Pain of love- Bill Kaulitz

13|| pain of love

Je vais enfin écrire sur un premier voyage entre eux !
Hâte de vous montrer l'équipe en vacance !

À peine nous avons le pied qui foule le sol que nous voyons la beauté de notre location pour ces deux jours. Une immense maison qui surplombe toute la corniche. Le premier détail qui se fait remarquer par la grandeur de la propriété est la piscine. De l'entrée nous la voyons dépasser. Je saisis mes valises et accours à l'entrée pendant que Tom essaye de me pousser. Les autres rigolent en commentant tout le décor.

— Alors là Alex y a plus de petite soeur qui tienne, je veux ma meilleure chambre.

Il se dépêche et ouvre en grand la porte. Mais le décor ainsi que les proportions énormes de la priorité font que l'on s'arrête. Ça nous coupe le souffle. J'en profite qu'il énumère le nombre de chose qu'il va faire pour passer dans son dos dans les escaliers.

— Oh la tricheuse, tu va voir toi si tu finis pas dans la piscine. S'écria Tom en lâchant sa valise au vu du grand fracas pour monter les escaliers

Je m'avance comme une folle dans la première pièce qui est une chambre qui sera parfaite pour le couple. Alors j'en sors immédiatement et tombe nez à nez avec le dressing. Il est gigantesque, je m'imagine déjà entrer en peignoir à devoir choisir quelle tenue pour le concert ou bien pour un restaurant. Puis je cavale vers une chambre qui a pile trois lits, et qui contient une salle de bain à pouvoir y entrer tout les sept. Je m'étale sur le lit et Tom s'insurge.

— Non, Alex que j'aime plus que tout, est ce que tu aurais l'amabilité de me laisser cette jolie chambre ?

— Certainement pas Tom kaulitz. Il n'y a rien qui me fera changer d'avis, rien.

— Et si je venais à malencontreusement faire tomber cette jolie palette ?

Oh l'enflure il l'a prise dans mon sac à main. Cette palette m'a valus deux enveloppes de Noël d'économisés. Je m'avance vers lui mais automatiquement il lève le bras. Et bordel c'est vrai qu'il fait un mètre quatre vingt. Je ne décide pas de me battre avec lui et décide au contraire d'attaquer.

— Ok, après tout les couleurs ne m'allais pas du tout ! Dis je en sortant dans le couloir de l'étage

Aussitôt je cherche sa valise, l'ouvre et attrape sa ribambelle de casquette plate. Je les tiens dans ma main et m'avance à la manière de deux ennemis.

— Tu n'osera pas.

— Oh, je trouve qu'entre les deux plantes qui sont face à ma fenêtre ils iraient super bien.

— Non, Alex. Elles deviendraient vertes et j'ai plus pris de casquettes que de vêtements.

— Ah bah ça, ce n'est pas mon soucis.

Il souffle et pose le précieux sur mon lit.

— Si facile ? Bah dis donc j'aurais cru qu'on aurait dû en finir aux mains.

Oula, il regarde derrière lui, ça ne sens pas bon du tout. Et sans comprendre je me fais soulever par Gustav et Tom se met à récupérer ses biens en riant à pleins poumons.

— Saches que je ne perds jamais Alex Skye. Maintenant, j'espère que tu nous dira si la piscine est si bonne que ça !

Sans comprendre grand chose je dévale les escaliers sur les épaules de Gustav qui ne se fait pas prier pour courir la vingtaine de marches. Une fois en bas tout le monde comprend et crient :