6|| pain of love

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Hey !
Profitez bien du chapitre !
300 lectures c'est exceptionnel et magique de voir qu'autant de gens accrochent !
Update : je viens de le poster, vous êtes des oufs on est à 400 lectures !!

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Les livres de romance d'été où le personnage principale boit comme un trou et se lève avec le soleil est une fabulation grandiose. Je viens d'à peine retirer la tête de l'oreiller qu'elle retombe comme un plomb.

— Cocktail de merde ! M'écriais je en soufflant dans mon oreiller

Par contre la tenue, comment ça se fait ? Toute la soirée est peut-être un tourbillon flou mais le fait que je n'avais pas cette tenue est une certitude. Je me repasse les événements et le dernier truc qu'il me reste en tête est le serveur qui ne semblait pas avoir pour barrière ma minorité.

Maman arrive et dieu la bénisse elle est accompagnée d'un sachet de viennoiseries ainsi qu'un verre d'eau où flotte l'aspirine. Elle me le tend et je grimace mais comble le goût pâteux du médicament par le pain au chocolat.

— Alors ma chérie ?

— Je me remercie de m'être préservée autant d'année et je ne recommencerais plus c'est horrible et dégoûtant. Fin c'est bon au début mais c'est tellement traître.

Elle rigole et se lève de mon lit pour ouvrir mes volets. Je souffle et je n'ai pas le choix, il faut bien essayer de se lever. La nausée est au bord de la gorge, dieu que ça brûle. Quelqu'un tape à la porte et maman sort en laissant celle-ci ouverte afin que la personne entre.

Je vois le visage de Tom qui explose de rire en me voyant recroquevillée au bord du lit.

— Bonjour le trou alcoolique s'esclaffe mon ami en me tapant la bise et en s'asseyant

Il tape un morceau dans le sac de viennoiseries :

— Eh, je ne crois pas que ce soit toi qui ai bu les cocktails affreux ! Criais je en reprenant le sachet

— Non mais c'est moi qui ai dû supporter tes remarques hyper salaces dans la voiture.

Pardon ? Ai-je bien entendu ?

— comment ça ?

— Salace autrement dit coquin, vulgarité qui rapporte au cul.

— Nan mais ça je sais Tom merci, mais j'ai dis quoi ?

— Tu as dit que t'aimerais bien te faire le grand brun à côté de Joanna à la rentrée. Que si Bill avait les cheveux aussi long, t'aimerais bien voir ce que donne son entre jambe.

Je claque ma main contre mon visage et n'ose plus regarder l'aîné de dix minutes des Kaulitz. Il est plié en deux de rire et répète la même remarque que j'ai faite en boucle.

— Ça va c'est mon quotidien à moi ça. Ce genre de blague c'est Tom Kaulitz, mais je te passe le flambeau. Plaisante-t-il

— J'ai parlé de l'entrejambe de Bill ? Vraiment ?

— Oh que oui.

— Quelle cruche !

Il embrasse mon front et me dis

Pain of love- Bill KaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant