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05.little bit curious

Beth
Alexei et Kaïss se passent des regards sous ma surveillance, leurs années d'amitié on du crée une complicité qui leurs permettent de communiquer rien que par ça. J'essaye tant que bien les analysé je n'y comprends rien, impossible de traduire leurs langages codés.

Ce soir Kaïss va sortir je n'sais où puis va ramener une femme à son bras comme tous les autres soir où il a du sortir. J'aimerais bien savoir ce qu'il fabrique tous le temps mais rien qu'au peu de caractère que j'ai vu de lui je peux facilement deviner qu'il refusera instantanément de m'avouer où il part traîner. Peut importe je n'me laisserais pas abattre par sa négativité j'ai une devise «qui ne tente rien n'a rien», je me lance et leurs posent la fameuse question avant de me rendre compte que mes pressentiments s'affirment. Ils m'ont tous les deux soigneusement ignorés. L'ont aurait dit que ce moment n'avais jamais existé comme si j'avais tous simplement imaginé le leurs demander mais que je n'avais jamais sauté le pas.

J'ai d'abord déduit une boîte de nuit, un bars ou même un cabaret, si c'était le cas en faire un secret d'état serais ridicule à moins que Kaïss soit vraiment déterminé à ce que l'ont connaisse rien de l'autre. J'accorde peu d'importance aux idées que je me suis faite de ses sorties mes doutes vont bientôt s'estompés. Ce soir j'ai prévu de le suivre discrètement.

Je sais d'avance que j'aurais passer la nuit à recouvrir ma tête d'un coussin en plume pour essayer d'étouffer les bruits incessant de ses parties de jambes en l'air. Devine quoi Kaïss si je dois rester éveillé autant le faire en ayant un but claire et précis. Je veux des réponses si il ne me les donnes pas je les lui volerais, je ne peux pas vivre deux ans de suite avec un totale inconnue et un silence de mort. J'ai déjà vécu dans une sale ambiance la moitié de ma vie, une atmosphère comme celle là même loins de chez moi et de mon père me tuerais. Je ne souhaite pas être condamné à revivre les mêmes mal-êtres encore et encore.

Alexei dit à ce soir à son ami me laissant à nouveau seule avec lui. J'avais quasiment oublier qu'il n'avais rien sur le dos, il a beaucoup plus de tatouages que je ne le pensais.
Notamment sur l'arrière de son corps, sur ses deux omoplates les ailes d'un homme qui semble tombé du ciels juste au milieu de sa colonne vertébrale. Kaïss se met soudainement face à moi me permettant de mieux voir ses dessins corporels, il en possède quelques uns sur les côtes et deux de chaque coter du pubis qui souligne à merveille son V ils ont l'air de descendre jusqu'à..

—Tu voudrais ptetre que j'enlève mon pantalon aussi ? La voix tranchante de Kaïss me fait légèrement sursauté je reviens pieds sur terre dans l'immédiat.

J'aurais du être plus discrète maintenant il va croire que je faisais je n'sais quoi d'oser alors que ce n'étais pas mon attention.

—Je regardais tes tatouages. Déclairais-je pour prouver mon innocence.

—Ne le fait plus.
Il s'enfonce dans l'obscurité du couloir sans rien ajouter de plus.

À quoi sert d'allez se faire tatouer si il veut que personne ne puissent en observer les dessins. Il est sans cesse sur la défensive, j'espère qu'il n'a pas toujours été comme ça. Le mot agréable n'est sans doute pas dans le vocabulaire de Kaïss.

La nuit est là mon colocataire s'apprête à partir, mes chaussures sont déjà à mes pieds j'attend patiemment dans ma chambre qu'il passe la porte. Le claquement qu'elle renvoie à chaque fois qu'il franchis le seuil sera mon feu de départ, il ne parle pas mais agis les bruits qu'il produit et ses actes à force je les traduits et c'est ce qu'il fait régulièrement pour m'avertir qu'il part ou qu'il est rentré.
Un language pas si compliqué que ça finalement.

J'entends la porte se fermé. C'est partie!
Je sort de ma chambre puis traverse le couloir en trottinant gaiement sûr de moi, j'ouvre la porte et tombe nez à nez avec lui.

—Tu vas où ?me questionne-t-il autoritairement. Je ne trouve pas les mots je ne m'attendais vraiment pas à être surprise la main dans le sac.

Il me fais un signe de tête en direction de notre porte, je comprends qu'il veut que je fasse demi tour. Déçu je rentre dans l'appartement en traînant des pieds, le plan infaillible auquel je ne pensais pas qu'il n'y aurais d'échec possible avait été décimé en lambeaux.
Il me regarde m'avancer au fond de la pièce puis souris malicieusement en abaissant ses yeux sur ma paires de chaussures.

C'est là que j'ai compris.

Avant de sortir il avait du remarquer que mes chaussures manquaient à l'entrée et y a toute suite été attentif. Il a directement à soupçonner que j'allais me rendre quelques part. Il m'expédie un clein d'œil et referme la porte derrière lui, je laisse paraître mon désemparement. Ce grand abruti est loins d'être le plus bête.

Dégouté fasse à mon revers je me répète que je n'ai pas avancé dans ma quête. Il marque un point moi zéro cependant il n'est pas question de baissé les bras aussi facilement, il fréquentes des femmes différentes tous les soirs sans avoir appris d'une seule.
Les femmes finissent toujours par tous savoir.

★★★★

J'entre dans ma chambre pour écrire à Cat ma meilleure amie, j'aimerais qu'elle passe un moment à l'appartement histoire de me tenir un peu compagnie. Celle de mon colocataire ne me convient pas du tous enfin si on peut caractériser ça de compagnie. C'est un véritable iceberg ambulant, il peut rester jusqu'à une semaine sans me parler. Depuis qu'il m'a surprise essayer de me faire la malle, il ne m'a pas adressé un mot.

Les vacances se sont finis et j'ai repris les cours. Les premiers jours ça allait c'est surtout en fin de semaine que les choses commençaient à se compliqués pour la simple et bonne raison que mon voisin de chambre ne renonçais en aucun cas à ses coups d'un soir. La journée je dois travailler mais la nuit je ne peux pas me reposer. Mon cerveau commence à saturé. Enfin bon, j'estime que ce soir serait un meilleure moment à passé ici.

La porte s'ouvre derrière celle-ci Kaïss qui me témoigne de son mauvais état d'âme en me lançant un regard noir embêter que je sois là. La moindre des choses pour bien vivre à deux c'est de se respecter mutuellement, je pensais avoir avancé avec lui avant qu'Alexei arrive mais il n'en est rien il ne me dit pas bonjour et sans me prévenir d'un invité surprise ruine mes nuits. Puisque qu'il ne veut pas me parler j'estime ne pas avoir eu le besoins absolus de lui demander la permission pour inviter Cat.