L'amour, et puis quoi encore ? (sanzu x mikey & encore plus)

Putain, c'est quoi cette blague !?

- POV Sanzu -

Toujours les yeux fermés, je reprends tranquillement conscience. Putain, j'ai dormi combien de temps ? Pour être honnête, je ne me souviens dabsolument rien après avoir fumé avec Kisaki.

Tout mon corps me fait souffrir, je me suis encore battu !? Je tente de frotter mon visage mais putain mes bras ne bouge pas.

J'ouvre difficilement les yeux et constate que je suis allongé dans un putain de lit, les mains attaché au dessus de ma tête. C'est quoi ce bordel !? Avec quel cinglé j'ai couché !?

J'hurle le plus fort que je peux en me débattant comme jamais. Elles vont céder ces putains de menottes !!

Au bout d'une quinzaine de minutes a crier a plein poumon, la porte fini par s'ouvrir et un mec, assez joli, entre. Mes yeux parcourent sont corps en entier. Putain mais il est chaud me mec !

(?) : Tu vas cessé de crier ainsi un jour !? Faut pas que le boss t'entends.

Sanzu : Putain, mais tes qui !? Je suis où !? On a baisé ensemble !?

(?) : Et c'est moi qui subit un interrogatoire.. la chance que j'ai.

Il referme la porte derrière lui et l'approche de moi avec un seau rempli de plein de truc. Il compte me faire quoi !?

Il amène le banc avec lui et prend place devant moi. Sors un linge trempé et commence a le passé sur ma peau avec une douceur que j'ai jamais connu.

(?) : Comment tu vas ?

Sanzu : J'ai mal absolument partout et j'arrive pas a me souvenir vraiment d'hier. Kisaki ma faite fumé un joint et c'est la dernière chose j'arrive a me souvenir.

(?) : Je ne sais pas qui est ce Kisaki, mais il n'y avait pas que du Weed dans ton joint mon cher.

Sanzu : Je.. hum.. j'ai consommé beaucoup de chose hier..

(?) : Tu veux que je t'explique ?

Sanzu : Ouais.. parce que si tu ne connais pas Kisaki, je comprends pas comment on peut être ensemble présentement.

(?) : Pour commencer, je m'appelle Izana. C'est grâce a moi que tes encore vivant. Je t'ai trouvé dans une ruelle cette nuit, tu étais en plein overdose. Le boss a accepté que je t'amène ici pour te sauver. Pourquoi ? J'en sais rien. Mais, te voilà en vie. Je sais absolument pas ce que t'a prit hier, mais je crois sincèrement que t'a trop abuser.

Je ne dis rien. J'ai faillit mourir.. moi ? Putain, mais je rêve !! Le garçon devant moi me souris et se lève. Je lui doit la vie, je crois bien. Fait chier. Je déteste être en dette et surtout de cette façon !

Sanzu : Tu vas me détacher, ein ?

Son sourire change et deviens narquois. Il a prévu de me détacher ein ? Je peux pas rester ici ! Encore moins sans ma putain de dose !

Sanzu : Putain, tu vas me détacher !!

Il sort de la pièce et referme a clé derrière lui. Putain de merde, je viens clairement de me faire baisé là! En aucun cas il avait l'intention de me laisser ma liberté. Me laisser vivre pour finalement me séquestrer.. dans quel monde on vie, bordel.

Mes cries recommence immédiatement a se faire entendre. Je veux sortir d'ici bordel de merde !!

Le temps passe et personne ne reviens me voir. Le manque commence a se faire ressentir .. putain que ça craint !

Mon corps n'a jamais été en manque ni connu de sevrage. Depuis l'âge de 16 ans la drogue coule à flot dans mon corps.. autant que l'alcool. Combien de temps je vais encore rester ici !?

Je ne peux même pas savoir si on est le jour ou la nuit. La pièce n'a aucune fenêtre. Uniquement un lit, un banc sur roulettes, un bureau et une toilette. Une vrai pièce de séquestration.

Bien que ça fais plusieurs heures que je suis réveillé, mes cris ne se sont atténués.. je vais tellement les faire chier qu'ils n'auront pas le choix de venir m'ouvrir ! Au minimum pour venir me faire taire.

Mon corps se met tranquillement a avoir des sueurs froides et a tremblé. Putain, je vais viré fou ici !

Au moment où je commence a faiblir, par manque d'énergie, la porte s'ouvre. Je lève légèrement la tête en continuant d'hurler de me laisser sortir.

Izana se trouve devant moi et s'approche tranquillement en me lançant un regard de mort.

Izana : Putain, mais tu vas te la fermé !? Je t'ai dis que le boss ne doit pas t'entendre !

Sanzu : Putain !!! Donne moi le comprimé qui était dans la poche de mon pantalon ! Je ai besoin ! Allez !

Il sors le sachet et me le montre. J'en bave bordel ! Allez, je vais pas tenir longtemps.

Izana : tu parle de ce comprimé ?

Le bâtard le lance au sol et l'écrase avec son pied avant de le jeter dans la toilette et de tiré la chasse. Putain j'ai la haine. Je vais éclaté sa tête contre les murs, ce bâtard !

Je me débat encore plus sauvagement et hurle encore plus fort. Les menottes m'ecorche les poignets, je ne vois pas mais le sang me coule sur les bras.

Soudainement, la porte s'ouvre a nouveau et un mec entre. Izana ce penche directement devant lui. Putain, mais il est plus petit que lui ! Je rigole a cette vue.

(?) : Tu peux disposer, je vais m'en occuper.

Izana : je.. Je peux le faire taire.

(?) : Tu conteste mes ordres, Iza !?

Le ton de sa voix me fait frissonner. Je l'ai peut être sous estimé ce gamin. Même Izana, semble le craindre.

Izana : Non, boss. Je te le laisse. S'il y a de quoi je serai pas loin.

(?) : Au contraire, je veux que tu parte.

Izana lui sourit et il sort immédiatement sans rien ajouter. Honnêtement, ça ne me dit rien de bon. Pour qu'un gamin comme lui soit le boss, j'ai bien peur que ce soit la fin pour moi.

Le boss se tourne vers moi et ne dit absolument rien. Il semble mexaminer du regard. Je fais donc la même chose. Je peux bien me le permettre.

Il est plutôt petit, cheveux blanc lui aussi mais pas la même coupe que l'autre. Son regard.. putain qu'il fait flipper.

Bien qu'il me soit totalement inconnu, plus que je le regarde,plus j'ai l'impression de le connaître... vous savez, connaître sans vraiment connaître.

Sanzu : Tu compte n'observer encore longtemps !?

Son expression faciale ne bouge pas mais il soulève un sourcil. J'imagine qu'il est surpris de voir que j'ose lui parler sur ce ton. Mais putain, je ne sais pas où je suis, ni avec qui et en plus je n'ai pas ma drogue ni mon alcool.

Il penche la tête sur le côté tout en laissant ses yeux fixés dans les miens. J'en frissonne. Nah, le frisson vient de mon putain de sevrage ! Puis, contre toute attente, il sourit.

(?) : Putain que t'as changé, Sanzu.