Pain of love- Bill Kaulitz

7|| pain of love

Merci milles fois pour tout !
Déjà 500 lectures que bientôt on atteint les 600, merci merci de pouvoir faire vivres mes mots, de pouvoir donner une suite à tout ça.

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Nous sommes arrivés à treize heures, il est seize heures et les gars vont enfin pouvoir profiter d'une petite pause avant l'habillage, maquillage et moment où le stress est à son paroxysme. Avec Frane nous ne sommes pas mal logés : dans le lounge, canapé et séries. On semble rêver, être aussi confort et pour elle aussi proche de ses artistes favoris.

— De ce que j'entendais, ils ont l'air assez stressés et tendus.

— Ouaip, Tom avait l'air de temporiser mais Bill lui semblait hyper intransigeant.

En effet, la douce voix sans second degrés, de Bill augmente dans les tons depuis quelques minutes.

— Vu que le dernier jour de répétition le chanteur ne s'entraîne pas, il capte mieux les erreurs des uns et des autres. Mais ce dont j'ai peur c'est qu'en criant il se l'abîme encore plus.

J'acquiesce et me resserre du jus d'orange qu'à gentiment préparé l'équipe pour nous et les gars. Frane me raconte ce qu'il s'est passé dans le cours ou je n'étais pas avec elle puis la porte s'ouvre et on voit arriver les gars. Georg toujours aussi souriant s'installe entre nous, Gustav prend ses écouteurs et ressort de la pièce.

De ce que m'a dit mon amie, il fait souvent ça et c'est généralement comme ça que les shows se passent bien. Puis Tom entre un air froid suivi de Bill qui semble comprendre qu'il a merdé dans la façon de leur parler. Tom se cale sur un des canapés et avale une fraise d'un coup. Il ne parle pas et semble fermé.

Frane et moi sommes perdues, ne sachant pas si on doit leur parler, si on doit se taire. Je triture mon bracelet, mal à l'aise pour la première fois en leur compagnie. Georg semble le comprendre puisqu'il s'éclaircit la voix et dit :

— Ce soir l'équipe de la salle vous font livrer des pizzas les filles.

— Oh merci c'est trop gentil s'enquiert de dire la rousse

Bill semble extrêmement angoissé, son pied tape frénétiquement le sol, il s'attaque déjà à sa manucure noire.

— Tom, Georg je sais que j'ai abusé dans la façon de dire les choses...

Il sait s'excuser ? Miracle de l'univers.

— Bill on va pas pouvoir supporter une pression de l'orchestre, de toi, du public qui va autant nous apprécier que nous détester.

Face à ca Bill gratte son bras et baisse la tête.

— Je sais mais vous n'étiez pas dans le rythme, voilà... remet une couche le chanteur quant à leur embrouille

— Ok Bill, tu sais quoi, t'as l'air d'oublier qu'on doit aller au même temps que les violons mais très bien, plante toi pendant que nous serons dans les temps ! Claque son jumeau en se levant et en sortant

Bill reste sans bouger puis jette le coussin du canapé au sol et s'y assied. A mon tour je me lèves et pars à la recherche de Tom. Même si je n'aime pas beaucoup Bill, les voir rater quelque chose d'unique dans leur vie serait du gâchis.