêter par Hortance arriva jusqu'à ses pieds.

Z: c'est tellement bizzare... Cette mélodie est triste mais pas totalement...

Elle sorti de sa chambre et remarqua que personne ne c'était réveillé et que le mélodie était audible que de sa chambre. Apres quelque minutes elle retourna dans son lit et profita de la mélodie qui lui mis les larmes au yeux. Après presque une heure le son s'arrêta.

Z: oh... Quel dommage...

Elle soupira et se rallongea avant de sombrer dans un profond sommeil.

Le lendemain alors que tout le monde mangeait leur petit déjeuner Zia posa la question qui lui brûlait les lèvres.

Z: est ce qu'il y a quelque chose au dessus de ma chambre ?

R: mmh... Non juste des combles...

Z: est ce que quelqu'un joue du piano ?

Hortance blemis et Nostradamus fit tomber son verre.

R: he bien... C'était il y a longtemps que le piano n'avais plus été entendu...

M: comment ça ?

Mendoza regarda le roi intriguer tandis que sancho et Pedro tremblait de peur.

P: un fantôme !!!

R: peut êtres. Parceque des que quelqu'un venait dans les combles il n'y avait personne et aucune musique.

Z: mmh.... Étrange....

Le soir même zia resta éveiller très tard et entendis à nouveau le piano. Elle grimpa discrétement au comble. Mais comme le roi l'avait dit la musique s'arrêta. En entrant dans la pièce elle découvris que les marches grinçait

Z: c'est comme ça que la personne apprend que quelqu'un monte... Mais c'est bizzare je devrait les entendre aussi quand il monte....

Elle observa le cœur battant le crenier et soupira avant d'aller voir le piano. En le regardant elle remarqua que les touches était propre sans aucune poussière.

Zia s'assit sur le banc devant le piano et observa. La lune éclairait l'instrument de musique d'une lumière presque fantômatique et mythique.

Après plusieurs minutes la fatigue la pris et elle décida de retourner dans sa chambre. En se glissant dans son lit elle entendis les marchés grincé. Fatiguée elle n'alla pas regarder qui sortait du lit et s'endormie.

Le lendemain elle sentit quelqu'un l'a secouer doucement.

L: Zia... Zia...

La jeune inca ouvris ses yeux et observa la jeune femme qui la secouait avec une extrême douceur mais maladroite qui la fit sourir.

Z:coucou...

Zia se déplaça dans les bras de la jeune femme qui la serra toujours maladroitement.

L: il est midi... Mendoza m'a demandée de te réveiller... Je sais pas trop comment faire..

Z: c'était très bien ne t'inquiète pas !

L: tand mieux ! Tu est restée éveillée tard hier soir ?

Z: oui je voulais essayer de savoir qui joue du piano...

L: je vois... On pourrai essayer ce soir ensemble si tu veux !