Isabella galopa pendant 2heures sous un orage des plus violant. Un seul médecin accepterai de sauver sa fille. Elle arrive dans un village où tout le monde était cloîtré chez soi. Elle s'approcha d'une maison légèrement éloigné du reste des habitations. Elle toqua violament.I: Mon père! Je vous en pris ouvrez ! Mon père !?
Un homme âgé de plus de 60 ans ouvris et l'obersva en ajustant ses lunettes.
P: ma parole Isabella Laguerra !? Que fait tu ici sous cette pluie ! Entre donc te réchauffer !
Le prête de la ville là fis entré et lui donna une serviette.
I: mon père aidez moi par pitié !
P: que t'arrive t'il mon enfant ? Tu reviens d'un voyage ? Que ce passe t'il !?
I: Freya mon père ! Freya est au plus mal ! Aucun médecin de la cour veut l'aider.... Je vous en pris !
P: bien sur mon enfant ! Je vais chercher de quoi s'occuper de cette enfant ! Raconte moi pourquoi aucun médecin ne veut soigné cette pauvre enfant ?
I: a cause de moi... Je...
Le prête s'arrêta et pris les mains de la jeunes femme dans les siennes pendant qu'elle lui racontait les horreurs de la cour.
P: les nobles font bonne figures devant le roi et sa famille ou même dans les maisons de dieu mais la vérité c'est qu'ils sont tous horribles. Ne t'inquiète pas ma chere enfant un jour ils payerons. Même si je sais que tu ne crois pas en dieu.
I: vous êtes bien le seul à me comprendre et m'accepter.
P: il faut croire qu'avoir travailler avec ton père pendant des années avant de devenir homme de foi ma ouvert l'esprit.
I: moi et Antoine ne vous remercierons jamais assez d'avoir pris soin de la mère de Freya de l'avoir protégé et baptiser sa fille... Et d'avoir falsifié le registre pour nous...
P: ne le répète pas
Le prête lui fis un clin d'œil avant de mettre une cape de pluie et charger ses affaires sur son cheval.
P: tient mets ça également. Tu risque de tomber malade.
Isabella sourit avant de poser sa tasse vide de soupe de légumes et pris la cape de pluie avant de grimper sur son cheval. Les deux partir à toute vitesse sur les routes glissantes.
Au palais mendoza et Antoine essayait de calmer les douleurs de Freya. Antoine fesait jouer les poupées de sa fille en racontant des histoires pendant que mendoza ajustait la bouillotte chaude sur se petit ventre.
F: maman.....
A: elle va revenir mon cœur...
F: je veux maman...
La petite commença à pleurer et Antoine essaya de la prendre dans ses bras mais la petite le repoussa.
M: oh j'ai une idée !
Mendoza ouvris un tiroir de sa commode et sorti une chemise d'Isabella qui sentait son odeur. Des qu'il lui tandis la petite la pris et la serra contre elle en reniflant.
A: merci beaucoup... Comment vous est venu cette idée ?
M: aussi fou que ça puisse paraître c'est Isabella qui me donne sa chemise quand elle dort pas ici.
A: vous êtes un si beau couple.
M: je suis sur qu'un jour vous aussi vous trouverez quelqu'un pour vous.
Antoine soupira ne sachant pas que mendoza était au courant de son orientation amoureuse.
A: merci. Mais pour le moment je préfère me consacrer entièrement à ma Freya.
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recueil os mystérieuses cités d'or 2
FanfictionSuite du premier "livre" suite à un problème technique ! Mais rassurez vous c'est exactement pareil ! Bonne lecture !