recueil os mystérieuses cités d'or 2

Je Ne Changerai Pas. 2

Charles monta dans la chambre d'Isabella et la trouva allongée dans son lit le regard vide et sa main de les poiles de Bella.

C: isa... Petite sœur...

Charles s'allongea a côté d'elle et après un rapide regard ouvris ses bras et elle se réfugia contre lui.

I: je deviens folle....

C: non tu est seulement en deuil... Tu a besoin de temps... Ton père aussi a eu besoin de temps...

I: papa...

Elle fut prise de sanglot et il l'a câlina tendrement.

C: tout va bien ce passer maintenant... Tu est libre... Si j'avais su que ton père.... Était disparu je ne t'aurai jamais envoyé la bas... Je suis désolé à cause de moi tu n'a pas pus.... Accepter ce qu'il ce passais...

I: je veux plus y retourner...

C: tu n'y retournera pas je te le jure....

Isabella cacha son visage comme une petite fille contre Charles.

I: raconte moi une histoire... Comme avant...

Charles sourit avant de commencer son histoire.

C: il était une fois un prince qui vivait seul dans un grand château. Un jour il découvris un grand secret.

Isabella sourit doucement.

C: sa mère la reine n'était pas sa vrai mère. En effet elle eu un moment où elle n'arrivait pas à avoir d'enfant. Alors je couple royal fit appel à une duchesse. Celle ci membre éloigné de la famille royal accepta de les aidés et quelque temps plus tard elle donna naissance au prince. Mais la même 'année la reine tomba également enceinte mais donna naissance à un fils mort né. Le roi décida de faire de son fils semi illégitime le titre de son fils défunt. Le garçons devient alors prince et héritier de la couronne. La duchesse elle trouva l' amour auprès d'un simple médecin qui accepta son histoire. En remerciements le roi donna la charge de médecin royal à ce médecin et il pus épousé la duchesse. Celle ci donna naissance à une petite fille mais l'accouchement lui couta la vie. Le roi et le médecin décidèrent de laisser les deux enfants éloigné l'un de l'autre pour empêcher un quelconque chantage de la part des autres nobles.

Isabella regarda Charles qui lui sourit.

I: je savais pas tout ça... Pas tout les détails.

C: papa était ton parrain comme ton père était le mien. C'est pour ça qu'on ce voyait de temps en temps...

I: comment a tu découvert la vérité ?

C: j'ai entendu nos pères en parler. J'ai exploser et demander immédiatement de te voir.

I: je me souviens que tu voulais voir mon dos.

C: oui... Papa a été semi soulagée en ne voyant pas la marque royal sur ton dos. Mais ils ont vite remarqué nos ressemblances...

I: notre mauvais caractère par exemple !

Charles rigola avant de la serrer un peu plus.

C: plus jamais on ne me separera de toi ma sœur...

I: mais comment ça se fais que tu sois pas aussi proche de tes autres frères et sœurs ?

C: aucune idée. Mais ce qui est sûr c'est que je suis beaucoup plus proche de toi que des autres .

Isabella sourit avant de se lever et se passer de l'eau sur le visage.

I: aller au travail ! On a des enfants à aider !

Charles passa derrière elle et lui passa un coup de brosse dans les cheveux avant de lui remettre le peigne à sa place.

C: et moi une femme à dupé.

I: quel vilain mot dans votre bouche mon chère frère !

C: je vous est choqué ma sœur ? J'en suis désolé !

Les deux exploserent de rire avant de partir bras dessus bras dessous. En arrivant au niveau de l'escalier ils furent surpris par les enfants glissant sur la rembarde de marbre.

E: attention j'arrive !!!

Z: ho Isabella ! On...

Les enfants se regardèrent gêner.

C: le mieux pour glisser encore plus rapidement c'est de mettre de l'eau dessus.

I: ha non tu va tout me salir !

C: certe mais il y a l'autre moyen !

Charles sourit et descendis en bas au même moment Isabella sauta sur la rembarde et pris Zia contre elle.

C: je vous rattrape !

Z: mais...

I: tu va voir Zia ! C'est très drôle !

Zia rit et s'accrocha a la jeune femme qui lacha la décoration et glissa à toute vitesse sur la rambarde. Mendoza observa la scène en souriant mais sentant un pincement au cœur en la voyant s'amuser alors que lui souffrais le martyre chaque jours où il était loin d'elle.

Z: whaouuuuuu !

A fin Isabella se jetta dans le vide en arrière fesant crier tout le monde mais Charles les rattrapas à temps.

C: et voilà comment on s'amuse correctement !

Zia ris et une fois au sol demanda de recommencez.

C: bien sûr! Vas y avec tes amis je vous rattraperai !

Les enfants grimperent à toute vitesse. Isabella descendis des bras de Charles.

I: tu ne fais pas ça avec ton fils ?

C: non malheureusement... Sa mère le force à travailler encore et encore....

I: tu devrais l'amener ici ! Lui faire découvrir la joie d'être enfant ! Il a quasiment l'âge des enfants !

C: je ne voudrai pas les déranger....

E: mais non ! On serrai très heureux de le voir !

T: oui! En plus comme ça on pourrai faire venir la reine ici et procéder à l'échange de bague ici !

M: c'est une bonne idée.

Isabella se retourna vers Mendoza et leur regards se croiserent. Il essaya de dire quelque chose mais se retourna et parti la laissant encore une fois seule. Elle baissa la tête avant de sentir Charles lui prendre la main doucement.

C: tu veux bien qu'ils viennent ? Je sais que toi et elle ne vous entendez pas bien....

I: oui... J'ai envie de voir ton fils alors... Je peut bien accepter de la supporter quelque heures.

C:'merci isa... Bon aller les enfants c'est quand vous voulez !

Isabella sourit et s'amusa avec eux.

M(pensé) : mais quel idiot je fais... J'aurai pu lui dire tellement de chose.. Alors pourquoi... Pourquoi je peux rien dire... Pourquoi.... Pourquoi je ne l'ai pas accompagné... Tout est de la faute... J'aurai tellement aimé l'avoir dans mes bras... Parlé avec elle jusqu'à l'épuisement... Sentir son parfum entendre son rire... La faire rire moi même ! Pas lui... Il l'a envoyer en Inde en mission suicide ! Comment elle peut retourné vers lui ! Qu'est ce qu'il a plus que moi... L'argent ? Mais je peut en trouver ! Je te rendrai heureuse... Laisse moi encore une chance ! Rien qu'une toute petite...

Il s'appuya sur un arbre et essuya rageusement ses larmes qui coulais en torand.