Beth
Je toise ses disques argentés puis sort de son hypnose.
—Non j'n'ai invité personne. Je me de dégage de son étreinte et enfile un de ses pantalons avant d'attraper la poignée de sa porte de chambre. J'vais voir qui s'est!
Je m'engouffre en vitesse dans le couloir puis fonce vers la porte d'entrée. La sonnerie retentit une seconde fois lorsque j'ouvre brusquement pour avoir un effet de surprise. Une envie de faire légèrement peur à Vicious ou bien Alice me démange.
—On vient de recharger le paque de bière-commencé-je sans terminer.
Mon sourire descend avec mon euphorie lorsque je vois implanter devant moi une dame assez âgée. Ses cheveux grisonnant longent son minois en forme de losange et se cassent au niveau de sa poitrine. Un sourire fragile étire ses délicates lèvres, de ce geste ses rides s'intensifient. Ses iris me font l'effet d'un électrochoc. Même aveugle je les reconnaîtraient parmi toutes..rien que par la sensation qu'elles me provoquent en se posant sur mon épiderme.
Une impression de piqûre froide qui me carbonise d'un intense malaise quand tu les croisent pour la première fois. Et une douceur infligeante, deux aiguilles qui te pelotent avec rapidité un monde qui t'appartient proprement lorsque qu'une précieuse relation entre vous se crée. C'est eux..
Les yeux de Kaïss sont accrochés à la carcasse tremblotante qui patiente sur le palier de l'appartement.Qu'es ce qu'elle fait là ? Honnêtement je ne connais pas les raisons de sa venues et ça ne m'indique rien de bon. Alors que l'étonnement se dissipe pour se faire remplacer par les souvenirs d'Alexei et Alice me racontant les séries de maltraitance dont elle était la fautive principale, une rage profonde vient remonter mon œsophage. J'ai l'impression qu'un monstre est prêt à remontée d'un trou teigneux où il a était jadis enfermé pour inauguré un nouveau chaos ici, sur terre..pour elle.
Je pince mes lèvres, à pensé naïvement que cela souderait assez correctement mes deux parties de chaire pour m'empêcher de les utiliser afin de déverser toute l'hostilité que j'ai envers elle. La situation m'échappe et mon self contrôle se dissout. Après toutes les horreurs qu'elle lui a faite subir elle a l'audace de se re-pointé !?Elle m'étudie de multiples points d'interrogations parsemées dans les pupilles puis une lueur chaleureuse vient passer en éclair sur son carbonate. Elle devine que les habits que je porte ne sont pas les miens mais ceux de son fils. Son regard se ravise à mon visage puis elle le scanne d'un air plumée de bienveillance sûrement pour s'en souvenir.
—Oh.. Il s'est trouvé une magnifique femme, souffle-t-elle fière de son fils.
Sa voix est enrouée l'on entend que c'est celle d'une femme qui a déjà bien vécue, pourtant elle reste très charismatique.
Aussi douillet se montre-t-elle, ses traits et son tont réchauffé mélangés à ses expressions caducs ne m'auront pas. Elle ne mérite pas de le revoir et si elle vient chercher un pardon, elle le mérite encore moins.Je ne le cache guère derrière un petit sourire angélique je le lui montre de mes sourcils parfaitement froncés et de la fusillade que je lui adresse de part mon impétueuse œillade. Je n'ai qu'une envie, m'attaquer à la source de la tristesse de Kaïss.
—Partez. Il ne souhaite pas vous voir. Certifié-je froide.
—À qui tu parles? Demande Kaïss impatient.
Sa voix masculine s'élance du fond du couloir déclenchant une réaction de la part de sa génitrice. Elle se met sur ses pointes de pieds et tente de passé son regard au dessus de mon épaules pour apercevoir son fils. Je resserre la porte pour ajouter des points morts à son champs de vision. Elle n'est pas la bienvenue faut qu'elle le comprenne.

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Romance𝑰𝒍𝒔 se 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆́𝒔.. 𝑰𝒍 𝒍𝒖𝒊 𝒂 𝒅𝒊𝒕 : 𝑱𝒆 te 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒆𝒔𝒕 𝒇𝒂𝒊𝒕. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒂 𝒅𝒊𝒕 : 𝑱𝒆 𝒕𝒆 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒔𝒕𝒆, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆.. 𝑰𝒍𝒔 𝒐𝒏𝒕 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆́𝒔 :...