Infiltration 1

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Les enfants regardèrent le château de Madrid. La piste de l'indice pour la cité se trouvait dedans.

Z: on ne pourra jamais entrés... La palais est imprenables... Et immence ! On ne pourra jamais trouvé quoique ce soit ici...

E: pourtant il le faut ! C'est notre seule piste... Comment on fait !?

T: Ambrosius aura le même problème. Il faut qu'on soit plus malin...

Z: le château est imprenable je vous dit !

M: Il doit avoir un passage...

Z: non il y en a pas...

E: si on grimpait ?

T: ou passait par une fenêtre.

La bande parla sans écouter Zia qui essayait de parler.

Z:NON ! IL Y EN A PAS ! VOUS M'ÉCOUTEZ PAS ! DÉBROUILLEZ VOUS SEULS !

Zia s'enfuit en courant dans la ville de Madrid en pleure. Elle se sentait tellement seule. Aucun de ses amis l'écoutait. Soudain elle percuta quelqu'un de dos.

Z: pa....par...pardon...

L: Zia? Qu'est ce qu'il t'arrive...

Zia essuya ses larmes et vis Laguerra. Avec douceur elle l'a tenait contre son cœur. Soudain un souvenir semblable lui revient.

Zia pleurait terrifier par tout ce qui se passait. Elle venait d'être mener de force dans une chambre du palais de Madrid. Des dizaines de noble l'observait sans se cacher et parlait entre eux. La pauvre fillette de comprenait rien. Soudain une jeune femme dans un belle robe rouge entra dans la pièce.

Zia ne compris pas ce qu'elle disait mais chaque noble parti les laissant seules. La jeune femme s'approcha doucement mais Zia couru se cacher derrière un coussin.

Zia observa du coin de l'œil la jeune femme s'assoir sur le lit. La belle femme lui tandis doucement sa main que la petite pris en tremblant. Une douce chaleur se dégageait de sa main. Zia se sentant en confiance avec elle s'approcha.

La jeune femme caressa doucement la joue de la fillette. Zia se blotti contre elle et avec beaucoup de tendresse la jeune femme la câlina.

Jours après jours les deux femmes firent connaissance. La jeune femme lui appris à parler espagnol, lire et écrire mais aussi les sciences, la médecine et l'histoire.

Z: comment toi t'appeler ?

L: comment je m'appel ?

Z: oui.

L: Isabella. Mais appel moi Isa !

Z: Isa! Jolie nom toi.

L: c'est bien mais ce n'est pas totalement ça qu'on le dit.

Après plusieurs mois et années Zia se trouva séparé d'Isabella.

Z: ISAAAA

Zia essaya de retourner dans les bras de la jeune femme qui pleurait à chaude larmes essayanr de récupérer Zia. Seulement plusieurs gardes la tenait et les tiraient loin de l'autre.

Zia entra a la charge de la reine et oublia peut à peut le visage et le son de la voix de celle qu'elle conciderait comme ça mère. Mais jamais elle n'oublia la tendresse et la chaleur qu'elle dégageait.

Elle voulait depuis toujours la retrouver mais n'y arriva jamais empêcher par la reine et le roi.

Z: Isa... C'est toi...

recueil os mystérieuses cités d'or 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant