Kaïss
Hier soir elle est rentrée précipitamment, je me suis bien posé la question mais elle ne tirait pas une tête à vouloir que je l'interroge.
Elle était glacée alors je me suis juste contenter d'allumer le chauffage dans sa chambre puis l'ai laisser se reposée mais ce matin j'aimerais bien avoir des explications.—Je voulais dire après que tu sois partie de chez toi qu'es ce qui s'est passé?
—..rien.
Elle continue de se goinfré de paincakes l'air de rien.Jusqu'ici je m'efforçais de ne pas la regarder pour ne pas qu'elle remarque mais le mensonge n'est pas quelque chose que je porte dans mon coeur, j'attrape son assiette de nourriture et la tire vers moi, arrachant l'ensemble de la bonne humeur du visage d'Élisabeth au passage.
Cela me satisfait elle a prise la mienne au moment où elle a poser les pieds dans mon lieu de vie alors me mentir en plus n'est pas vraiment la chose dont j'avais besoin.
—Me sauter dessus pendant qu'une bête abîme mon seuil je n'appelle pas ça rien. Tu lui a fais quoi tu l'a embêté?
Elle déglutit en finissant d'avalé sa bouchée bien trop grosse pour sa gorge.
Comment fait-elle pour avalé tous rond des quantités pareilles, il y a décennies que je me serais étouffé à sa place.
Au moment où ses boules oculaires allaient accrocher les miennes, je les baisses vers mon livre faisant mine de le feuilleté.—J'ai voulu le caresser mais ça ne lui a pas plût, il m'a poursuivit jusqu'ici. Elle croque dans une autre crêpe puis arrête tous mouvements. Es-ce que ça t'fais rire?
Eh bien oui le faite qu'elle s'aventure comme une enfant auprès des animaux qu'elle ne connaît pas me fait bien rire. Ça lui fera une bonne leçon de vie. Mon téléphone sonne, perplexe je décroche, c'était sa mère qui voulait me parler de quelque chose. Sois disant important disait-elle me convaincant hier de donné un toit à sa fille pour cette nuit..seulement Rosa m'inquiète. Je la connais suffisamment pour décrété si quelque chose d'anormal se passe dans sa vie et je dois admettre que sa voix vacillante ne m'assurait pas le parfait lifestyle de la mère marier, aisé et ensoleillé qu'elle est. Je colle le téléphone à mon oreille de manière à ce qu'Elisabeth n'entende rien.
—Beth ne peux pas revenir à la maison, emménagez ensembles quelques temps, s'il te plaît..elle en a vraiment besoin et toi aussi tu as besoin de voir du monde.
Je reste silencieux tentant un moment de resté calme et aussi mature que je devrais l'être à présent mais rien y fait, la pression tordante de recevoir une femme chez moi me broie l'estomac et mes émotions me font défauts.
Au moment où elle m'a parler de cohabitation, j'ai cru que ce n'était qu'une blague mais elle insiste.—Quoi? Me rebelle-je en me mentant que tous cela ne soit qu'une plaisanterie de mauvais goût. C'est pas ce qui était convenue. C'est non. Je raccroche sous les yeux de sa chère et tendre fille.
Et puis merde, elle me prends la tête avec sa gosse. Je prends l'avant-bras de Beth et l'attire hors de sa chaise jusqu'à la porte d'entré. Elle avait toutes ses affaires sur elle, je n'ai pas chercher à comprendre et n'ai pas attendu qu'elle vide sa bouche. J'ai ouvert la porte et l'ai sortie de l'appartement.
—C'est non. Lui dis-je avant de lui claqué la porte au nez, elle n'a pas dû comprendre.
—C'est quoi ce bordel? Tu t' prend pour qui !? Gueule-t-elle à travers le bois.
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Romansa𝑰𝒍𝒔 se 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆́𝒔.. 𝑰𝒍 𝒍𝒖𝒊 𝒂 𝒅𝒊𝒕 : 𝑱𝒆 te 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒆𝒔𝒕 𝒇𝒂𝒊𝒕. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒂 𝒅𝒊𝒕 : 𝑱𝒆 𝒕𝒆 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆.. 𝑰𝒍𝒔 𝒐𝒏𝒕 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆́𝒔 :...