23|| pain of love

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25 décembre, 02h48

Tout les cadeaux avaient étés distribués et les larmes de joie avaient coulées à flot. J'ai été largement gâtée et l'émanation d'amour des jumeaux à mon égard a été si prenant que je n'aurais pas pu rêver mieux. Gordon et mon père ont déjà programmé d'aller la semaine prochaine choisir ensemble comment établir le départ pour l'Amérique. Maman et Simone discutent ensemble de l'éducation quelles ont donnes à leurs enfants, du côté maman poule qu'elles transmettent.
Moi pendant ce temps je suis avec Bill et Tom, on mange notre énième bûche en buvant discrètement la bouteille de champagne qu'ils semblent avoir bien vu mais qu'ils doivent faire semblant de nous laisser continuer à consommer.
Tom entame une danse avec le casse-noisettes géant et Bill se moque de lui en lui jetant les peaux de clémentine dessus. Moi je commence à avoir super chaud et Bill me serre tout les trente secondes dans ses bras en y déposant chaque fois un baiser.

« — Celui-là c'est pour la combinaison incroyable que tu portes » dit-il en plaçant ses lèvres sur le côté de ma mâchoire proche de mon oreille qui me fais entendre sa phrase dans un murmure incroyable.
Je sens son souffle chaud sur moi et j'en presse sa main.
Tom d'un coup revient de la cuisine et commence à me prendre la main pour danser. Je le suis sur un rythme d'une chanson qui ne s'entend pas, puisqu'il cri comme lorsque Bill lui a perdu sa casquette favorite.

On rit tellement que nos parents doivent se tourner à peu près dix fois. Puis au bout de trois trois fois on se décide à monter dans la chambre puisque de toute façon c'est ce qui était prévu. Ils restent pour dormir pendant que leur parents seront dans la maison qu'ils ont. Finalement ça s'est décidé les derniers instants, les fameux moments, ceux où les parents n'arrivent pas à se dire au revoir.

Je pousse doucement ma panoplie de maquillages, de pinceaux et de produits en tout genre qui m'ont plutôt réussi puisque Bill ne lâche pas ma tenue d'un œil. Je dépose le tout sur mon bureau pendant que les garçons se battent pour savoir qui va dormir sur la banquette en dessous de la fenêtre, je m'interpose :

— De un personne ne dormira là-dessus entre votre manque de délicatesse et le froid qui sort du bas de la fenêtre. Je les regarde, lâchant leur sacs qu'ils commençaient à se battre Et toi, alors toi Bill Kaulitz je vais t'utiliser comme chauffage ou coussin mais tu préfères ma banquette à mon lit avec moi ? Le regard avec un air de défi que je lui lance veut clairement dire qu'il a intérêt à sortir une bonne excuse

Voir ce grand garçon d'un bon mètre quatre vingt être entrain de limite se cacher derrière son jumeau qui m'a l'air tout autant perdu dans une idée d'excuse, ça me fait mourir de rire.

— Je, tu sais j'aime vraiment le confort pour Tom et je...

Je me met à éclater de rire qu'aussitôt je me prends un coussin en pleine tête. Je me mets debout sur mon lit, récupère le premier coussin que Tom n'a pas encore dérobé et je leur jette dessus.

— Alexandrine reviens ici !! S'écrit-il en commençant à récupérer mes palettes de maquillage et à dangereusement se rapprocher de mes fenêtres

— Tom, tu n'oserais pas quand même. Tom s'il te plaît je t'en prie dis je en riant avant d'arriver et de me hisser en prenant appuie sur son bras libre et essayant de récupérer le précieux qui me coûte un bras

[...]

Il est cinq heure du matin. Doucement je bouscule le torse de Bill qui est mon coussin pour ce soir. J'embrasse ce torse fin et pourtant si apaisant. Doucement il passe sa main dans mes cheveux et relève de son doigt délicat, mon menton.

— Hey Stern, joyeux noël.

— danke joyeux noël Bill. Je t'aime dis-je en touchant doucement son sourcil qui se relève doucement

On se remet l'un contre l'autre, heureux de vivre ça. Sauf que le moment de se rendormir est vite interrompu par un coussin qui vient cogner ma tête. C'est Tom, probablement la gueule de bois qui monte.

— Oh c'est bon on a pas tous sa petite copine avec soi ok ? Alors taisez vous ou si vous avez une solution contre le mal de crâne donnez. Soupire le dreadeux avant de tomber à nouveau comme une masse.

On se regarde et nous éclatons de rire, sachant que dans trois semaines nous serons en Amérique.

Pain of love- Bill KaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant