19. Little rapprochement

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Beth
Contrainte je m'accuse. Mon père m'effrayait et j'avais déjà deviné le déroulement de la suite.


Kaïss allait se moquer de moi et m'énoncé avec force à quel point je n'étais pas douer. Consolider que je ne suis qu'une moins que rien, une enfant qui devrait partir de son appartement.

Je dépose les différents morceaux dans ma paumes tous plus glaciales les uns que les autres. J'ai l'impression de tenir dans le creux de ma main ma vie..quelque chose de dure, brisé et qui me trancherais sûrement en deux si j'avais la malchance de faire partie de ces gens. Ceux qui pensent trop, les overthinking.


Après un long blanc je relève ma tête vers mon colocataire. Au première loge de son irritation je vois son torse monté et descendre brutalement.


Ma vison monte vers son visage qui semble s'être assombrit, ses pupilles se sont elles aussi noircies. Devenues noires charbon elles lances des vagues de menaces, d'elles un ciel étouffant nous retombent dessus. Elles me rappellent qu'il n'y a aucune lumière à l'intérieur de lui, qu'il est méchant de nature.

Il se rapproche à grande vitesse de la table dînatoire, ses chaussures produisent le son des tambours de pandémonium. Le temps semble quasiment s'arrêter..mon esprit met in certains temps à réaliser ce qu'il se passe. Un peu comme avoir vécu un accident, le choc nous empêche d'y voir claire. Ainsi je comprends petit à petit que Kaïss sort de ses gonds et qu'il faut se tenir prêt à subir cette avalanche de colère qui nous menace. Il saisit un verre et le lance au pieds de mon maudit paternel.



Ramasse-le, crache-t-il remplie d'amertume.



Impuissante je reste spectatrice de la scène.

Mon visage n'a pas de secret de ma bouche en o et de mes globes oculaires atrocement ronds, il montre à quel point je suis stupéfaite.


Je vais demander à Beth de le fair-

Mon père se fait coupé agressivement par Kaïss qui ne le lâche pas des yeux. Je pourrais croire avoir un chien infecté par la rage devant moi. Avéré dire j'en suis presque persuadé..



Inutile de contester. Sa mâchoire se serre ses dents craquent avec pression qu'il entretiens dessus. Ramasse le verre, répète-t-il provoquant la peur chez mon père.


Il n'est pas en mesure de refusé alors il se plie aux ordres de Kaïss.

Mon cœur battant à la chamade sonne comme inactif à l'entente de pas qui s'approchent. Mes yeux liment chaque recoins de la pièce puis ils constatent ma mère dans l'angle qui mène au couloir se faire petite. Elle se tient à l'encadrement droite en se cachant. Sa minuscule tête parsemée de sa chevelure soleil ressort à peine, n'osant prendre partie.

Alors que mon père ramasse par obligation les bouts coupant Kaïss place son pieds sur ses doigts. Il instaure à son visage le bien que ça lui fait de voir mon père aussi contraint tout comme je l'ai été moi avant d'appuyées lentement sur ses métacarpes sans une once d'étique.


Quand ont brise quelque chose et que l'ont s'en approche trop l'on finit par se faire mal. Annonce mon colocataire lorsqu'il rajoute du poids sur la main de mon parternel.



Sans plus attendre des hurlements de douleurs emplissent la grande salle. Du sang glisse sur le coter du sol me faisant halèté. De cette main qui m'a fait tant de mal autrefois, qui m'a frappée, menacée, battu à mort s'en écoule une flaque vermeil gisant sur le sol. Le plus étrange s'est que cela ne me fait pas du bien, cela m'effraie. Une idée remonte en moi, mes paupières s'agrandissent instantanément. Pire que le sang, ce qui serait typique de Kaïss serait qu'il écrase ses doigts sur le verre jusqu'à ce qu'ils se détachent du reste de son corps..

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