33. Little dream

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Je suis chagrinée. Bien que je ne voulais pas laissée Kaiss seul, je ne voulais pas qu'il me laisse seule aussi. Ce soir je voulais de la compagnie mais Kaiss est aveugle, sa personnalité auto destructrice dépose une masse épaisse devant sa cornée oculaire. Il pense que tout vas mieux mais j'ai l'impression du contraire. Malgré tout je sais qu'il me prête attention, je suis son monde, son saphir, son soleil, je l'aime, je suis plus amoureuse que jamais. Je ne l'ai jamais connue aussi attentif et serviable. Il a réussi à faire ce que je pensais impossible, il a soigneusement cautériser mes cicatrices et c'est pour cela que je me tue chaque jour à essayer de lui rendre la pareille. Seulement chaque jours me rappels que cela est infaisable. Chaque note de son âme ressemble aux désaccords grossie d'un piano, personne n'arrive à voir leurs beauté car tout semble éteints chez lui. Cela fait quelque temps que je l'ai remarqué et tous cela me bouleverse énormément.


Je ne pensais pas qu'il ne serait pas heureux à mes cotés.


J'étais perdue dans mes pensés lorsque j'entendit un sifflement, une mélodie que je reconnaitrais par centaine. C'était lui, me suivant dans les ruelles froides où la pluie moire sur le goudrons new-yorkais.





Je commence à courir presque directement. Cette fois ci les deux autres manquant à la fête viennent me bloqués la route. Ils resserrent leur piège en amincissant la distance qu'il y a entre eux et moi, s'avançant comme des prédateurs vers ma carrure fragile. Ils prennent chacun un cotés, barricadant la moindre ouverture possible. Mon pouls accélère et mon sang se glace lorsque j'entends se rouler sur la lèvre du plus terrifiant mon nom.





-- Beth ma jolie, je t'avais dis que je te fourrerai..M'avertit-il pervers.

Je suis pétrifiée et n'ose pas me retourner pour lui faire fasse. Je suis livrer à moi seule, savant pertinemment que Kaïss ne rentrerait pas comme par magie à l'appartement de si tôt.

Je vais me faire violé, seule et sans secours, là est la dure vérité.

— Beth c'est bien ça ton prénom ?




Mes doigts trembles tandis que mes cordes vocales vacillantes lâches.

Je ne résiste plus et lache un crie démentielle.

Un hurlement dont l'écho frappe le ciel à plusieurs reprises..de ma vie je n'avais jamais hurlée comme ça.

Sans doutes mon crie était le fruit de mon instinct de survie. Seulement mon crie n'a fait qu'accélérer les choses.


Les lourds pas de l'homme dans mon dos s'approcha à toute vitesse. Je ne savais plus bouger, j'avais l'impression que mes membres était lourd et fragile.. Je ne savais plus m'en servir du tout. Il me tira par les cheveux et me plaqua au sol violemment. J'avais l'impression d'avoir reçu un couple massue sur le crâne. Je plissait des yeux peinant à me garder éveiller. Assommée par ce mécréant qui grimpait sur moi se servant de tout son poids pour m'immobilisé.





Il devait en avoir l'habitude. Le son de sa braguette glissa dans mes oreilles tandis qu'il me frappa au visage pour que j'ouvre de manière obéissante mes cuisses. Ce dernier déchira mon collant imbibé de pisse à cause de la peur que j'avais ressentit en le voyant. Malgré tout je me sentait de plus en plus incapable de décrire son visage. J'avais beau le voir devant moi, si j'avais le malheur de détourné les yeux mon esprit en oubliait tout ses traits. J'étais bien trop sidérée par le faite qu'il connaisse mon prénom. Ses deux amis que j'arrivais à distinguais malgré la brulure que me procurait le sang qui coulait dans mes yeux n'ont pas tardé à venir en renfort pour me retenir au sol, me placardant douloureusement le dos des mains sur les décombres des bouts de verre et les gravillons noir et pointu de la chaussée. Les larmes ne descendaient plus et j'étais incapable d'articulée encore une fois.





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