16.Little bit clumsy

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kaïss
Beth va avoir besoin de beaucoup de temps pour guérir de l'acte de Maël, espérons qu'elle le vivra mieux que moi je ne l'ai vécu.


J'ai pas été très sympa avec elle s'est vrai alors je vais me contenter de rester près d'elle pour la rassuré. Lui dire que ce n'est pas de sa faute pour éviter qu'elle ne culpabilise, lui rappeler que c'est un manque de respect pour qu'elle se souvienne de ne pas lui accorder une nouvelle chance, elle ne servirait à rien le mal est fait. Lui affirmer qu'il ne la méritait pas pour qu'elle ne s'endorme pas sur des questions, des doutes et des "pourquoi".


Je serais la personne que j'aurais aimer avoir à mes côtés quand ça m'est arrivé.
C'est peut-être pour ça que j'ai envie de l'aider, peut-être que je me sent sensibilisé d'une manière ou d'une autre car j'en ai moi-même été victime.


Je sort de ma chambre avec détermination, celle-ci qui s'était enfoncée dans tous les pores de mon visage puis s'est immédiatement évaporée en surprenant Beth entrain de sortir de la salle de bain.
Elle sèche ses cheveux mouillés qui semble être devenues noires de geais.
Normalement quand l'ont se fait tromper, l'ont pleure à cause de la trahison d'une personne de confiance, l'ont se met en colère et ensuite l'ont tache de faire évoluer notre physique en guise de revanche. Beth a grillée toutes ces étapes ou bien elles ne sont simplement pas dans le bon ordre selon moi.


Instinctivement mes yeux longent ses courbes en oubliant tout le schéma de pensé que je venais de construire.



Où es-ce que tu te crois? Tu as trois secondes pour enlever tes yeux de mon corps. Dit-elle aigrement m'envoyant un champs sonore d'un niveau d'agressivité surprenant.



Es-ce la même personne qu'hier?
Celle qui me suppliait de lui rouler une pelle et de la câliner. Elle a raison cependant elle devrait me parlé sur un autre ton. La menace est une chose que je ne supporte pas envers moi.

Compte .
Répliqué-je froidement en avançant d'un pas vers elle.

Le couloir est assez étroit nous n'avions à peine assez de place pour tenir à deux. Je plonge mon regard dans le sien, si elle pense que ses mises en gardes me font trembler.


Je l'écrase de mon aura mais selon moi pas assez. Je décide de resserrer mon étreinte sur elle. Elle se sent oppressée et se colle au mur tandis que je viens la piéger contre de mes deux bras.


Elle laisse échapper un rire sarcastique, questionneur je lève un sourcil. Elle défait la serviette qu'elle avait enroulée autour de sa chevelure pour la sécher et me laisse admiré ses nouveaux cheveux.

—Ma couleur c'est le noir, ça va être aussi la couleur de ton œil si tu m'lâches pas. Elle se retourne brutalement, passe en dessous de mon bras gauche et me claque la porte de sa chambre au nez.



Non je refuse que ça se passe comme ça. Cette fille, n'aura jamais le dernier mot. De ma vie l'ont ne m'a jamais parlez comme ça et je ne laisserais jamais quelqu'un me parler comme elle l'a fait. Si mon ego en prend un coup? Non. Je veux juste m'assurer que le sien ne grossisse pas trop.
Dans un élan d'impulsivité j'ouvre sa porte, je la découvre en demi sous-vêtements. Le bas était mis contrairement au haut. Elle cache son corps avec ses petits bras alors que je ne la regarde même pas, ses attributs son bien loins de m'intéressé.

La dernière fois si j'avais pas étais là ta meilleure amie serait encore entrain de te ramassée à la petite cuillère. Vociféré-je en serrant la mâchoire.

En voyant ses expressions se détruire je tâche de reprendre mon calme.


J'ai besoins d'être seule. Nasille-t-elle, elle se frotte le bout du nez cachant pendant quelques secondes une partie de son visage. Je la vois s'essuyé une larme en vitesse, celle-ci espérant sûrement que je ne l'ai pas remarqué.


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